ZEweed

Ze doc: Life in a day I & II (2011/2020)

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Life In A Day, c’est le projet fou produit par Ridley Scott et monté par Kevin MacDonald. En 2011, l’équipe du réalisateur d’Alien et Blade Runner a rassemblé une centaine de vidéos, toutes tournées le même jour par des amateurs aux quatre coins du globe. Un 25 juillet en l’occurence. Soit un témoignage unique, poignant et on ne peut plus humain sur nos existences. Neuf ans plus tard, Scott et MacDonald reconduisent l’aventure pour nous proposer un second tome. Et si moins d’une décennie s’est écoulée entre les deux opus, le contraste est saisissant.
Bonne séance!

Life in a Day I (2011)

Life in a day II (2020)

 

 

Cinéma Bonne Définition

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Hugo a troqué sa weed pour du CBD. Un changement de dimension qui a radicalement changé son rapport au cinéma. Témoignage.

Que ce soit bien clair : si la transition de la weed qui défonce à celle qui défonce pas est une révolution dans ma vie, les fondamentaux perdurent. Depuis, j’apprécie un peu plus chaque jour les choses que je faisais déjà avant, et c’est pour ça que ce changement est si important, si délectable. J’aime le cinéma (wow), et si aimer c’est respecter, disons que depuis que je suis au CBD, j’aime mieux.

Aimer et le cinéma et la weed, c’est s’engager dans une relation toxique. Deux êtres incompatibles qui semblent aller si bien ensemble, c’est frustrant. Mais on aime, alors on ne compte pas. On continue d’essayer, on est parfois heureux, souvent déçu, on s’accroche. On ne va pas en vouloir à un stoner cinéphile de stagner dans un bain d’illusions.

Face à un film, sous THC, l’esprit divague, rebondit d’une pensée à l’autre, dessinant des connexions hasardeuses, mais surtout, il oublie. C’est bien joli de se réveiller un matin en se souvenant d’avoir vu un film là veille, du titre et des acteurs principaux si on est chanceux, mais à quoi bon accorder deux heures de sa courte vie au septième art si c’est pour ne rien retenir du propos, de l’intrigue, du sens ? Je ne parle pas là des films qui ne servent qu’à divertir, ça ne sert à rien de se rappeler de ce qu’a foutu Iron Man ou du modèle des pneus qui crissent dans Fast & Furious. Ni de ces séries vues mille fois qui ne sont qu’un canapé pour cerveau, histoire que ce dernier ne jalouse pas notre corps affalé. Regarder Friends en étant complètement défoncé, c’est okay. Ross et Rachel seront toujours là, et comprendre leur affaire n’est pas bien compliqué.

Je parle plutôt des films de cinéma que regarder demande un effort volontaire, une motivation affirmée, à une époque où tout ce qui n’est pas rapide et immédiat semble difficile. Les films d’auteur ou les grands classiques qu’on sait qu’on doit voir un jour ou l’autre, car sinon pourquoi traînent-ils depuis trois ans dans une note tapotée sur téléphone le jour où on a décidé qu’on allait devenir un esprit éclairé ? Ces films sont comme les bonnes résolutions de la nouvelle année, tentants sur le principe, mais pas évidents à mettre en pratique.

Néanmoins, parfois, on se lance. Entreprise à laquelle l’effet de la weed peut contribuer, appuyant ce désir d’éveil intellectuel, d’expansion des horizons, d’ouverture des shakras — appelez ça comme vous voulez, roulez des joints aussi chargés que vous le souhaitez. Mieux encore, avec le THC, l’interprétation des images mouvantes peut donner lieux à des découvertes fascinantes, à des théories révolutionnaires, à des révélations avoisinant la tachycardie cérébrale. Comment aurais-je, sans weed, compris que Chicken Run était bien plus qu’une histoire de poulets, mais une métaphore édifiante des camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale ? Peut-être est-ce trop facile. Mais j’ai aussi compris Mulholland Drive et, plus récemment, Tenet. Si, si, je vous assure. En revanche, la clef de ces films-puzzle, je l’ai déjà oubliée.

En gros, de mes séances cinéma sous THC, je me souviens d’avoir oublié. Depuis que je suis passé au CBD, je regarde toujours autant de films, j’éprouve le même petit plaisir à fumer de l’herbe en même temps, seul ou accompagné, et je me souviens de tout. C’est une nouvelle épiphanie, nourriture intellectuelle d’autant plus savoureuse que ses nuances perdurent en tête. Chaque impression produite par un film informe informe la précédente, et c’est une passion pour le cinéma qui renaît.

Les cinéastes se donnent beaucoup de mal pour nous offrir ces images que personne ne leur a demandé, et ils ne le font sûrement pas pour un public qui baigne dans un état second. Tout ce qu’ils nous demandent vraiment, c’est d’être attentif à leur travail. Ce que fumer du THC menace là où le CBD ne change rien. L’esprit est tout entier disponible à l’oeuvre cinématographique, il ne s’agit plus de faire passer le temps, mais de le mettre à profit pour grandir un peu dans sa tête. Le CBD détend les muscles : tant mieux. On est mieux installé dans son fauteuil ou dans son lit. Au-delà de ça, il permet de perpétuer sans encombre un rituel qui m’est aussi cher que les films. Le cinéma est une illusion de la réalité, et le THC donne l’illusion de la comprendre. Ça fait trop d’illusions. Si on aime le cinéma, on se doit de lui donner la priorité. C’est ce que le CBD lui accorde.

Hugo.

Top 5 des variétés de cannabis à cultiver chez soi

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Si planter une graine de cannabis n’est pas compliqué, bien choisir la variété à mettre en terre est une autre affaire. Pas de panique, la rédaction a sélectionné 5 souches aussi incontournables que faciles à cultiver. De la Northern Light Automatic à la Green Gelato, voici notre Top 5 des Ganja à faire pousser à la maison.

Northern Light Automatic

Cette variété à croissance rapide combine les génétiques légendaires de la Northern Light avec la croissance accélérée du ruderalis. Après avoir semé vos graines en terre, préparez-vous à voir se développer de superbes fleurs mêlant le bleu et le vert, le tout en moins de 10 à 12 semaines.
Les niveaux de THC de Northern Light Automatic avoisinent les 14 % et prodiguent un effet physique relaxant idéal pour une après-midi tranquille ou une soirée peinard. Les terpènes évoquent les agrumes, la terre, le poivre et le pin. Sa hauteur moyenne est de 80–120 cm, une taille parfaite pour une culture discrète.

La grande classique Northern Light, en deux mois seulement.

La Northern Light Automatic est disponible ici

Cookies Gelato

Comme son nom l’indique, Cookies Gelato offre des arômes aussi gourmands qu’alléchants, issu de ses savoureux parents  Girl Scout Cookies et Gelato 33. Profitez de ses saveurs de terre, fruits et menthe… sans en abuser.
Son impressionnant  28 % de THC vous frappera tel un astéroïde pour un voyage spatial. Préparez-vous à un effet de longue durée qui inspire l’esprit tout en plongeant le corps dans un état de relaxation profonde.

Cookies Gelato: toute la puissance d’une star de la weed US.

Green Gelato

La Green Gelato combine un effet intense avec un incroyable profil terpénique. Après un bon blunt ou une douille de bang, place aux arômes de vanille, de menthe et d’agrumes et aux 27 % de THC de cette weed costaud mais bien équilibrée.
Les couleurs deviennent plus vives, la musique plus mélodieuse avec cette variété tonique et pleine d’énergie. Idéale en journée pour rester motivé, productif et créatif. Le conseil Zeweed: on y va doucement, une taffe à la fois.

Green Gelato: avec ses 27% de THC, c’est le Far West dans votre salon

Les graines de Green Gelato sont disponibles via ce lien.

White Widow Automatic

Cette variété autofloraison simple et rapide est issue de l’aristocratie cannabique. Connue des stoners du monde entier, la White Widow originale est issue de génétiques landrace d’Inde et du Brésil.
Après l’avoir croisé avec du Cannabis ruderalis, les sélectionneurs sont parvenus à créer une variété rapide à cultiver pour des effets plus apaisants que sa grande soeur. En intérieur, les plants sont de 40 à 80 cm de hauteur, de quoi ravir ceux qui veulent une culture discrète. Après avoir allumé un joint de cette weed légendaire, c’est un effet aussi physique que mental qui vous attend. De quoi oublier tous les jours votre quotidien.

Jamais veuf de plaisir avec la White Widow

Purple Queen Automatic

Chauds pour la grande euphorie? Non seulement Purple Queen Automatic produit de superbes têtes aux violettes, mais elle vous enivrera d’ un état de paix et de joie absolue. Son profil génétique à dominance indica et son taux de 16 % de THC convergent pour créer un effet relaxant et agréable, idéal pour vos randonnées en pleine nature.
Allumez ces têtes lors de vos promenades ou à la plage pour vraiment vous plonger dans votre environnement et être reconnaissant d’être en vie et en forme. De délicieuses saveurs d’agrumes et de gros rendements d’approximativement 350–400 g/m² viennent parfaire ce cultivar émérite.

Purple Queen: l’automatique a ses lettres de noblesse.

Victoria et la Ganja

 Après trois semaines de galette des rois, c’est au tour de la reine de nous régaler. Victoria et la Ganja, c’est Zeclip de la semaine

 

Toute l’histoire de l’amour royal de Victoria pour la weed ici

 

8 Mars: La “Peur des Filles”?

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On célèbre en musique la 110ème Journée internationale de la Femme avec “Peur des filles” de L’Impératrice et cette question: les hommes sont-ils allés trop loin?

Après des siècles de domination masculine, la revanche des filles sur les garçons se profile-t-elle enfin?
Ce serait en tous cas ce qui pourrait nous arriver de mieux depuis l’invention de la roue.
Soft ou cash, cette révolution rose aurait déjà un avantage: celui de mettre fin à 2000 ans d’une hégémonie masculine qui nous a conduit droit dans le mur et comme un seul homme: sans ceinture en klaxonnant.

En attendant les jours heureux, Zeweed donne le tempo des temps nouveaux avec l’Impératrice et son clip à perdre la tête.

Mauvais plan: les carotteurs de Twitter.

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Depuis quelques semaines en France, des petits malins proposent sur Twitter monts et merveilles cannabiques à la vente. Une combine sans risque et tout bénef’ pour ces escrocs en herbe. Attention, les carottes sont Tweet!

« Au menu aujourd’hui : OG Kush, Sour Diesel, AK47, Lemon Haze, Blueberry et Purple » m’annonce sur WhatsApp un revendeur trouvé sur Twitter,  entre un post sur le coronavirus et un autre sur la primaire démocrate aux US. Le dealer virtuel répondra 3 minutes après mon SMS, sans se soucier le moins du monde de mon identité. Le plan est lancé.

Ces tweets, faisant la promotion sans détour d’un commerce de weed  B2C, sont devenus en quelque deux mois un incontournable du réseau favori de Trump. Pourvu que vous vous soyez abonnés à une marque proposant légalement du CBD ou à un groupe axé cannabis thérapeutique dans l’hexagone, vous n’y échapperez pas. Vous n’y échapperez pas non plus si vous vous intéressez à l’actualité, à n’importe quelle actualité: pour attirer le plus de pigeons possible sur le réseau à l’oiseau bleu, les marioles de la marie-jeanne n’hésitent pas à mettre des #Giletsjaunes, #Macron  #BenjaminGrivaux ou #Coronavirus dans le texte de leur tweets, histoire de ratisser large.

J’entame la conversation avec le revendeur supposé. Je choisis 10 grammes de Sour Diesel  pour 100 euros. Rapidement un message m’invite à aller prendre, pour la somme correspondant, un ticket Néosurf dans un tabac. Ticket Néosurf que je suis supposé remettre  au livreur au moment de la transaction. Comme dans toute escroquerie, il faut une mise en scène détaillée pour noyer le chaland et crédibiliser l’arnaque. Et c’est là que ça devient franchement comique.


Me voilà donc en train de faire du weed-shopping comme si je prenais un abonnement pour une salle de gym’ ou rentrais sur l’espace client de ma banque: code de vérification à 5 chiffres à donner par SMS au livreur, puis un code de fidélité que ledit livreur me donnera lors de la remise de l’herbe convoitée.WTF?
Je joins  le « coursier » sur un autre numéro WhattsApp, donné par le premier contact.
« Code de vérification ? » me demande le livreur. Je m’exécute, goguenard, attendant le moment où l’arnaque se révèlera. L’attente ne sera pas longue : « je serai là  dans 30 minutes, mais avant, envoi- moi la photo du ticket Neosurf ».


Ne tenant pas à sponsoriser ce genre de transaction de haut vol, je refuse poliment arguant que le ticket, selon les CGU annoncées en préambule par son acolyte, doit normalement être remis à la livraison. « T’inquiète, je te donnerai un code de fidélité ». Ne pas exploser de rire au téléphone tient de la gageure. Je refuse poliment, expliquant que je n’ai aucune garantie une fois le code de mon ticket Néosurf expédié.
Si beaucoup de consommateurs se sont fait avoir, c’est parce que ces dealers de carottes (qui se reproduisent comme des lapins depuis le début de l’année) se revendiquent de «Caliweed» un vrai réseau démantelé il y a deux ans, et qui utilisait Snapchat pour rentrer en contact avec les clients. À la différence que les clients payaient, contre la marchandise, en espèces sonnantes et trébuchantes à la livraison. Mais en ce qui concerne le schéma proposé par ces drôles d’oiseaux du deal sur Twitter, la combine est franchement lourde.  Après deux heures de dialogue ubuesque avec un livreur qui a visiblement pas mal de temps libre, le faux coursier sans ganja m’a donné mal à la tête.
Je me dis vivement la légalisation et met un terme à l’échange.

 

Cet article a été rédigé en mars 2020. Depuis, le compte Twitter LaMarieJeanne a été suspendu.

 

 

 

Ze revue de presse.

Tous les dimanches, la rédaction vous apporte le meilleur de l’actualité du CBD, du chanvre et ses dérivés.
Bienvenue à la Zeweed grand-messe du bien-être avec cette semaine:  TF1  Avantages  , Contrepoints, l’UDEM, Prohibition Partners, Leafly, News 18 et Libération.

Focus sur le marché du CBD en France (TF1)
Depuis quelques semaines, les boutiques de CBD poussent comme des champignons, attirant une clientèle toujours plus nombreuse. Du miel au pâtes, de l’huile d’olive au  thé, en passant par les compléments alimentaires pour chiens et chats… Le CBD se conjugue désormais  à toutes les sauces. La totalité du reportage ici.

Le cannabis médical arrive en France (Avantages)
Après l’approbation du gouvernement, largement retardée par la crise du Covid, une première expérimentation du cannabis thérapeutique en France doit avoir lieu au printemps. Avantage fait le point. L’article est disponible sur ce lien.

Cannabis: encore un long chemin avant la légalisation (Contrepoints)
Alors que les lois s’assouplissent un peu partout en Europe et dans le monde, la France campe sur sa position ultra-répressive. L‘analyse de Théophile Gacogne disponible ici

Le cannabis, une substance à découvrir (UDEM)
A l’occasion de la sortie de son livre,  «Cannabis», qu’il a rédigé avec Serge Brochu et Marilou Pelletier, Jean-Sébastien Fallu nous parle de la belle plante, et c’est ici

Canada’s préférence for cannabis 2.0 products increases  (Prohibition Partners)
In October 2019, Canada launched Cannabis 2.0 products, including cannabis-based edibles, vapes, drinks, various oils and topicals. Investors anticipated that these trendy products would bring a new wave of investment and growth in a struggling Canadian cannabis industry. The whole article here

The US cannabis industry now supports 321,000 full-time jobs (Leafly)
How many jobs are there in America’s legal marijuana industry? Leafly has the answer, and it’s right here.

What Happens if India Legalises Marijuana: It Can Reach New ‘High’ and Beat China at its Game Too (News 18)
The market for cannabis products, both recreational and industrial, is on the verge of major growth. Though China dominates the world supply, its grasp over the market might weaken if companies consider moving supply chains out of the country. This situation is  likely not to  last and must be taken advantage of. Read the News 18 analysis here.

Notre couverture de la semaine revient au quotidien français Libération pour son édition largement consacrée à la légalisation du cannabis dans l’Hexagone.

Pénurie de Ganja en Jamaïque!

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Après une saison à la météo désastreuse, les Jamaïcains sont en passe de se retrouver privés de la plus célèbre de leurs matières premières.

Panique en Jamaïque! Sur l’île de Bob Marley, où tout tourne généralement rond sous le Soleil, Rastas, Stoners et patients pourraient bien être mis à la diète de weed.
Une très mauvaise nouvelle en pleine pandémie confinée.
Deux raisons à cette situation inédite, qualifiée par un responsable politique de “culturellement embarrassante”.
En premier lieu, la saison des ouragans a été des plus féroce alors que cet été, une canicule hors-norme s’abattait sur les plans qui avaient survécu aux tempêtes.
La seconde explication à cette dèche historique est liée à la pandémie: avec un couvre-feu de 18 heures à 6h00 du matin, les agriculteurs n’ont pas pu s’occuper de leurs champs la nuit, comme ils en ont l’habitude. De plus, la plue part des zones de culture ne sont pas accessibles par la route: il faut donc effectuer de très longs trajets à pied pour chercher l’eau au puits ou à la source pour arroser les plants. Pas simple quand les horaires sont restreints. Certains producteurs ont fini par jeter l’éponge.

Quant aux cultivateurs qui ont récoltés, leur manque à gagner se chiffre à plusieurs dizaines de milliers de dollars, à l’image de cet agriculteur qui au lieu de produire 300 kilos comme il l’espérait, il ne pourra en fournir que 180 (AFP).
Sur le marché noir, la demande est naturellement devenue beaucoup plus grande, pour une offre sérieusement réduite alors que confinés, les ganja-aficionados consomment plus. Les autorités jamaïcaines ont pour leur part tenu à faire remarquer sur le marché réglementaire, l’herbe qui fait rire serait toujours disponible, mais à prix plus élevé.

Le cannabis est une plante dont l’usage est profondément ancré dans la culture jamaïcaine, utilisée entre autre lors de rituels religieux, comme aide à la transe. Ce n’est que depuis 4 ans que l’herbe a été dépénalisée, dans un effort de réguler un marché potentiellement énorme dans le pays.
L’île a déjà commencé à fournir le Canada en huile de cannabis concentrée. Elle vise d’autres marchés comme l’Australie et l’Allemagne. Des pays qui devront encore attendre un peu avant de profiter des plaisirs récréatifs de la Ganja.

Pourquoi je ne pourrai plus me passer du massage au CBD

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Le bien-être, ça passe par se sentir bien dans son corps comme dans sa tête. Et quoi de mieux pour allier relaxation physique à détente de l’esprit qu’un sensuel massage au CBD? Témoignage.

Cela fait maintenant 5 ans que je suis en couple et qu’évidemment il est toujours bon, à ce stade-là, de devenir créatif pour transformer le désir sexuel ou du moins, le faire perdurer pour garantir à mon duo toutes les chances dont il a besoin pour survivre. J’ai de la chance, je ne suis pas compliqué, elle non plus. Nous sommes deux adultes vivants ensemble dans un cocon parisien (et je souligne bien le mot cocon). Le confinement commence peut à peut à se faire ressentir (bientôt 1 an tout de même) pourtant, et contre toute attente, nous arrivons à maintenir un cap d’entente. À croire que l’on pourrait être presque des héros du 21ème siècle.

Venons au fait. Nous fumons de la weed. Sinon je ne serais pas là pour vous en parler. Régulièrement ? Oui monsieur. Tous les soirs, une fois que les besognes sociétales sont derrière nous. Souvent devant un film, inévitablement après le sexe. Avant, c’est hors de question, nous avons déjà testé et je peux vous dire que le mal de mer n’arrive pas que sur l’eau. Alors après, oui. Tout le monde le sait. Une fois que l’amour s’est consumé sous les draps, il n’y a rien de plus plaisant d’avoir la tête de la personne que l’on aime sur son torse et d’y voir des jets fumants sortant de sa bouche. C’est un plaisir coupable votre honneur, un plaisir à deux, un plaisir qui ne s’explique pas et qui pourtant contribue à beaucoup de choses sur terre. Partager un pétard avec l’être aimé une fois avoir fait l’amour contribue à la définition du paradis terrestre.

Pourtant, nous désirions, avec ma compagne, trouver un subterfuge pour accéder au plaisir cannabique avant nos acrobaties. Et c’est là que le CBD fut comme une réponse. L’huile de massage pour être précis. Avec le CBD, dont la commercialisation en France est légale mais très réglementée, le principe est le même : ses vertus relaxantes libéreraient le corps et les inhibitions, boostant ainsi les ébats de ses consommateurs. Quant aux huiles de massage ou lubrifiants, -à appliquer directement sur les parties génitales- le CBD allait également avoir un effet déstressant mais en plus réduire la sensibilité de la zone. BANCO !

J’avais donc opté pour une huile de massage à base d’ingrédients 100 % d’origine végétale, et qui laissait sur notre peau, une légère odeur d’agrumes. Nous avions commencé dans les règles de l’art, des bougies sur les meubles, un petit Jazz en fond, la femme de mes rêves sur le ventre et mes mains sur son dos. J’étais assez surpris par la capacité qu’avait cette huile à se fondre directement dans sa peau. L’huile de CBD s’absorbe bien, ce n’est pas une légende. Et puis nous sommes passés au massage génital. Le vendeur me disait que l’art de ce massage permettait de faire circuler l’énergie sexuelle; bien vu. .Je ne vous ferai pas de dessins. Au bout de 15 minutes, une envie furieuse et mystérieuse a surgi; et il a fallu très rapidement que l’on n’arrête le massage pour passer à une autre étape

Si aujourd’hui les préliminaires sont pour vous un ennui, le CBD pourrait être pour vous le remplacent idéal. Il faut dire que l’huile de CBD est réputée pour ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, relaxantes et hydratantes. Un actif puissant qui s’est désormais invité entre ma compagne et moi

5 façons de voir si votre herbe est bonne.

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Difficile de savoir avant de gouter l’herbe si elle est de bonne ou mauvaise qualité. Pourtant, quelques signes ne trompent pas. Voici 5 façons de voir si votre herbe vaut le coup.

L’ODEUR
Notre nez est ce qu’il y a de plus efficace pour savoir si oui ou non cela vaut le coup de fumer.
Le cannabis de haute qualité est cultivé dans des conditions optimales par des cannabilculteurs expérimentés. Si c’est le cas, elle produira des arômes et des parfums assez forts.
Si votre cannabis est presque inodore, c’est très mauvais signe. Cela veut dire qu’elle n’est pas assez frais et ses effets seront donc également différent.

LA COULEUR.
La fleur de cannabis est généralement verte, verte foncée ou même claire. Si vous voyez du rose, il n’y a pas de problème par contre si la fleur est brune ou jaune, passez votre chemin.
Il s’agira d’un produit de faible qualité.

LA SEXUALITÉ.
La règle principale dans la fleur de cannabis est simple : la qualité se trouve sur celles qui ont évolué sur un plant femelle. Les plantes mâles ne sont pas destinés à être utilisés.
Pour différencier, il faut savoir reconnaitre sur la plante des petites ”bourses” qui émergent de la fleur. Si c’est le cas, ça sera un type mâle.

 LES GRAINES ET BRANCHES.
Une fleur de cannabis de qualité aura au minimum quelques branches et donc quelques graines. Il faut  un maximum de “matière exploitable”. Un excès de branches indique une croissance non qualitative, et la présence de graines (même une ou deux), témoigne de la présence d’un plant mâle au cours de la croissance.

LES TRICHROMES.
Les trichomes sont les petites bulles brillantes qui ornent les fleurs de cannabis. On y trouve la résine collante et ses richesses: les cannabinoïdes THC, CBD, etc.
Une fleur sans aucun trichome est une fleur de mauvaise qualité, Plus les trichomes sont bons, meilleure est la fleur.

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