Weed VIP - Page 10

La NBA n’imposera pas de test dépistage de cannabis pour sa prochaine saison

///

Coup de tonnerre dans le monde du ballon orange!  Afin d’éviter les contacts inutiles en raison de la COVID-19, la National Basketball Association (NBA) renoncera à tester ses joueurs pour consommation de cannabis pour la saison 2020-2021 !

La ligue NBA , qui n’avait déjà pas testé ses joueurs lors du redémarrage de la saison 2019-2020 à Orlando, maintiendrait sa décision de continuer à ne pas tester les basketteurs, dans un soucis de protection dans le cadre de la lutte contre la COVID-19.
Suivant cette logique, il semblerait que la NBA se dirige bel et bien vers un arrêt définitif des test THC chez les joueurs de NBA, tout du moins dans les états où elle est autorisée.

Selon ESPN (la chaine américaine dédiée au sport) il n’y aurait que six États qui n’aurait pas légalisé la weed sous une forme ou une autre (thérapeutique ou récréative) Indiana, Géorgie, Caroline du Nord, Tennessee, Texas et Wisconsin. Alors que la ligue semble s’aligner sur une tolérance de au sujet de la  consommation de marijuana -un avis partagée avec de nombreuses personnes aux États-Unis- , le commissaire de la NBA Adam Silver reste prudent quant à la modification de sa position sur la façon dont la décision pourrait être interprétée par les fans en bas âge «Lorsque nous modifions notre politique, nous devons être très prudents car nous envoyons clairement un message aux jeunes», a déclaré Silver précédemment. “Tout comme avec l’alcool, vous devez apprendre aux jeunes à utiliser une substance de manière appropriée et responsable pour qu’elle ne vous submerge pas.”

Pour information,  la MLB (Major League Basebal) et la NHL (National Hockey League) ont déjà renoncé de pénaliser leurs athlètes pour la consommation de cannabis,  une drogue plante largement consommée par nombre de joueurs.

Quelques athlètes du panier, à l’instar de l’ancien joueur Al Harrington qui est sur le point de devenir milliardaire grâce à son entreprise de cannabis, auront eu la sagesse de sagement attendre la retraite pour se consacrer entièrement au cannabis.

Mike Tyson avoue avoir fumé un joint avant un combat

///

Mike Tyson a admis avoir fumé de l’herbe juste avant son combat d’exhibition contre Roy Jones Jr en Californie.

Un combat de huit rounds qui s’est terminé par un match nul !

Iron Mike s’est exprimé dernièrement sur sa consommation quotidienne de cannabis. Lors de la conférence de presse post-exposition, il a expliqué que cette routine n’avait pas changé même dans la préparation de son combat contre Roy Jones Jr. “Je fumais tous les jours”, a déclaré Tyson aux médias, selon un reportage sur BadLeftHook.com. “Je n’ai jamais arrêté de fumer.” Les journalistes ont ensuite demandé à Mike s’il fumait juste avant un combat. “Absolument, oui”, a répondu l’ancien champion incontesté des poids lourds.

“C’est juste qui je suis, cela n’a aucun effet sur moi d’un point de vue négatif”, a ajouté Tyson. “C’est juste ce que je fais, ce que je suis et comment je vais mourir. Il n’y a pas d’explication, il n’y a pas de début, il n’y a pas de fin.”

Bien qu’il y ait eu des tests de dépistage de drogue VADA dans la préparation de l’événement, le cannabis – qui est légal en Californie – ne figurait apparemment pas sur la liste des substances interdites. Tyson a expliqué qu’à ses yeux, ce n’est certainement pas un médicament améliorant la performance.

En 2016, Tyson, aujourd’hui âgé de 54 ans, a créé sa propre société, Tyson Holistic Holdings, à travers laquelle il vend une gamme de produits  à base de cannabis. Le Tyson Ranch, hôtel de luxe de 164 hectares dédié au cannabis lui rapporte aujourd’hui environ 500 000 $ par mois.

Richard Branson walks on the sunny side of the weed.

///

Richard Branson has never hidden his fondness for cannabis, advocating during the last decade for a responsible legalization. In an article published on his website on November 26, the iconic founder and CEO of Virgin  takes a keen and optimistic look on weed’s upcoming emancipation. And he’s usually right.

As the free world waits for the end of recess to be whistled for Donald Trump and for President-elect Joe Biden to take office, Richard Branson has welcomed other (uncontested) results : those from states where legalization of recreational cannabis has been approved . “I was excited to see some of the other outcomes of this year’s US election. Voters in several states embraced sensible drug policy reforms that will make a huge difference to people’s lives, take the burden off criminal justice systems, improve public health and, ultimately, save lives.  ”wrote Sir Branson.
In Arizona, New Jersey, Montana and South Dakota, voters approved the regulated sale of recreational cannabis on November 3, bringing to 15 the total of number of States in which ganja is legalised.

For the serial success entrepreneur, the good news could be followed tomorrow by another strong sign towards an ineluctable global legalization of cannabis:
UN member states will come together in Vienna for an important session of the Commission on Narcotic Drugs (CND), the inter-governmental forum where discussions on the direction and content of global drug policy take place. The item on the agenda is a vote on rescheduling cannabis. What sounds like a tedious bureaucratic exercise has enormous significance for correcting a damaging historical error . For decades, without credible scientific basis, cannabis has been scheduled as a substance with negligible medical or therapeutic value ”  explains Branson on his website.

After a multitude of reports and scientific commissions on a subject that, according to Branson,  has dragged on too long, the World Health Organization (WHO) has finally recommended a limited rescheduling of cannabis, which is clearly a gesture in recognizing its enormous therapeutic potential .
A promising first step while waiting for CND’s vote. During this 63rd session on the matter, CND will look at changes in the scope control substances, in this case: cannabis. This vote is expected to follow the positive WHO recommendations regarding the control of cannabis and related substances. A vote that would free cannabis from various legal shackles in which it has been locked since 1961.
A positive vote to remove cannabis from the strictest schedule would signal that the international drug control system, traditionally a driver of repressive drug policies, might be able to reflect with the ever-accelerating reforms happening on the ground. I hope the CND will come down on the right side of science, public health – and history. » concluded a visionary and always well informed Richard Branson.

Richard Branson voit la weed en rose.

//

Richard Branson n’a jamais caché son penchant pour le cannabis, prônant depuis des années une légalisation responsable de la weed. Dans un texte publié le 26 novembre sur son site, l’iconique fondateur et CEO de Virgin pose un regard affuté et optimiste sur l’émancipation de la weed. Extraits et explications.

Alors que le monde libre attend que la fin de la récréation soit sifflée pour Donald Trump et que le président élu Joe Biden prenne ses fonction dans une transition qui promet d’être cocasse, Richard Branson s’est félicité d’autre résultats non contestés ceux-là : ceux des États où la légalisation du cannabis récréatif a remporté la majorité des suffrages. « J’ai été ravi de voir certains des autres résultats de l’élection américaine de cette année. Les électeurs de plusieurs États ont adopté des réformes judicieuses de la politique en matière de drogues, qui feront une énorme différence dans la vie des gens, allégeront le fardeau des systèmes de justice pénale, amélioreront la santé publique et, en fin de compte, sauveront des vies » s’est réjoui Sir Branson.
En effet, en Arizona, au New Jersey, au Montana et au Dakota du Sud, les électeurs ont approuvé le 3 novembre dernier la vente réglementée de cannabis récréatif, poursuivant une tendance amorcée en 2014 au Colorado, portant aujourd’hui à 15 le nombre total d’États ayant légiféré en faveur de la belle herbe.

Pour le serial-succès-entrepreneur, cette bonne nouvelle pourrait demain s’accompagner d’un autre signe fort vers une légalisation globale de l’Herbe.
« Les États membres de l’ONU se réuniront (le 2 décembre NDLR) à Vienne pour une importante session de la Commission des stupéfiants (ONUDC), le forum intergouvernemental où ont lieu les débats sur l’orientation de la politique mondiale en matière de drogues. Le point à l’ordre du jour est un vote sur le rééchelonnement du cannabis. Ce qui ressemble à un exercice bureaucratique fastidieux a en fait une importance énorme pour corriger une erreur historique  » explique Branson sur son site. « Pendant des décennies, sans fondement scientifique crédible, le cannabis a été classé comme une substance à valeur médicale ou thérapeutique négligeable, considérée comme nocive » poursuit-il.
Après une multitudes de rapports, de commissions scientifique et autre conciliabules de spécialistes sur un sujet qui selon Branson n’a que trop trainé, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a enfin recommandé un rééchelonnement limité du cannabis, ce qui en claire revient à reconnaître l’énorme potentiel thérapeutique du cannabis. Un premier pas en attendant le vote du mercredi 2 décembre.
Lors de cette 63ème session sur le sujet,  l’ONUDC se penchera sur les modifications du champ d’application du contrôle des substances en l’occurrence le cannabis. Ce vote devrait suivre les positives recommandations de l’OMS concernant le placement sous contrôle du cannabis et produits apparentés. Un vote qui libèrerait plus encore l’herbe du carcan légal dans lequel elle est enfermée depuis 1961.
«  Un vote positif pour retirer le cannabis de sa classification encore très prohibitive serait un signal fort envoyé aux organisations de contrôle des drogues, traditionnellement moteurs des politiques répressives en matière de cannabis. J’espère et pense que l’ONUDC passera du bon côté de la science, de la santé publique et de l’histoire. » conclu Branson, toujours visionnaire.

 

L’Argentine légalise le cannabis (thérapeutique).

////

Aujourd’hui marque le début de la fin de la prohibition en Argentine.
Jeudi à minuit, le gouvernement argentin a publié une série de modifications au projet de loi 27.350, la loi nationale sur le cannabis médical très critiquée, pour le plus grand bonnheur des malades comme enthousiastes de la weed.

Les patients enregistrés sous RECANN, le registre national des patients atteints de cannabis, auront désormais le droit de cultiver leur propre médicament, soit individuellement, soit dans le cadre d’un groupe ou collectif, ainsi que d’acheter des huiles, teintures ou  topiques de cannabis dans les pharmacies.
En outre, la nouvelle législation élargit considérablement les conditions d’admissibilité aux traitements au cannabis médical en Argentine.
Jusqu’à présent, le projet de loi 27.350 limitait l’utilisation du cannabis médical aux seuls essais de santé publique incluant des patients atteints d’épilepsie réfractaire.
Dorénavant, la nouvelle législation donne à tout patient ayant une prescription médicale pour le cannabis (ou ses dérivés) le droit de cultiver son propre de l’herbe ou de l’acheter dans une pharmacie agréée.
L’État promet même un accès gratuit aux thérapies au cannabis pour les personnes sans assurance maladie!
Pour des milliers de patients, de gardiens de parents et d’enfants, c’est le jour qu’ils auront  attendus depuis longtemps.
Jusqu’à présent, toute personne trouvée en possession de graines ou de plantes de cannabis encourait jusqu’à 15 ans de prison.
Ces nouvelles réglementations mettent un point final à ces lois ante-séculaires.
Finalement! Notre droit est la loi“! est-il écrit dans le dernier article de Mamá Cultiva Argentina (MCA), le groupe de militants du cannabis le plus reconnu du pays.
«Ce droit, acquis après de nombreuses années de lutte par des organisations à travers le pays, apporte non seulement la tranquillité d’esprit de ne pas être criminalisé pour avoir exercé notre autonomie en cultivant notre propre médecine. Cela pourrait également être une solution à de nombreux problèmes socio-économiques provoqués par le néolibéralisme [du gouvernement précédent] et la pandémie mondiale », peut-on aussi y lire.

“Cette nouvelle ère du projet de loi 27.350 commencera à réparer l’injustice de la persécution et de la stigmatisation d’une plante qui a apporté une qualité de vie à de nombreuses personnes. Pour cette raison, nous célébrons un État qui nous accompagne, qui nous garantit l’accès à la substance par les moyens que nous choisissons, qui ne nous punit pas et ni ne nous infentilise. Cette réglementation démontre aussi que les connaissances acquises grâce à notre expérience populaire sont précieuses pour bâtir notre avenir”.
«Devant nous , il y a encore un long chemin de mise en œuvre pratique. Mais nous sommes convaincus que la construction [du cadre juridique derrière le projet de loi 27.350) sera riche et prospère et que nous avons des interlocuteurs publics en place qui démontrent leur priorité dans la recherche d’un consensus ”, poursuit le post.

Mamá Cultiva Argentina a été fondée en 2016 par Valeria Salech et un groupe d’autres mères, dont beaucoup cultivent illégalement du cannabis depuis des années pour elles-mêmes ou pour les membres de leur famille.
Il y a environ 4 mois, Valeria Salech et le reste du MCA s’étaient impatientés  de ne voir aucun changement de la loi  27.350 alors que le ministère argentin de la Santé annonçait le premier projet de nouveau règlement qu’il a signé aujourd’hui.
«Je n’ai pas honte de vous dire que chaque matin je me réveille et que la première chose que je fais est de vérifier le boletin oficial [la gazette où l’État argentin publie ses normes juridiques]», nous avait  déclaré Valeria dans une interview en juillet.
Une habitude qui pourrait bien disparaître demain.

Weed: Biden’s lukeworme program.

///

As the world -and half of the US- are celebrating Biden’s election, a crucial question arises: what about cannabis?
Here’s some answers… and a whole lotta questions.

Just say no!

Joe Biden is a fierce legalization opponent and on a mission to give a hard time to any weed enthousiast.
It’s 1986, and Biden (who works at the time under Reagan’s Republican administration) is a key figure in an all-out “War on Drugs”, carried by the (in)famous “Just Say No”.
In 1990, he was one of the main architects of an ultra-coercive series of measures, where the common foot stoner would -roughly- be sentenced to the same jail time than a street crack dealer.
2010. The times they are A’changin‘ and Biden softens his speech. “There is a difference between sending someone to jail for a few ounces [of weed] and legalizing it. The punishment should fit the crime. Yet I still believe think legalization is wrong. I still believe [cannabis] is a getaway drug

Or maybe?

A decade later, Barack Obama’s former vice president views on cannabis have changed again. “I wasn’t always right. I know we haven’t always done it right [with regards to incarceration for marijuana offenses]; but I always tried, “admits Biden in 2019 interview with ABC.
No one should be in jail for smoking marijuana,” concluded the then chairman of the Senate Judiciary Committee.
Biden’s current position, if it does not follow that of his fellow citizens (66% of Americans are for a nationwide legalisation ), has at least one perk: that of paving the way for reform of the banking system.
Between technical problems and a certain mistrust of the green gold industry, most players in the legal cannabis business indeed have the greatest difficulty in accessing basic banking services. Whether getting a loan or simply opening a corporate current account, banks and credit institutions prefer to play it safe and avoid any criminal and / or financial sanctions that’d be imposed on them. And although the law of the states that have legalised is on the side of ganja-entrepreneurs, mistrust and fear of bad publicity prevents them from gaining access to any major financial institutions.

Decriminalization, the bogus idea?

Biden’s decriminalization plan, beyond being a cautious compromise between prohibition and legalization, could quickly  turn into a logistical nightmare for the cannabis industry.
By simply decriminalizing weed, Joe Biden is legally placing its trade under the control of the Food and Drug Administration (FDA).
And that’s no good news: by seizing the certifications and approvals of the cannabis business, the FDA would also be responsible for overseeing the manufacturing, packaging and distribution of all cannabis related products, thus imposing strict requirements on producers, especially when it comes to the levels of THC, CBD and CBN, the three potent molecules.
And if it  could look like a relaxation of the legislation, Biden’s decriminalization is quite far away from the cannabis paradise suggested by the former candidate Bernie Sanders, who was eager to legalize all over the country once elected.
If Biden has by the past demonstrated his ability to evolve, let’s hope Sleepy Joe won’t take a nap on the matter once in the White House.

Klay Thompson rebondit dans le commerce de weed pour sportifs.

///

Le basketteur Klay Thompson, associé à Alex Morgan, Paul Rodriguez et Travis Pastrana, vient de lancer « Just Live », soit une ligne de produits au CBD destinée aux sportifs. Un panier gagnant et un joli pied de nez de la part du joueur star des Warriors arrêté en 2011 pour possession de cannabis.

C’est lors d’une rééducation après la rupture d’un ligament croisé en 2019 que Klay Thompson a découvert plus précisément le cannabidiol (CBD) molécule qui lui permettra une rapide convalescence. Question weed, l’arrière des Warriors de San Francisco s’y connaissait pourtant bien, puisque le jeune homme de 30 ans tâtait déjà abonnement de la chose, mais plutôt sa version planante, celle avec force THC et moult effets drôles.
Une passion pour la ganja qui lui valu une arrestation pour consommation, lors d’une soirée organisée pour fêter la victoire des Warriors contre les Cougars de Houston, nous sommes en 2011.

9 ans et une révolution cannabique plus tard,  Klay Thompson va continuer de déclarer sa flamme pour la belle plante, mais avec un business plan et un cannabis qui serait cultivée sur mesure pour les sportifs.
Plus question de  weed  taillée pour des  soirées-fumette-pompette autour de la table basse, l’idée est  d’utiliser les propriétés de la ganja pour la récupération après entraînement ou en cas de blessures.
Lancée avec d’autres figure A-list du monde sportif  comme la footballeuse Alex Morgan, le skater Paul Rodriguez et le pilote moto Travis Pastrana, la marque « Just Live » propose uniquement des produits contenant du CBD  et très peu de THC.
« Après ma blessure et considérant la direction que je souhaite donner à ma carrière, la façon avec laquelle je veux me préparer en dehors des matches et séances d’entraînement ; utiliser un produit sain pour me soulager (le cannabis NDLR) plutôt  que des opioïdes ou des médicaments s’est naturellement imposé. »
 « Cela m’aide à dormir. Je dors huit heures par nuit désormais, et j’en ai besoin. Cela aide mes performances aussi, ainsi que pour mes douleurs corporelles que j’avais au quotidien. » explique Klay dans le dossier de presse qui accompagne le lancement de « Just Live »

https://vimeo.com/472422361

Le triple champion (et toujours THC aficionados à ces heures perdues) est conscient d’une certaine image négative que peut colporter l’herbe et des inquiétudes de certains à voir des sportifs et athlètes de haut niveau en faire la promotion. Son autre mission: casser les préjugés.
« La stigmatisation vient du fait que c’est une “drogue” que l’on fume. Mais il y a tellement de formes différentes, que ce n’est pas obligatoire de le fumer. Ça peut être de la crème, des comprimés ou de la lotion. C’est une façon naturelle de soigner les athlètes de haut niveau, et d’un point de vue personnel, c’est comme prendre de l’aspirine pour un mal de tête ou du paracétamol pour les courbatures. » Et pour les maux de tête d’une toute autre nature, il y a la ligne de weed de Santana, pour des performances  de (très) haut niveau.

Jay-Z se lance dans le business du cannabis

///

Le rappeur américain a été nommé stratégiste en chef de l’entreprise Caliva qui commercialise du cannabis en Californie.

C’est un beau coup de projecteur  pour Caliva qui jouira évidemment d’une grande notoriété avec Jay-Z à son côté.  «Tout ce que j’entreprends, je veux le faire correctement et au plus haut niveau. Avec tout le potentiel de l’industrie du cannabis, l’expertise et l’éthique de Caliva en font le meilleur partenaire pour cette aventure. Nous voulons créer quelque chose d’extraordinaire, nous amuser dans le processus, répandre le bien et accompagner les gens le long du chemin», a-t-il déclaré.

Le PDG de Caliva, Dennis O’Malley, a estimé sur la chaîne CNN que cette collaboration avec Jay-Z, 49 ans, ouvrait la porte à « d’importants changements pour l’industrie en matière de visibilité ».

Le mari de la popstar Beyoncé contribuera également à travers ce poste à encourager la réinsertion d’anciens détenus, « dont beaucoup sont privés des bénéfices financiers de la légalisation », note l’entreprise de 600 salariés. Pointant le « potentiel de l’industrie du cannabis », Jay-Z, cité dans le communiqué, dit vouloir « créer quelque chose de formidable, s’amuser en le faisant, faire le bien et accompagner des gens ».

Carlos Santana dévoile sa marque de cannabis !

//

Carlos Santana, l’un des guitaristes contemporains les plus connus au monde vient de lancer sa marque de cannabis.

L’icône mexicaine a dévoilé “Mirayo” sa marque composée de quatre variétés de cannabis différentes: Sativa, Hybrid, Indica et CBD.

Les produits Mirayo seront disponibles en paquets de cinq pré-roulés de 0,5g ou d’une jarre de 7g, avec les variétés suivantes :

  • Radiance : Sativa qui permet d’étendre son énergie vers l’extérieur afin atteindre la sagesse divine et à avoir à un esprit créatif.
  • Symmetry : Une hybride visant à harmoniser l’intérieur et l’extérieur, l’esprit et le corps, pour une perception élevée
  • Centered : Une indica destinée qui pousse les fumeurs vers la paix intérieure,

Durant sa déclaration l’artiste a déclaré: “D’après mon expérience, le cannabis a des propriétés spéciales qui améliorent la réflexion méditative et l’expression créative. Cela peut dissiper le doute négatif pour révéler le don éternel de notre unicité. Avec Mirayo, j’espère aider les gens à utiliser le cannabis comme une porte vers un comportement plus bienveillant comme la gentillesse et la compassion.”

 

Jusqu’à présent, Mirayo est disponible dans certains dispensaires californiens, mais ne soyez pas surpris, cela va changer rapidement.

Qui sont les Weedtubers ?

//

Véritable rock-stars du Web, les Weedtubers sont des Youtubers spécialisés dans… la weed. Conseils, tests, défis, astuces, il y en a pour tous les goûts et tous les viewers.

Le Weedtuber est un amateur de weed éclairé qui a du temps libre et une mission :  normaliser le cannabis au travers de contenus originaux, drôles et pertinents. Sur les chaines de ces critiques chevronnés de la beuh, on trouvera des tests de produits, des recettes et conseils (comment rouler un joint, faire un space cake) et beaucoup de challenges à la Jackass. C’est à MarijuanaMan2 que l’on l’on doit les premiers segment du genre.
Le canadien de 50 ans, qui se revendique comme le godfather des  Weedtubeur, a commencé sa planante carrière sur Yahoo! dans les années 90, avant de se poser sur la planète YouTube en 2005.

MarijuanaMan2

Si sa chaine est aujourd’hui désactivée pour avoir franchement franchi la ligne d’un certain bon goût, MarijuanaMan2 aura eu le temps de professer sa verte parole et faire des émules.

Ces segments Youtube étant interdites aux moins de 18 ans, il vous faudra double clicker sur les liens ci-dessous

Pour ceux qui ont la chance d’habiter dans des pays/État où le cannabis est légalisé, les Weedtubers ont trouvé refuge sur  plateforme Weedtubers.com.

Dans la grande famille des  Weedtuber, on retiendra Joel Hradecky, plus connu sous le nom de  CustomGrow420 . Depuis son premier poste, il cumule près de  2,5 million de viewers.

Joel divertit ses adeptes avec des vidéos de déballage et de révision de produits à grande vitesse, ainsi que des défis de fumée Sa vidéo la plus regardée montre un Joel sur le point de prendre 2 énormes taffs d’un bang colossal baptisé. «Le briseur de poumon – 30 pouces de malheur».  7 minutes de vidéo qui totalisent 145 millions de vues. Des chiffres qui en disent longs sur la passion vouée à l’herbe par les milléniums. Si les réseaux sociaux sont la vitrine de notre société, peut-être arriveront-ils à dédiaboliser le cannabis dans les pays où il est encore interdit.

 

1 8 9 10 11