Jacob

Journaliste et talentueux producteur d'électro, il voit le cannabis comme étant Ze sujet actuel, reflet d'une société qui continue à muter. 

Le Canada bannira définitivement le plastique à usage unique d’ici fin 2021

///

Lors d’une conférence de presse donnée le jeudi 7 octobre, le ministre de l’Environnement canadien Jonathan Wilkinson a annoncé la liste des produits en plastique à usage unique qui seront officiellement bannis du pays dès l’année prochaine.

Le gouvernement Trudeau promet que le Canada produira « zéro déchet » de plastique d’ici 2030, grâce au bannissement de certains produits d’usage courant et à une bonification des mesures de recyclage. Mais le plastique est là pour rester, ajoute Ottawa, même si une « évaluation scientifique » commandée par le fédéral conclut qu’il existe plusieurs incertitudes sur les impacts pour la santé de notre exposition chronique aux particules de plastique.
Dans un premier temps, le Canada prévoit d’interdire d’ici fin 2021 six objets de plastique à usage unique, qui sont nocifs pour l’environnement, difficilement recyclables et peuvent être facilement remplacés. Sacs, pailles et bâtonnets en plastique à usage unique seront alors interdits.
“Pour être honnêtes, nous ne sommes pas à l’avant-garde du monde dans ce domaine”, a admis M. Wilkinson lors d’une conférence de presse. “C’est exactement la même approche que plusieurs pays en Europe ont empruntée, y compris le Royaume-Uni, et nous avons certainement appris du travail qu’ils ont fait”, a-t-il déclaré.

En plus de cette interdiction, présentée comme un « élément-clé » dans l’atteinte par le Canada de la cible de « zéro déchet de plastique d’ici 2030 », Ottawa compte obliger les fabricants de produits et emballages de plastique à y intégrer une certaine quantité de matières recyclées.

Le gouvernement fédéral ambitionne également d’améliorer le « processus de récupération et de recyclage du plastique ».

Cette démarche « stimulera l’investissement dans les infrastructures de recyclage et favorisera l’innovation dans la technologie et la conception des produits », prévoit Ottawa.

Make Cannabis Great Again: Le Vermont devient le 11e État à légaliser la weed!

///

Le club de marijuana des États-Unis vient de passer à 11 avec l’ajout du Vermont mercredi.

Tout le monde l’attendait, c’est maintenant chose faite : le Vermont a accepté de légaliser pleinement la marijuana. La possession personnelle (jusqu’à une once) et la culture de marijuana ont été légalisées au Vermont en 2018, mais les ventes au détail étaient toujours illégales. La législature de l’État a remédié à cela en acceptant finalement l’article 54, un projet de loi qui finalise aujourd’hui le processus de légalisation du Vermont.

«Je suis vraiment heureux qu’après avoir présenté certains des premiers projets de loi sur la légalisation du cannabis il y a plus de 20 ans, nous ayons enfin mis en place un système fiscal et réglementaire avec certains des contrôles les plus stricts sur la propriété des entreprises et des protections et des ressources supplémentaires pour la prévention des jeunes», a déclaré Le lieutenant-gouverneur du Vermont, David Zuckerman. «Ce projet de loi complet et avant-gardiste s’attaque aux méfaits historiques de la guerre contre la drogue, qui affecte de manière disproportionnée les communautés de couleur, y compris ici au Vermont.»

En même temps que l’article 54 passait par le Sénat du Vermont, son projet de loi sœur, l’article 234, était également approuvé. «Ce projet de loi supprimera automatiquement les casiers judiciaires de plus de 10 000 personnes reconnues coupables de possession de deux onces ou moins de marijuana. Le projet de loi décriminalise également la possession de une à deux onces de marijuana», a expliqué Zuckerman.

La maltraitance animale à l’origine du COVID?

/

Le traitement des animaux est la principale cause de la pandémie mondiale du coronavirus.

Il n’est pas inhabituel que des virus de ce genre se propagent dans la population humaine à partir d’animaux. Selon le centre de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (Centers for Disease Control and Prevention), plus de 75 % des maladies émergentes sont d’origine animale.

Ce serait le cas pour la COVID-19 mais également pour d’autres coronavirus, tels que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) qui se sont propagés des animaux aux humains.

La production de viande implique le confinement concentrationnaire de milliers d’animaux dans des élevages insalubres et surpeuplés où prospèrent les agents pathogènes. Les maladies sont inévitables dans ces conditions, malgré les quantités d’antibiotiques que l’on donne aux animaux, afin de les garder en vie jusqu’à temps qu’ils soient assez rentables pour être abattus de manière terrifiante.

En plus de comporter un risque élevé de contamination par des agents pathogènes , la viande ne contient pas de fibres et est pleine de graisses saturées et de cholestérol qui obstruent les artères. Selon l’Académie américaine de nutrition et de diététique, les végans sont moins enclins à souffrir de maladies cardiaques, de diabète, d’obésité et de cancer que les mangeurs de viande. Mais il existe d’autres problèmes de santé possibles liés à l’obsession de notre société pour la viande.

D’autres exemples que la Covid-19 ? La grippe aviaire; une maladie virale qui sévit chez les oiseaux, notamment dans les élevages de poulets, d’oies, etc, et certains sous-types de grippe aviaire peuvent franchir la barrière des espèces : c’est le cas du virus H5N1.

La grippe porcine causé par un élevage industriel de cochons au Mexique.affectent d’innombrables cochons dans les élevages, se propageant très rapidement d’un animal à l’autre, dans les conditions insalubres et de confinement extrême qu’endurent la majorité des animaux élevés pour la consommation. Dans certains cas, le virus subit une mutation et peut être transmissible à l’humain, comme dans le cas du H1N1, et qui se propage ensuite facilement dans la population humaine…

Texte: courtesy PETA/Consoglobe.

 

La Canada propose le premier masque réutilisable et écologique.

/

Alors que la deuxième vague de la COVID-19 se dessine, la production massive des masques Dorma 99 contribuera à répondre aux besoins de protection des travailleurs de la santé canadiens. Si l’appareil n’est pas des plus glamour à porter, il est des plus efficace pour les hommes et surtout beaucoup plus éco-friendly que les masques  jetables.

Le démarrage de cette production du nouveau masque répond directement à la demande du gouvernement du Canada d’obtenir du matériel de protection essentiel fabriqué au Canada, et contribue ainsi à combler dès maintenant ce besoin criant des travailleurs de la santé lors de cette deuxième éclosion.

Lors de la première vague au printemps 2020, plusieurs professionnels de la santé étaient inquiets du manque d’équipements de protection individuelle adéquats pour protéger les intervenants de première ligne. Par ailleurs, selon un récent sondage de l’Association médicale canadienne*, 54 % des médecins au Canada ont encore du mal à se procurer de l’équipement de protection individuelle.

Une protection réutilisable et écoresponsable
Filtrant au-delà de 99 %** des particules dans l’air, le masque Dorma 99 est plus efficace et plus écoresponsable que les masques N95 jetables, puisqu’il peut être réutilisé plus d’une trentaine de fois et que ses composantes sont recyclables. Ainsi, chaque masque Dorma 99 remplace au moins 30 masques N95 jetables. Son coût par utilisation est également inférieur à celui des solutions jetables existantes.

« Nous sommes animés par le désir de trouver une solution qui puisse être fabriquée localement tout en offrant une protection optimale, et ce, à un coût par utilisation considérablement inférieur à ce qui est offert présentement, affirme Dr René Caissie, président-directeur général et cofondateur de Dorma Filtration. Notre produit est réutilisable et recyclable, ce qui veut dire qu’un seul masque remplace efficacement d’importantes quantités de masques qui se retrouvent dans l’environnement. »

Des partenariats forts pour répondre à un besoin essentiel
Ce masque N99 est le fruit d’un projet mis en œuvre par Dorma Filtration et le Conseil national de recherches du Canada (CNRC). En plus des technologies de pointe disponibles dans ses installations de Boucherville, l’équipe du CNRC dispose d’une expertise précieuse pour optimiser les procédés de moulage par injection avec lesquels seront fabriqués les masques.La nature exceptionnelle de la situation actuelle a permis en un temps record de réunir les expertises scientifiques des chercheurs du CNRC et l’important savoir-faire des ingénieurs de l’industrie, notamment ces partenaires essentiels au projet : Sefar BDH, un leader dans le domaine des technologies de filtration, MI Intégration, une entreprise spécialisée dans le moulage par injection, eLab extrusion, une entreprise spécialisée en extrusion des polymères, et Rio Tinto, qui a contribué financièrement à la conception des filtres, en plus de jouer un rôle de facilitateur entre les parties prenantes au projet.

Le masque Dorma 99 :

  • Filtration efficace – Répond aux exigences d’une filtration efficace à au moins 99 % contre les aérosols solides et liquides ne contenant pas d’huile.
  • Réutilisable – Le masque Dorma 99 est réutilisable au moins 30 fois et peut facilement être désinfecté. Dorma Filtration propose également des filtres réutilisables.
  • Recyclable – Les composantes du masque Dorma 99 sont 100 % recyclables.
  • Construction légère – Offre confort et durabilité pendant les longues heures de travail.
  • Ajustement personnalisé – S’adapte à la forme du visage, ce qui assure une étanchéité efficace.

SOURCE Dorma Filtration

Belgique : le bourgmestre de Bruxelles appelle à une légalisation de la weed.

/

Le bourgmestre de Bruxelles Philippe Close invite le gouvernement Vivaldi à s’emparer du sujet pour “en finir avec l’hypocrisie”

Le bourgmestre de Bruxelles prend position ! « Je suis pour la légalisation, annonce-t-il. Il faut arrêter l’hypocrisie, la consommation de cannabis est largement présente dans la population. Chez les jeunes aussi. Il faut sortir ces jeunes des réseaux criminels. »

Philippe Close demande enfin à la Vivaldi de se saisir de la question et que soit entendu au Parlement “le cri des bourgmestres et des policiers” qui, selon lui, “perdent leur temps à courir derrière les fumeurs de pétard et les dealers”.

“Nous dépensons des millions d’euros pour lutter contre le trafic de cannabis alors que les parquets ne poursuivent plus en dessous de 100 grammes”.

Le bourgmestre socialiste ajoute : « Nous voulons créer des magasins d’État qui vendent le cannabis. Je le dis comme bourgmestre : on perd notre temps et l’argent public ».

 

 

 

Du cannabis pour gérer les douleurs de la ménopause.

/

Dans une étude présentée à la réunion virtuelle 2020 de la Société nord-américaine de la ménopause (NAMS), près d’une femme sur deux déclare consommer du cannabis pour gérer les symptômes gênants de la ménopause.

Le système endocannabinoïde a un rôle fondamental à jouer dans tous les aspects de la fertilité féminine; c’est un fait.

Bien que les études sur les effets des cannabinoïdes sur la ménopause n’aient pas encore été suffisamment approfondies, des recherches ont été menées sur le traitement des cannabinoïdes pour d’autres maladies affectant les organes reproducteurs féminins, comme l’endométriose. Des études cliniques individuelles suggèrent que les symptômes de la ménopause peuvent être corrigés séparément.

Une femme ménopausée sur quatre consommatrice

Ces travaux ont porté sur 232 femmes (âge moyen de 55,95 ans) résidant en Californie du Nord. Plus de la moitié d’entre elles ont déclaré avoir des symptômes gênants dus à l’apparition de la ménopause : des bouffées de chaleur et des suées nocturnes (54%), des insomnies (27%) et des symptômes génito-urinaires (69%).

Parmi les femmes interrogées, 27% ont déclaré avoir consommé ou consommer actuellement du cannabis pour gérer leurs symptômes. Trente-sept pour cent des participantes ont quant à elles déclaré être intéressées par le cannabis pour mieux gérer leurs symptômes à l’avenir.  En revanche, seulement 19 % ont déclaré avoir utilisé un type plus traditionnel de gestion des symptômes de la ménopause, comme l’hormonothérapie.

D’après les résultats, le cannabis est principalement utilisé par les femmes qui avaient signalé des bouffées de chaleur et des sueurs nocturnes. Fait intéressant, cette utilisation ne diffère pas selon l’âge, l’ethnicité, le statut socio-économique ou les conditions de santé mentale.

“Ces résultats suggèrent que la consommation de cannabis pour gérer les symptômes de la ménopause peut être relativement courante”, analyse Carolyn Gibson, psychologue et autrice principale des travaux. Toutefois, tempère-t-elle, “nous ne savons pas si la consommation de cannabis est sûre ou efficace pour la gestion des symptômes de la ménopause ou si les femmes discutent de ces décisions avec leurs prestataires de soins de santé”. Il est pourtant nécessaire d’en discuter avec son médecin mais aussi de “poursuivre les recherches dans ce domaine”.

“Cette étude met en évidence une tendance quelque peu alarmante et la nécessité de mener davantage de recherches sur les risques et les avantages potentiels de la consommation de cannabis pour la gestion des symptômes gênants de la ménopause”, conclut le docteur Stéphanie Faubion, directrice médicale du NAMS.

Tealer : la marque de vêtement pour stoner.

/

Voici Tealer, la marque française qui s’inspire de la weed pour confectionner des vêtements pour stoner.

Tealer, c’est une marque créée par des amis vivant en collocation. Plus précisément, c’est dans le sous-sol du quartier ”Le Marais” que la marque naît. Elle se caractérise par des designs décapants pour faire rire et évoque un mode de vie parfois assez enfumé… En anglais, on appelle ça du weedwear.

Fondée en 2012 par Jeff et Alex, deux amis de longue date, le concept Tealer  est alors simple et inédit : vendre des T-shirts et goodies pour les fumeurs à la manière des dealers avec l’herbe. Au départ, Jeff se déplaçait à vélo pour aller livrer les produits, un dealeur de vêtement comme on pourrait le dire. Rapidement, la marque plait et se vend facilement.

Dès sa création, Tealer séduit. Portée principalement par des lycéens et des adolescents, elle touche ensuite un panel de clients beaucoup plus large, allant jusqu’à la clientèle des boites de nuit branchées. Victime de son succès, Tealer devient rapidement un label, Tealer Records, qui a commencé par produire les amis des amis et qui a aussi organisé des soirées « Kush » à succès.

Si Tealer a séduit ses premiers fans avec son esprit sans complexes du cannabis, la marque s’est aujourd’hui légèrement détachée de l’herbe pour proposer des images moins flagrantes. Les gens savent dorénavant ce qu’est Tealer, la voilà sa grande force.

Retrouvez les produits Tealer ici

 

La légalisation du cannabis a fait baisser sa consommation

///

Pour Pierre-Yves Geoffard, professeur à l’Ecole d’Economie de Paris et expert de la santé, la légalisation encadrée du cannabis n’est pas une “lâcheté” comme l’affirme Gérald Darmanin. C’est une politique rationnelle qui a réussi à réduire la consommation chez les jeunes, notamment au Canada.

Paradoxale ?  Depuis le 1er septembre, en France, il est dorénavant possible de recevoir une “amende forfaitaire délictuelle” permettant aux forces de l’ordre de condamner plus rapidement les consommateurs de cannabis ou de cocaïne. La loi française, déjà la plus répressive d’Europe sur l’usage de drogues, dispose désormais d’un outil supplémentaire.

Nos confrères de Challenges Magazine délivrent aujourd’hui la tribune de Pierre-Yves Geoffard -expert de la Santé- expliquant que la légalisation encadrée du cannabis n’est pas un délit. Au contraire, cela pourrait plutôt s’apparenter à une politique rationnelle qui aurait réussi à réduire la consommation chez les jeunes, notamment au Canada.

La suite de l’article paru dans “Challenges” est disponible ici

 

 

Ikea se lance dans les panneaux solaires pour particuliers

//

Dès aujourd’hui, il sera possible d’acheter des panneaux solaires chez Ikea, associé à Voltalia, le géant des énergies renouvelables. De 6 990 euros les six panneaux à 7 990 euros pour neuf panneaux, désormais installer ce type de service devient “simple et accessible”.

Le géant suédois de l’ameublement se lance dans les énergies renouvelables ! L’entreprise, qui s’associe pour l’occasion avec Voltalia, acteur international des énergies renouvelables, propose deux types d’offres, une “pour s’adapter aux toitures les mieux exposées, à partir de 6 990 euros pour six panneaux, et 7 990 euros pour neuf panneaux”, une autre “s’adaptant à différents types de toits, avec du matériel pour optimiser la production et l’autoconsommation”, 1 000 euros plus cher.

Ikea annonce des garanties dont “5 ans pour le service après-vente tout compris”, “5 ans de garanties de performance” lors de laquelle “s’il y a une différence entre la performance annoncée lors du devis final et la production réelle de l’installation, le client se verra rembourser la différence”, “10 ans minimum de garantie du fabricant sur les composants (panneaux et onduleur) et “25 ans de garantie sur la performance des panneaux”.

SOUTH PARK revient en force avec un épisode weed et COVID.

/

Bonne nouvelle pour les fans de South Park, la série humoristique nous offre un épisode d’une heure spécial COVID & Weed pour entamer sa 24ème saison. Il y sera  question de vaccin contre coronavirus, de rapports intimes avec un pangolin et de weed évidement, grâce aux interventions du père de Stan qui s’est lancé dans le ganja-business durant la 22ème saison.

La série South Park ne lâche rien et continue de commenter l’actualité avec dix épisodes par an.
Sa 24e saison doit commencer le 30 septembre prochain sur Comedy Central aux Etats-Unis, la création de Trey Parker et Matt Stone a de quoi faire avec cette année 2020. Ils ont d’ailleurs décidé de créer l’événement avec un premier épisode consacré entièrement à la crise du coranavirus et d’une durée exceptionnelle d’une heure.

The Pandemic Special, c’est son titre, verra la ville du Coloradao confrontée aux défis de l’épidémie de Covid-19, qu’il s’agisse du retour à l’école, du port des masques ou de la solidarité avec le corps médical… Et d’herbe enrichie au sperme.  Enjoy!

 

1 3 4 5 6 7 25