Jacob

Journaliste et talentueux producteur d'électro, il voit le cannabis comme étant Ze sujet actuel, reflet d'une société qui continue à muter. 

JAY-Z lance une nouvelle marque d’herbe : MONOGRAM

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MONOGRAM, la marque de cannabis très en vogue de Jay-Z, fait enfin ses débuts après une introduction animée en octobre.

On vous en parlait il y a peu, le célèbre rappeur Jay-Z avait été nommé stratégiste en chef de l’entreprise Caliva (une entreprise qui commercialise de la weed en Californie). On ne savait alors pas grand-chose de la marque, à part que c’était une idée originale de Jay-Z. Aujourd’hui, MONOGRAM a annoncé via communiqué de press qu’après 18 mois de sélection et de culture de souches, “MONOGRAM est enfin prêt à présenter sa collection de produits au monde”.

Les produits MONOGRAM seront classés en trois catégories: légers, moyens et lourds. Et plutôt que d’avoir les noms de variétés traditionnels auxquels nous sommes tous habitués (Blue Dream, OG Kush, Pineapple Express, etc.), nous aurons le droit à des produits numérotées: No. 88, No. 96, No. 70 et No. 01.

“Le cannabis existe depuis des milliers d’années, mais c’est toujours une industrie dont l’héritage de savoir-faire artisanal est souvent négligé”, a déclaré JAY-Z dans le communiqué de presse. “J’ai créé MONOGRAM pour donner au cannabis le respect qu’il mérite en mettant en valeur l’énorme travail acharné, le temps et le soin nécessaires pour fabriquer une fumée supérieure. Les produits MONOGRAM sont au niveau supérieur en matière de qualité et de cohérence et nous ne faisons que commencer.”

Source : Weedmaps

Le télétravail est-il écologique ?

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La réduction des transports, directe conséquence de la crise de la COVID-19 , a eu une incidence directe sur la pollution atmosphérique, rendant l’air de nos villes nettement plus respirable. Un bienfait très relatif: aussi sédentaire soit-il, le télétravail est loin d’être écologique.

Moins de transports, oui, mais en contrepartie, plus de chauffage domestique et augmentation des déchets informatiques ainsi que du trafic sur le Web.
Les technologies numériques, particulièrement l’usage d’Internet, en forte augmentation en période de télétravail, génèrent des gaz à effet de serre pour la moitié d’entre eux.
En cause, la consommation électrique des centres de données, les réseaux de routeurs et les appareils électroniques.

La pandémie aura aussi vu l’explosion des vidéoconférences, une façon de se réunir qui multiplie plus encore le poids des données échangées, la vidéo étant beaucoup plus gourmande en bande passante que les e.mails. Pour donner un ordre d’idée en matière de bilan carbone:  une minute de vidéoconférence équivaut à l’envoi de 4 courriels de taille moyenne et à 400 minutes d’appels téléphonique!

Une solution éco-responsable et durable pourrait consister en un mélange entre travail à distance et au bureau. “En passant à deux ou trois jours de télétravail par semaine avec en plus un matériel de flex office, on pourrait atteindre une économie d’environ 270 kilos de C02 par an et par jour de flexi-travail hebdomadaire. Ce qui n’est pas grand-chose à l’échelle d’une personne, mais peut devenir énorme à celle d’une entreprise ou d’un millier d’individus“, appuie Raphaël Guastavi (Chef de service adjoint au service “Produits et efficacité matière” de l’Ademe).

La NBA n’imposera pas de test dépistage de cannabis pour sa prochaine saison

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Coup de tonnerre dans le monde du ballon orange!  Afin d’éviter les contacts inutiles en raison de la COVID-19, la National Basketball Association (NBA) renoncera à tester ses joueurs pour consommation de cannabis pour la saison 2020-2021 !

La ligue NBA , qui n’avait déjà pas testé ses joueurs lors du redémarrage de la saison 2019-2020 à Orlando, maintiendrait sa décision de continuer à ne pas tester les basketteurs, dans un soucis de protection dans le cadre de la lutte contre la COVID-19.
Suivant cette logique, il semblerait que la NBA se dirige bel et bien vers un arrêt définitif des test THC chez les joueurs de NBA, tout du moins dans les états où elle est autorisée.

Selon ESPN (la chaine américaine dédiée au sport) il n’y aurait que six États qui n’aurait pas légalisé la weed sous une forme ou une autre (thérapeutique ou récréative) Indiana, Géorgie, Caroline du Nord, Tennessee, Texas et Wisconsin. Alors que la ligue semble s’aligner sur une tolérance de au sujet de la  consommation de marijuana -un avis partagée avec de nombreuses personnes aux États-Unis- , le commissaire de la NBA Adam Silver reste prudent quant à la modification de sa position sur la façon dont la décision pourrait être interprétée par les fans en bas âge «Lorsque nous modifions notre politique, nous devons être très prudents car nous envoyons clairement un message aux jeunes», a déclaré Silver précédemment. “Tout comme avec l’alcool, vous devez apprendre aux jeunes à utiliser une substance de manière appropriée et responsable pour qu’elle ne vous submerge pas.”

Pour information,  la MLB (Major League Basebal) et la NHL (National Hockey League) ont déjà renoncé de pénaliser leurs athlètes pour la consommation de cannabis,  une drogue plante largement consommée par nombre de joueurs.

Quelques athlètes du panier, à l’instar de l’ancien joueur Al Harrington qui est sur le point de devenir milliardaire grâce à son entreprise de cannabis, auront eu la sagesse de sagement attendre la retraite pour se consacrer entièrement au cannabis.

Mike Tyson avoue avoir fumé un joint avant un combat

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Mike Tyson a admis avoir fumé de l’herbe juste avant son combat d’exhibition contre Roy Jones Jr en Californie.

Un combat de huit rounds qui s’est terminé par un match nul !

Iron Mike s’est exprimé dernièrement sur sa consommation quotidienne de cannabis. Lors de la conférence de presse post-exposition, il a expliqué que cette routine n’avait pas changé même dans la préparation de son combat contre Roy Jones Jr. “Je fumais tous les jours”, a déclaré Tyson aux médias, selon un reportage sur BadLeftHook.com. “Je n’ai jamais arrêté de fumer.” Les journalistes ont ensuite demandé à Mike s’il fumait juste avant un combat. “Absolument, oui”, a répondu l’ancien champion incontesté des poids lourds.

“C’est juste qui je suis, cela n’a aucun effet sur moi d’un point de vue négatif”, a ajouté Tyson. “C’est juste ce que je fais, ce que je suis et comment je vais mourir. Il n’y a pas d’explication, il n’y a pas de début, il n’y a pas de fin.”

Bien qu’il y ait eu des tests de dépistage de drogue VADA dans la préparation de l’événement, le cannabis – qui est légal en Californie – ne figurait apparemment pas sur la liste des substances interdites. Tyson a expliqué qu’à ses yeux, ce n’est certainement pas un médicament améliorant la performance.

En 2016, Tyson, aujourd’hui âgé de 54 ans, a créé sa propre société, Tyson Holistic Holdings, à travers laquelle il vend une gamme de produits  à base de cannabis. Le Tyson Ranch, hôtel de luxe de 164 hectares dédié au cannabis lui rapporte aujourd’hui environ 500 000 $ par mois.

Meet Maximillian White : le milliardaire du cannabis médical

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Maximillian White, un homme d’affaires britannique, est sur le point de devenir milliardaire grâce au cannabis médical 

Des allures de star pour la télé réalité : chemise finement coupée, jean bien taillé, tatouages bien dessinés. A première vue Maximillian White cache bien son jeu et pourtant, pour ses 40 ans, l’homme d’affaire a eu l’idée de s’offrir 40 hectares de cannabis au Portugal pour le produire à des fins médical. Quatre ans après (décidément ce chiffre 4) , Maximillian compte plusieurs clients à travers le monde et emploie des centaines de personnes. 

S’adressant au Daily Star, Maximillian a déclaré: “Pour moi, ce n’est pas une question d’argent, c’est une question de vision. Tout le cannabis que nous vendons est médical. Il peut aider les personnes atteintes de psoriasis, de sclérose en plaques, de convulsions et d’innombrables autres choses. “

«Nos plus grandes plantations sont au Portugal, mais nous en avons également en Afrique pour la qualité. Nous allons également organiser des retraites de spa où nous pouvons analyser les gens et créer une souche de marijuana pour tout ce qui se passe dans leur corps. «Nous allons cultiver beaucoup de cannabis, environ 1,5 milliard d’euros par an.»

Il est vrai que l’argent, Max n’est pas à quelques euros près. Après avoir quitté Nottingham pour Majorque afin de devenir DJ dans la vingtaine, Maximillian a co-fondé une maison de disques et a ensuite investi dans Beatport. Aujourd’hui, Maximillian possède  une collection de vins d’une valeur de 30 millions de livres sterling, 50 maisons à Dubaï et des propriétés en Thaïlande, en Espagne et au Royaume-Uni ainsi qu’une flotte de plus de 20 véhicules de luxe. Il compte 4 millions d’abonnés sur son compte Instagram «thatboyyouhate», où il partage ses instants de vie…

Selon des récentes recherches , l’industrie du cannabis médical devrait valoir 73,6 milliards de dollars (55,3 milliards de livres sterling) d’ici 2027. Au Royaume-Uni, on pense que l’industrie vaudra 2,4 milliards de livres sterling d’ici 2024. Alors oui, on peut le dire : Maximillian a misé sur le bon cheval 

Le Mexique en passe de légaliser le cannabis!

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Le Sénat Mexicain a approuvé jeudi 19 novembre un projet de loi visant à légaliser le cannabis. Si l’année dernière, l’initiative avait échoué, il y a des grandes chances pour qu’elle reçoive cette année l’aval de la Chambre Basse, ce qui ferait du pays au 130 millions d’habitants le premier marché de weed légal.
La réponse est attendue avant le 15 décembre.

Le Mexique est sur le point de devenir le plus grand marché légal cannabis au monde !
Jeudi 19 novembre, quatre-vingt-deux sénateurs ont voté en faveur de la légalisation du cannabis, tandis que 18 seulement ont voté contre.
Le projet de loi doit désormais être approuvé par la chambre basse du Congrès afin que le rêve devienne réalité.

Un verdict qui devrait être rendu avant le 15 décembre, date butoir fixée par la Cour suprême.
La même
Cour suprême qui avait l’année dernière coupé court à toute vélehités de légalisation du cannabis en estimant que sa consommation était inconstitutionnelle.

Avec une population de près de 130 millions d’âmes, le Mexique deviendrait alors le pays le plus peuplé du monde à légaliser l’usage récréatif de la marijuana. Une légalisation qui serait aussi un signal fort en réaction aux violences engendrée par le trafic de drogues et son combat par les autorités. Soustraire le marché du cannabis aux griffes des Cartels réduirait cette violence, espèrent les législateurs pro-légalisation du pays.

Le projet de loi adopté par le Sénat permettrait la possession, pour les adultes, de 28 grammes de Ganja alors que les citoyens adeptes de la belle herbe seraient autorisés à cultiver jusqu’à quatre plants.
Si le Mexique légalisait, cela placerait les Etats-Unis dans une inconfortable position, prise entre deux voisins ayant entièrement légalisé.
Puis l’effet domino?

2020 sera une belle année pour le cannabis au Canada

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Pour sa première pleine année d’exercice , la Société Québécoise Du Cannabis (SQDC) a annoncé dans son rapport d’activité avoir vendu 47 tonnes de cannabis pour quelque 300 millions de dollars, générant 26,3 millions de dividendes reversées au gouvernement.

La SQDC estime avoir réussi à capter 30% du marché illicite du cannabis et être une « des sociétés d’État du cannabis les plus rentables au Canada ».
La société d’état en charge du commerce de weed au Québec reversera 26 millions de dollars au gouvernement de la Belle Province, une maille destinée à financer « la recherche, l’éducation et la prévention des méfaits en matière de cannabis ».
La pandémie aura surement joué un gros rôle dans ce jackpot tant l’usage récréatif du cannabis a explosé pendant le confinement: les profits de la SQDC ont été multipliés par sept entre mars et juin 2020.

En plus de l’impact de la COVID-19, l’augmentation du nombre de points de vente et des prix plus compétitifs que ceux pratiqués sur le marché noir ont aussi joué en faveur de la SDQC. (le prix de vente par gramme de cannabis au début de l’année, aurait été près d’un dollar moins cher sur le marché légal que sur le marché non-autorisé, détaillait l’Ontario Cannabis Store).

Pour David Soberman, professeur de marketing à l’Université de Toronto, les consommateurs devraient continuer à demeurer loyaux à l’industrie légale du cannabis, même une fois la crise sanitaire surmontée.
«Même quand la pandémie sera terminée et que nous aurons trouvé un vaccin, vous verrez que les gens se sont habitués à acheter leur herbe légalement. Et il faudra un certain temps avant que le marché noir ne puisse récupérer ne serait-ce qu’une partie de ce qu’il vendait auparavant», a-t-il enfin précisé au journal de Montréal /Global News.

Le cours des actions du cannabis-business explose.

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La victoire de Joe Biden vient donner un sérieux boost à l’industrie du cannabis:  dès l’annonce officielle de la transition Trump-Biden, le cours de titres d’acteurs majeurs du commerce de weed, comme Canopy Growth, a monté en flèche.

Une hausse anticipée et  alimentée par les attentes envers une administration Biden en faveur du marché du cannabis et qui assouplira très vraisemblablement la législation encadrant son commerce. Contrairement à Donald Trump, Biden n’entravera pas la proposition fédérale qui laisse à chaque État américain le pouvoir de  légaliser le cannabis, un soulagement pour les acteurs du secteur, une invitation pour les investisseurs.

Plus tôt ce mois-ci, les électeurs de l’Arizona, du Montana, du New Jersey et du Dakota du Sud ont légalisé la vente et consommation de weed, portant à 15 le nombre total d’États qui authorise l’herbe Les dirigeants de l’industrie verte n’auront pas tardé à publiquement faire part de  leur satisfaction quant au résultat des présidentielles US: Le PDG de Canopy, fort du soutien financier du propriétaire de Corona Constellation Brands(STZ), s’est montré particulièrement optimiste quant à ce que les changements dans le paysage politique pourraient signifier pour l’industrie.

«Nous pensons que la victoire de Biden est une étape importante sur la voie de l’autorisation fédérale du cannabis sur le marché américain grâce à la décriminalisation et à la dépollution», expliquait le  PDG de Canopy David Klein lors d’une récente conférence téléphonique avec des analystes.

“Les résultats des initiatives de vote montrent clairement que le soutien pour la légalisation de la marijuana à l’usage des adultes s’étend à travers les frontières géographiques et partisanes et est soutenu par une majorité d’Américains. La marijuana légale est en train de devenir la norme américaine”.“Cela augmentera probablement la pression sur le Congrès pour qu’il adopte une réforme fédérale majeure pour la marijuana dans un avenir très proche.” a conclu le CEO de l’entreprise canadienne.

 

 

C’est quoi la pollution spatiale?

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Comme si la surface du globe ne suffisait pas, l’être humain pollue aussi l’espace !  Notre orbite recèle d’innombrable objets artificiels pouvant être sources de collision dangereuse pour des satellites ou pour la Station Spatiale Internationale.

Et cette pollution est loin d’être anodine ! Depuis le début de notre Histoire, l’homme a envoyé bons nombres de satellites et de fusées dans l’espace. On note plus plus de 130 millions d’objets (dont 5400 de plus d’un mètre, 34 000 de plus de 10 cm et 900 000 de plus d’un centimètre et plus de 130 millions de moins de 1 millimètre) tournent autour de la Terre.

C’est pourtant lorsqu’ils cessent de fonctionner que ces objets deviennent une potentielle source de pollution.  En vieillissant, les appareils restent souvent en orbite mais peuvent se fragmenter voire exploser, dispersant une grande quantité de débris.

Il y a quelques semaines, rapporte National Geographic, deux débris de taille imposante se sont frôlés à 25 m et ont donc bien failli se percuter.  Selon le PDG de LeoLabs Daniel Cerpeley, interrogé par National Geographic, leur collision aurait généré deux grands nuages « qui se seraient étalés comme une coquille de débris autour de la Terre ». Ils auraient ensuite stagné pendant des siècles, avant de redescendre vers nous et de brûler dans l’atmosphère. Dans le but de répondre à cette menace, plusieurs solutions sont actuellement imaginées, telles que les manœuvres automatisées de prévention des collisions ou encore des moyens de collecte des déchets spatiaux.

Pour l’heure, Space X  envisage de mettre en orbite 42.000 satellites afin de constituer un réseau de satellites, baptisé « le lien des étoiles »….Une pollution invisible que le commun des mortels ne voit pas mais qui aura de graves retombées…L’augmentation probable des collisions spatiales et la multiplication des débris qui en résultera, pourraient rendre inutilisables les orbites basses et l’environnement spatial proche….

 

 

Captain Cannabis : le premier super-héros à tirer ses pouvoirs de la Ganja

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Un grand pouvoir implique de grandes responsabilisées… Meet Capitaine Cannabis, l’homme qui devient super-héro quant il fume de la weed intergalactique.

Lorsque Captain Cannabis, créé par Verne Andru, a fait ses débuts dans la scène de la bande dessinée underground, c’était une première: il était le premier personnage de dessin animé à tirer ses pouvoirs de la marijuana. Alors voilà, l’histoire est la suivant. Du haut de son costume en latex vert, Capitaine Cannabis se bat corps et âme contre ceux qui s’opposent à la légalisation de la marijuana en 1975: les agents anti-narcotiques ou la police.

L’idée qui a déclenché la création du héros est née lorsque le Canada, en 1972, a débattu de la dépénalisation de la marijuana. «Captain Cannabis est le premier super-héros dédié à la paix, à l’amour et à la compréhension. Il est le super-héros que nous portons tous à l’intérieur (…) il est tout sauf le héros typique de Marvel ou de DC ». Depuis 1975, le personnage évolue dans la scène de la bande dessinée underground et alternative avec des impressions intermittentes. La plupart de ses histoires se déroulent à l’époque fictive post-interdiction, qui au Canada est devenue réelle en 2018. «Tout le monde l’a aimé instantanément et son avenir semblait assuré. Nous avons eu un public réceptif », raconte Andru.

Pour la petite anecdote, il faut savoir que lorsque des tensions politiques autour de la légalisation sont apparues aux États-Unis avec des événements tels que la création de la DEA et la lutte contre la drogue par Ronald Regan, Verne Andru lui-même était surveillé par les autorités de son propre pays sans qu’il le sache. «C’est ce que j’ai découvert des décennies plus tard grâce à une demande soutenue par la liberté de l’information», se souvient Verne. “C’était une période sombre.”

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