Jacob

Journaliste et talentueux producteur d'électro, il voit le cannabis comme étant Ze sujet actuel, reflet d'une société qui continue à muter. 

Jour du dépassement 2020 : 3 semaines de répit en plus pour la planète

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En 2020, le jour du dépassement a été atteint le 22 août. À cette date, nous avons consommé toutes les ressources que la Terre peut renouveler en un an. Une date en net recul par rapport à 2019 grâce à la Covid-19 qui a permis à la Terre de bénéficier d’un répit de 3 semaines en plus cette année.

Samedi 22 août l’humanité avait consommé plus de ressources naturelles que la Terre peut renouveler en 12 mois: le symbolique “jour du dépassement” recule pour une fois cette année, sous l’effet de la pandémie de Covid 19, mais ce n’est pas une bonne nouvelle avertissent ses promoteurs. Le “Overshoot Day” selon son nom anglais, calculé depuis 2003 par l’ONG américaine Global Footprint Network, a pour but d’illustrer la consommation toujours plus rapide d’une population humaine en expansion sur une planète limitée.

Pour le dire de façon imagée, il faudrait cette année 1,6 Terre pour subvenir aux besoins de la population mondiale de façon durable.

La date est calculée en croisant l’empreinte écologique des activités humaines (surfaces terrestre et maritime nécessaires pour produire les ressources consommées et pour absorber les déchets de la population) et la “biocapacité” de la Terre (capacité des écosystèmes à se régénérer et à absorber les déchets produits par l’Homme, notamment la séquestration du CO2).

Le “dépassement” se produit quand la pression humaine dépasse les capacités de régénération des écosystèmes naturels et ne cesse selon l’ONG de se creuser depuis 50 ans: 29 décembre en 1970, 4 novembre en 1980, 11 octobre en 1990, 23 septembre en 2000, 7 août en 2010.

L’an dernier il était tombé le 29 juillet. 2020 marque donc un rare répit, mais attribuable aux conséquences de la pandémie mondiale qui a paralysé des pans entiers de l’activité humaine, repoussant la date de trois semaines, et non pas à un changement systémique. “Il n’y a pas de quoi se réjouir car ça vient avec des souffrances, ce n’est pas fait exprès, mais par une catastrophe”, soulignait jeudi Mathis Wackernagel, président de Global Footprint Network lors d’un événement en ligne. Et de mettre en garde: “C’est comme pour l’argent: on peut dépenser plus que ce qu’on gagne, mais pas pour toujours”.

Le Québec investit dans l’écologie

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Les derniers mois furent compliqués pour la province du Québec. La ville de Montréal a été touchée par des épisodes de concentration élevée de particules fines en raison d’incendies résultant de la forte canicule qui a secoué le Canada.

Par réaction à ce mois de juin pesant, le Québec semble avoir placé son mois de juillet sous le signe de l’écologie et de l’environnement. Plusieurs annoncent du gouvernement du Québec vont dans ce sens.

Une première concerne la Route verte. Cette dernière est un gigantesque réseau de pistes cyclables qui totalise plus de 5000 kilomètres et qui traverse à peu près toute la partie sud du Québec et donc de ses principales villes. La Route verte visait au moment de sa construction à promouvoir le tourisme à vélo, une forme très éco-responsable de tourisme. Plus de 15 millions d’euros seront investis pour continuer de développer ce réseau.

La seconde annonce du gouvernement du Québec, traite d’un apport important de moyens dans le fonds des municipalités pour la biodiversité. A l’origine, ce fond a été créé par des organismes québécois à but non lucratif afin que les municipalités québécoises puissent piocher dedans pour assurer la préservation de la diversité. Pour chaque dollar canadien investi par une municipalité, le gouvernement québécois devait en rajouter un autre. Toutefois, en 2018, le gouvernement québécois avait spontanément ajouté 1,67 millions d’euros supplémentaires sur 5 ans, et récemment, le gouvernement a décidé d’y ajouter encore 1,16 millions d’euros sur 3 ans.

Plus tôt dans le mois de juillet, le gouvernement avait également annoncé son intention de dépenser un peu plus de 750 millions d’euros sur 10 années pour améliorer le traitement des déchets organiques au Québec, notamment via des modes de compostage.

Ces annonces visent sûrement à calmer les attentes importantes des québécois en matière d’environnement. En septembre dernier des centaines de milliers de québécois étaient descendus dans la rue pour exiger des mesures plus fortes pour protéger le climat. Le Covid et les épisodes de canicules ont semble-t-il exacerbé ce sentiment, puisqu’en mai et en juin, des sondages indiquaient un mécontentement toujours important de la part de la population.

USA : Les voleurs, casse-tête inattendu des producteurs de chanvre aux Etats-Unis

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Les producteurs de chanvre américains font face à de nombreux imprévus depuis que l’exploitation de la plante a été autorisée dans le pays en 2018. Parmi eux, la sécurité de leur culture mais aussi la concurrence et la suspicion des policiers.

Quand elle a planté du chanvre pour se faire un peu d’argent en plus sur la ferme familiale, en pleine campagne aux Etats-Unis, Susan Corbett ne s’imaginait pas qu’elle aurait à gérer le problème des… voleurs.

L’agricultrice a dû installer deux caméras de sécurité pour surveiller une partie de sa récolte, qui a l’apparence et l’odeur de la weed mais contient seulement une très faible dose de THC, la substance psychoactive du cannabis qui fait planer.

Sur son terrain en Virginie, sur la côte est du pays, une pancarte l’affirme: “Ce n’est pas de la marijuana”.

Les producteurs de chanvre ont fait face à bien des imprévus depuis que l’exploitation de la plante a été autorisée aux Etats-Unis en 2018.

En plus des voleurs, ils ont dû gérer un marché soudainement saturé, des conditions de cultures compliquées, des policiers suspicieux et l’obligation de brûler la récolte dès qu’elle dépassait un taux de THC trop élevé.

Cultivé pour ses racines, ses fibres et son huile, le chanvre contient du CBD, la molécule non psychotrope du cannabis connue pour ses vertus relaxantes.

La marijuana reste interdite par le gouvernement fédéral

Mais, botaniquement parlant, c’est la même plante qui sert à fabriquer la marijuana, un produit qui reste interdit par le gouvernement fédéral et dans de nombreux Etats américains.

“Tout le monde s’est mis à en planter en disant +c’est fantastique+”, souligne Mme Corbett. “Je leur disais +attendez un peu+”.

Le chanvre a été interdit aux US pendant tout le XXe siècle avant d’être autorisé en 2014, pour la recherche, puis en 2018, pour un usage courant.

Depuis, 46 Etats ont voté des lois réglementant son exploitation. Les licences délivrées dans 34 Etats ont bondi de 455% en 2019, selon le lobby Vote Hemp.

Le CBD, qu’il soit vendu seul ou mélangé à des aliments ou des boissons, est devenu très populaire et les ventes pourraient s’envoler de 45% d’ici 2024 pour atteindre 18 milliards de dollars, selon le cabinet Canaccord Genuity.

Faire pousser le chanvre est complexe: la plante doit être régulièrement aspergée de pesticides, récoltée à la main puis séchée.

Beaucoup d’agriculteurs se sont quand même lancés sur le marché dès sa légalisation. Mais n’ont pas forcément trouvé de transformateurs à qui les vendre.

Qui sont les voleurs de chanvre ?

“Quand on va sur le marché du CBD, on nous dit +vous serez payés quand on sera payé+, ce qui nous met dans une situation délicate vis-à-vis de nos propres fournisseurs”, remarque David Turner, qui fait aussi pousser du chanvre en Virginie.

Les agriculteurs doivent également veiller sans cesse à ce que le taux de THC reste sous contrôle. “Si je me trompe, je deviens un trafiquant de drogues”, souligne M. Turner.

Et il faut tenir compte des voleurs.

M. Turner pense qu’une vingtaine de personnes ont été arrêtées au total pour avoir fauché ses plants. Sur la ferme de Mme Corbett, ils n’ont coupé que la partie supérieure du chanvre.

Ont-ils confondu la plante avec de la marijuana? Ont-ils tenté d’arnaquer des acheteurs crédules? Les agriculteurs n’en savent rien.

Le plus gros problème pour les producteurs reste toutefois d’écouler leur huile. “Il y a clairement eu une saturation du marché l’an dernier, et les prix ont en conséquence beaucoup baissé”, explique Erica Stark, directrice de l’Association nationale du chanvre.

“Cela reste rentable si vous trouvez un acheteur, mais encore faut-il en trouver”, dit-elle. La situation s’améliorera probablement quand il sera plus facile de transformer les fibres de la plante et quand les autorités réglementeront clairement l’utilisation du CBD, prédit l’experte.

En attendant, M. Turner a préféré ne pas planter de chanvre cette année.

Vote Hemp estime que la production en 2019 a été bien moins importante que prévu par les licences accordées, à cause de problèmes sur les récoltes.

“Je ne suis pas devenue riche” en cultivant du chanvre, reconnaît pour sa part Mme Corbett, qui loue aussi ses terrains à des éleveurs et tient une maison d’hôtes.

Mais, affirme-t-elle, “je crois au CBD et si je m’en tire correctement cette année, je vais sans doute m’engager pour cinq années supplémentaires”.

Source:  AFP

Koovee : une savoureuse solution écologie

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Découvrez Koovee, la première entreprise européenne de couverts comestibles.

Koovee disrupte le marché mondial de la vaisselle jetable en commercialisant des couverts comestibles, biodégradables et économiques, capables de remplacer les couverts en plastique qui seront bientôt interdits (Décret n° 2016-1170 du 30 août 2016 & Loi du 14/09/18) et de proposer une expérience culinaire différente.

 

Les couverts en plastiques sont très polluants. 4,73 milliards de cuillères en plastique sont jetées chaque année et mettent environ 150 ans à se dégrader pour un usage de 10 minutes en moyenne. Koovee vise à apporter une solution alternative compétitive : à la fois moins coûteuse et permettant aux couverts d’être mangés ou biodégradés dans n’importe quelles conditions.

Tous les couverts sont fabriqués à partir d’un mélange de farine de blé produite chez nos amis française et ne contiennent aucun additif ni produit chimique. Le produit se dégrade en quelques jours dans l’environnement !

https://koovee.co/

France : les terrasses chauffées seront interdites à l’hiver 2021

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La ministre de la Transition écologique Barbare Pompili a annoncé auprès du journal Courrier Picard le report de la date d’interdiction des terrasses chauffées prévue pour le printemps 2021.

Les cafetiers et restaurateurs bénéficient d’un répit de quelques mois. L’interdiction des terrasses chauffées a été repoussée jusqu’à l’hiver 2021.

Dans une interview accordée à nos confrères du Courrier Picard, la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili est en effet revenue sur cette mesure controversée, dimanche 2 août 2020. Elle dit entendre les difficultés du secteur. C’est pourquoi cette mesure ne s’appliquera pas cet hiver, mais l’année prochaine.« On a un alignement de planètes en faveur de la transition écologique, on va pouvoir changer la vie des gens au quotidien et leur montrer qu’ils pourront être des acteurs de ce changement. » — Barbara Pompili (@barbarapompili) August 2, 2020

Une aberration écologique

La ministre de la Transition écologique continue toutefois d’insister sur « l‘aberration écologique » que constituent ces terrasses.  Une terrasse équipée de cinq brasseros émet autant en CO2 au cours d’un hiver qu’une voiture qui ferait trois fois le tour du monde.

L’interdiction de chauffer les espaces publics extérieurs relève dont d’une « question de bon sens », explique-t-elle.

Un secteur déjà en crise

Initialement prévue pour le printemps 2021, la mesure avait suscité l’inquiétude des professionnels de la restauration, pour qui le confinement et les règles sanitaires qui s’en sont suivies ont gravement atteint leurs porte-feuilles.

L’objectif de la manœuvre est donc de leur accorder un sursis le temps de remettre leurs finances au beau fixe. « Nous allons mener des concertations et les accompagner dans cette transition », a ainsi déclaré Barbara Pompili, tout en ajoutant que ces dispositifs de chauffage « coûtent cher en énergie ».

La Thaïlande prévoit d’étendre la production de marijuana à des fins médicales

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Le gouvernement thaïlandais a approuvé mardi 5 juillet des amendements à sa loi sur les stupéfiants afin de permettre la production et la vente privées de marijuana à des fins médicales, ont déclaré les responsables

Avec une tradition d’utilisation du cannabis pour soulager la douleur et la fatigue, la Thaïlande est devenue la première nation d’Asie du Sud-Est à légaliser la marijuana en 2018 pour un usage médical et la recherche, mais jusqu’à présent, seul le gouvernement était autorisé à cultiver des plantes.

Le porte-parole adjoint du gouvernement, Traisuree Taisaranakul, a déclaré aux journalistes après une réunion du cabinet que les amendements proposés vont permettre aux patients, aux entreprises et aux professionnels de la santé de produire, d’exporter, d’importer et de vendre de la marijuana.

“La loi va promouvoir l’industrie pharmaceutique et augmenter la compétitivité, ce qui sera important pour la Thaïlande pour devenir un leader dans le domaine du cannabis médical”, a également déclaré à la presse le ministre de la santé publique Anutin Charnvirakul.

La Thaïlande a supprimé les extraits de cannabis de sa liste de stupéfiants et a ouvert des cliniques de marijuana médicale.

La possession de cannabis sans motif médical reste illégale

Le cannabis reste une drogue de catégorie 5 selon la loi thaïlandaise, et la possession illégale est punie de 15 ans de prison et d’amendes pouvant aller jusqu’à 1,5 million de baht (40 000 euros).

Les amendements doivent être soumis à un examen juridique avant d’être présentés au Parlement thaïlandais.

Si des pays, de la Colombie au Canada, ont légalisé la marijuana à des fins médicales ou même récréatives, cette drogue reste illégale et taboue dans une grande partie de l’Asie du Sud-Est, où les infractions à la législation sur les stupéfiants sont parmi les plus sévèrement punies au monde.

Les trafiquants de marijuana peuvent être passibles de la peine de mort à Singapour, en Indonésie et en Malaisie.

Canna Wine : le vin de table au cannabis

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Vin aromatisé avec des extraits de chanvre, Canna Wine s’annonce être la réponse parfaite afin de profiter de votre plante préférée en buvant un vin sucré, jeune, qui sera idéal comme vin de table.

Si vous êtes de ceux qui accompagnent leurs repas d’un petit verre de vin ; vous ne pouvez pas passer à côté de ce plaisir des sens. Le Canna Wine est un vin sucré, à base de Tempranillo et élaboré en Espagne ; sa particularité est qu’il est assorti d’une touche de chanvre qui lui confère un goût unique et exceptionnel.

Ce vin contient une présence de THC inférieure à 0.2%, de telle manière que sa consommation ne produit aucun effet indésirable sur l’état d’esprit, excepté ceux causés par l’alcool. Par conséquent, tout sommelier ou amateur de vin pourra le consommer sans problème. Il compte également du CBD et d’autre cannabinoïdes sans effets psychoactifs, qui en optimisent les vertus thérapeutiques.

Ce produit contient des sulfites, cela veut simplement dire que le vin a été traité de manière conventionnelle dans l’industrie vinicole. Les sulfites apparaissent lors du transfert du liquide dans les barils en chêne durant la dernière phase de la fermentation.

Pour se procurer ces savoureuses bouteilles, c’est ici !

France : Cannabis, retour sur 50 ans de politique de répression

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Le nouveau Premier Ministre français Jean Castex a annoncé la généralisation d’une amende de 200€ pour les consommateurs de cannabis.

Après deux mois de tests dans cinq villes, le Premier ministre Jean Castex vient d’annoncer la généralisation d’une amende forfaitaire de 200 euros à tout le territoire. Une mesure dans la continuité de la politique de la France depuis les années 1970 en matière de lutte contre les drogues.

Nos confrères de Brut nous proposent aujourd’hui un récapitulatif des différentes mesures posées contre le cannabis. Dominique Voynet en 1997, Nicolas Sarkozy en 2003, Emmanuel Macron en 2017… Tous ont, à leur manière, ont abordé le sujet controversé du cannabis. Retour sur 50 années d’une politique répressive.

 

France: Le cannabis thérapeutique testé “au plus tard en janvier”

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L’épidémie de Covid-19 a contraint l’Agence nationale de sécurité du médicament à repousser l’expérimentation du cannabis médical en France.

L’expérimentation du cannabis thérapeutique en France, qui doit concerner environ 3.000 patients pendant deux ans, devait initialement débuter en septembre. Elle est reportée “au plus tard en janvier” en raison de l’épidémie de Covid-19, a indiqué ce mercredi 3 juin l’Agence du médicament (ANSM). En dépit de ce report, dû à la mobilisation requise par le Covid-19, les travaux pour sa prochaine mise en place se sont poursuivis.

Ces travaux portent notamment sur la conception du registre national électronique de suivi des patients inclus dans l’expérimentation, sur le cahier des charges pour la sélection des futurs fournisseurs et distributeurs des médicaments à base de cannabis qui seront utilisés. Ils portent aussi sur l’élaboration de la plateforme de formation des professionnels de santé, qui doit être opérationnelle en décembre et enfin sur la liste des centres experts volontaires qui incluront les patients.

Fin octobre 2019, les députés avaient donné leur feu vert à une expérimentation du cannabis à usage médical. Elle doit concerner 3.000 patients qui souffrent de maladies graves: certaines formes d’épilepsies, de douleurs neuropathiques, d’effets secondaires de chimiothérapie, de soins palliatifs ou de scléroses en plaques. Ils consommeront du cannabis sous forme d’huile ou de fleurs séchées: la voie fumée a été écartée à cause des effets nocifs de la combustion sur la santé.

Le cannabis en dernier recours

Il leur sera prescrit “en dernière intention”, c’est-à-dire en cas d’échec des autres traitements existants pour les soigner, avait indiqué en janvier la directrice générale adjointe de l’ANSM, Christelle Ratignier-Carbonneil. Les patients concernés pourront bénéficier du cannabis gratuitement, avait-elle également précisé lors des premières auditions de la mission d’information parlementaire sur le cannabis lancée à l’Assemblée nationale.

L’expérimentation doit être menée dans plusieurs centres hospitaliers en France, en particulier des centres de référence pour les pathologies concernées. La prescription initiale sera faite par un médecin spécialiste, neurologue ou médecin de la douleur notamment. Les patients devront d’abord se fournir en pharmacie hospitalière puis pourront renouveler leurs traitements en pharmacie de ville.

De nombreuses études ont déjà été réalisées pour tester l’efficacité du cannabis thérapeutique. A la fin du mois de mai, par exemple, le Royaume-Uni a été le témoin d’une première mondiale selon le Guardian.

Un nouveau-né a été admis dans un essai clinique pour tester un médicament dérivé du cannabis. Une étude qui a pour objectif de trouver un remède aux risques de lésions cérébrales pour les bébés atteints d’encéphalopathie hypoxique-ischémique (EHI) néonatale. C’est la première fois qu’un médicament dérivé du cannabis est administré à un bébé.

 

Source AFP

Un jardin punk et écolo

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Avec son « Petit traité du jardin punk », Éric Lenoir invite chacun à mesurer à quel point il lui est possible de créer, quoiqu’il arrive, un espace beau et écologique. Soyez écolo et rebelle !

« À force de chercher la nature, on finit par la trouver »

Concept radical et provocant, le jardin punk est une invitation à pratiquer le jardin autrement, au delà des convention, avec son instinct et son intuition. Il est nécessaire parce qu’il répond aux problématiques actuelles de l’écologie appliquée pour amener de la biodiversité dans chaque parcelle du quotidien et à l’embellissement de notre environnement quels que soient les connaissances, moyens financiers, etc.

Conçu pour que le néo-jardinier ne voie pas son envie de jardiner bridée par sa méconnaissance ou les idées préconçues (par lui-même ou les autres), l’objectif de cet ouvrage est que chacun mesure à quel point il lui est possible de créer, quoiqu’il arrive, un espace beau et écologique.

Adoptez la culture punk pour créer un jardin impertinent et apprenez à le gérer en restant fainéant, rebelle, fauché et écolo !

Petit traité du jardin punk. Apprendre à désapprendre, d’Éric Lenoir, éditions Terre vivante, novembre 2018, 96 p., 10 €.

Source ReporTerre

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