Stoner Lifestyle - Page 12

Jay-Z se lance dans le business du cannabis

///

Le rappeur américain a été nommé stratégiste en chef de l’entreprise Caliva qui commercialise du cannabis en Californie.

C’est un beau coup de projecteur  pour Caliva qui jouira évidemment d’une grande notoriété avec Jay-Z à son côté.  «Tout ce que j’entreprends, je veux le faire correctement et au plus haut niveau. Avec tout le potentiel de l’industrie du cannabis, l’expertise et l’éthique de Caliva en font le meilleur partenaire pour cette aventure. Nous voulons créer quelque chose d’extraordinaire, nous amuser dans le processus, répandre le bien et accompagner les gens le long du chemin», a-t-il déclaré.

Le PDG de Caliva, Dennis O’Malley, a estimé sur la chaîne CNN que cette collaboration avec Jay-Z, 49 ans, ouvrait la porte à « d’importants changements pour l’industrie en matière de visibilité ».

Le mari de la popstar Beyoncé contribuera également à travers ce poste à encourager la réinsertion d’anciens détenus, « dont beaucoup sont privés des bénéfices financiers de la légalisation », note l’entreprise de 600 salariés. Pointant le « potentiel de l’industrie du cannabis », Jay-Z, cité dans le communiqué, dit vouloir « créer quelque chose de formidable, s’amuser en le faisant, faire le bien et accompagner des gens ».

Carlos Santana dévoile sa marque de cannabis !

//

Carlos Santana, l’un des guitaristes contemporains les plus connus au monde vient de lancer sa marque de cannabis.

L’icône mexicaine a dévoilé “Mirayo” sa marque composée de quatre variétés de cannabis différentes: Sativa, Hybrid, Indica et CBD.

Les produits Mirayo seront disponibles en paquets de cinq pré-roulés de 0,5g ou d’une jarre de 7g, avec les variétés suivantes :

  • Radiance : Sativa qui permet d’étendre son énergie vers l’extérieur afin atteindre la sagesse divine et à avoir à un esprit créatif.
  • Symmetry : Une hybride visant à harmoniser l’intérieur et l’extérieur, l’esprit et le corps, pour une perception élevée
  • Centered : Une indica destinée qui pousse les fumeurs vers la paix intérieure,

Durant sa déclaration l’artiste a déclaré: “D’après mon expérience, le cannabis a des propriétés spéciales qui améliorent la réflexion méditative et l’expression créative. Cela peut dissiper le doute négatif pour révéler le don éternel de notre unicité. Avec Mirayo, j’espère aider les gens à utiliser le cannabis comme une porte vers un comportement plus bienveillant comme la gentillesse et la compassion.”

 

Jusqu’à présent, Mirayo est disponible dans certains dispensaires californiens, mais ne soyez pas surpris, cela va changer rapidement.

Et si on fumait un président Américain?

//

Le 3 Novembre 2020, la plus puissante des démocraties va élire son nouveau CEO. Afin de célébrer cet événement unique (et potentiellement apocalyptique) Zeweed met à l’honneur 4 variétés rimant avec politique au pays de l’oncle Sam.

La plus smooth: Obama Kush
Pas besoin de vous présenter le président le plus populaire de l’histoire contemporaine Américaine : Barack Obama. Un homme connu pour son amour du Cannabis (c’est un des seuls à avoir admis une consommation ponctuelle à l’âge adulte, après l’obtention de la fonction suprême), pour son rôle dans la légalisation dans la plupart des États et pour un certain sens du style. Cette variété, créée pour lui rendre hommage par Superior Genetics, est un croisement entre de l’Afghani et de l’OG Kush, ce qui lui donne des arômes herbeux avec une touche de terreux. Avec 17% de THC, c’est une pure indica réputée pour son High cérébral et son effet profondément décontractant. La weed parfaite pour tripper en festival, comme sa fille Malia, qui a été surprise avec un joint à Lollapalooza.

La double effet: la Bill Clinton OG
Le 42ème Président des États-Unis est surtout connu des amateurs de verdures comme étant l’homme qui “n’a pas inhalé”  quand il a testé le cannabis à l’université.
UNIQUE pieux mensonge mis à part (si on oublie Monica Lewinski et quelques autres) ce président joueur de Saxophone a marqué les années 1990 avec ses coups d’éclats et les années 2000 avec ses coups de gueule.  Cette hybride à 20% de THC est populaire des deux côtés de l’hémicycle, grâce à ses arômes fruités et parfumés d’épices, sans oublier ses effets apaisants et euphoriques.

Celle qui rend parano: la Richard Nixon Tricky Dick 
On ne peut parler de Nixon sans évoquer son rôle dans la prohibition du Cannabis. C’est lui qui lancé la “War on Drugs” (ou “Guerre contre les drogues”) et poussé les législateurs pour que la substance soit maintenue en niveau 1, au même rang que l’héroïne ou le crack.
Fait étonnant, cette variété est le fruit du travail d’un des rares républicains Pro-Cannabis, Roger Stone, qui a d’ailleurs travaillé pour la campagne du président (avant le scandale du Watergate, bien entendu) et appelé à la légalisation dans son état de résidence : la Floride.
Définitivement mutin, Roger Stone a même invité des journalistes à découvrir sa collection de bongs et de pipes à Hash parodiant Nixon lui-même. Qui a dit qu’on ne pouvait pas être politique, drôle et high à la fois ?
Il explique d’ailleurs que la variété est à l’image du politicien, puisqu’elle “rend profondément paranoïaque et donne envie de dévorer un buffet chinois à volonté ” et qu’elle pousse dans sa ville d’origine, Yorba Linda, Californie.

La lourde : la Trump OG
L’actuel Président des U.S.A. est indéniablement une personnalité médiatique majeure. Son “You are fired” est même devenu culte (en tous cas beaucoup plus que son mandat).
Cette variété aux arômes de citron et de musc est issue du croisement des OG Kush et Presidential Kush.
Elle est à réserver à une consommation en soirée, sous peine d’être complètement cassé et de dire des âneries sur Twitter.
La Trump OG est apparemment parfaite pour ne rien faire ou pour passer de longues heures à regarder la télévision. Nous ne ferons pas de commentaire sur le lien entre cette variété et le président qui lui a donné son nom.

La Catalogne, nouvel eldorado de la weed?

//

Si Amsterdam était la destination des enthousiastes du cannabis depuis les années 80, les ganja-aficionados et gonzo-entrepreneurs de la weed se sont tournés depuis quelques temps vers  un lieu de pèlerinage nettement plus chaud: la Catalogne et plus particulièrement sa ville phare Barcelone.
Dans la province rebelle de l’Espagne, la loi est en effet des plus cool et souple, nous informe Le Point dans un article publié hier sur leur site, en collaboration avec le quotidien britannique The Guardian.

La Catalogne est-elle devenue un eldorado pour les trafiquants de drogue ? The Guardian, citant la police espagnole, fait état de marges élevées sur la marijuana produite localement et d’un faible risque de condamnation à de longues peines de prison pour les dealers. Un rapport interne des Mossos d’Esquadra, la police catalane, affirme que « la Catalogne est l’épicentre du marché illégal de marijuana en Europe » et est devenue un acteur privilégié dans l’exportation de cannabis vers les autres pays européens. La marijuana vendue y est peu chère…

La suite de l’article est disponible ici

Vivement la réouverture des frontières!!

 

SOUTH PARK revient en force avec un épisode weed et COVID.

/

Bonne nouvelle pour les fans de South Park, la série humoristique nous offre un épisode d’une heure spécial COVID & Weed pour entamer sa 24ème saison. Il y sera  question de vaccin contre coronavirus, de rapports intimes avec un pangolin et de weed évidement, grâce aux interventions du père de Stan qui s’est lancé dans le ganja-business durant la 22ème saison.

La série South Park ne lâche rien et continue de commenter l’actualité avec dix épisodes par an.
Sa 24e saison doit commencer le 30 septembre prochain sur Comedy Central aux Etats-Unis, la création de Trey Parker et Matt Stone a de quoi faire avec cette année 2020. Ils ont d’ailleurs décidé de créer l’événement avec un premier épisode consacré entièrement à la crise du coranavirus et d’une durée exceptionnelle d’une heure.

The Pandemic Special, c’est son titre, verra la ville du Coloradao confrontée aux défis de l’épidémie de Covid-19, qu’il s’agisse du retour à l’école, du port des masques ou de la solidarité avec le corps médical… Et d’herbe enrichie au sperme.  Enjoy!

 

Playboy lance sa gamme de produits au CBD.

//

Après 66 ans de publication d’articles pour adultes, de dessins animés pour grands enfants et d’images de jolie femmes prises dans leur plus simple appareil, l’entreprise d’Hugh Hefner entre dans le doux monde du CBD, étendant sa gamme de produits au « bien-être sexuel ».

Playboy Enterprises, Inc. (Playboy) a annoncé hier, vendredi 18 septembre, le lancement d’une nouvelle gamme de produits à base de CBD « full spectrum », conçus pour «améliorer l’intimité et le plaisir sexuel».
Les trois premiers produits de la gamme comprennent un gel-lubrifiant (47$) un spray lubrifiant destiné aux femmes (45 $) ainsi que d’une boule effervescente de bain relaxante à base d’huile de chanvre, d’huiles essentielles et de pétales de rose (15$).
Dans le détail pour le produit star: le gel-lubrifiant est composé d’une poudre de CBD soluble dans l’eau, de racine de maca et « d’herbe de chèvre cornée » ( ?) , tandis que le spray d’excitant et réservé aux femmes, (parfum vanille) contient du kava-kava, de la vitamine B3 et crée une sensation de chaleur si besoin était.

Le spray pour mesdames (45$)

La rédactrice en chef de Playboy Sex and Culture, Anita Little, explique dans le press-kit que les nouveaux produits CBD de la société dirigé par l’homme en peignoir le  plus célèbre du monde (avec  Lebowsky)   font partie de ses efforts continus de la marque pour « aider à combler l’écart d’orgasme » (sic),
«Notre ambition chez Playboy est d’aider tout le monde et tout le monde à explorer et à rechercher le plaisir», continue la red’chef . «Bien que Playboy ait aidé à inaugurer la première révolution sexuelle, il reste encore du travail à faire pour que tout le monde puisse accéder au plaisir. Nous savons que les femmes en particulier ont moins souvent l’orgasme que leurs partenaires sexuels masculins. »

Le gel intime (47$)

Selon Playboy, des études scientifiques indépendantes indiqueraient en effet que 85% des hommes ont atteint leur apogée lors de leur dernière relation sexuelle, contre 64% des femmes.
Playboy nous apprend aussi que 95% des hommes hétérosexuels éprouvent toujours un orgasme pendant les rapports sexuels , contre 65% pour les femmes.
Messieurs, si besoin était, vous voilà  informés.
Mesdames, le lien pour acheter les huiles du plaisir partagé est ici : 

La boule à bulle pour bain de boules (15$)

Qui sont les Weedtubers ?

//

Véritable rock-stars du Web, les Weedtubers sont des Youtubers spécialisés dans… la weed. Conseils, tests, défis, astuces, il y en a pour tous les goûts et tous les viewers.

Le Weedtuber est un amateur de weed éclairé qui a du temps libre et une mission :  normaliser le cannabis au travers de contenus originaux, drôles et pertinents. Sur les chaines de ces critiques chevronnés de la beuh, on trouvera des tests de produits, des recettes et conseils (comment rouler un joint, faire un space cake) et beaucoup de challenges à la Jackass. C’est à MarijuanaMan2 que l’on l’on doit les premiers segment du genre.
Le canadien de 50 ans, qui se revendique comme le godfather des  Weedtubeur, a commencé sa planante carrière sur Yahoo! dans les années 90, avant de se poser sur la planète YouTube en 2005.

MarijuanaMan2

Si sa chaine est aujourd’hui désactivée pour avoir franchement franchi la ligne d’un certain bon goût, MarijuanaMan2 aura eu le temps de professer sa verte parole et faire des émules.

Ces segments Youtube étant interdites aux moins de 18 ans, il vous faudra double clicker sur les liens ci-dessous

Pour ceux qui ont la chance d’habiter dans des pays/État où le cannabis est légalisé, les Weedtubers ont trouvé refuge sur  plateforme Weedtubers.com.

Dans la grande famille des  Weedtuber, on retiendra Joel Hradecky, plus connu sous le nom de  CustomGrow420 . Depuis son premier poste, il cumule près de  2,5 million de viewers.

Joel divertit ses adeptes avec des vidéos de déballage et de révision de produits à grande vitesse, ainsi que des défis de fumée Sa vidéo la plus regardée montre un Joel sur le point de prendre 2 énormes taffs d’un bang colossal baptisé. «Le briseur de poumon – 30 pouces de malheur».  7 minutes de vidéo qui totalisent 145 millions de vues. Des chiffres qui en disent longs sur la passion vouée à l’herbe par les milléniums. Si les réseaux sociaux sont la vitrine de notre société, peut-être arriveront-ils à dédiaboliser le cannabis dans les pays où il est encore interdit.

 

La séance de Mike: Akira

//

Le film culte ressort en version 4k dans tous les bons cinémas de la planète. Une bonne occasion de soirée épique et choc entre potes.

Sorti en 1988, au pic de l’économie japonaise post-industrielle, le film raconte à travers son récit la mutation tourmentée de Tetsuo et la tentative de son ami biker Kaneda de le sauver face à la menace grandissante des autorités qui cherchent à cacher leurs recherches.
Situé dans la futuriste Néo-Tokyo le film est une critique au vitriol d’une société destinée à devenir plus froide et plus violente jusqu’à déraper… en 2019.

La bande annonce ici:

C’est aussi sur un plan artistique que le film d’animation japonaise se démarque puisque c’est le premier à proposer une action complètement animée en “1”. (ce qui veut dire que chaque plan est pris individuellement contrairement aux films du studio Ghibli, par exemple, qui sont animés en “2”). Cela veut dire qu’ils photographient donc chaque plan 2 fois pour économiser sans risquer de rendre la scène trop statistique.
La différence ? Une énorme fluidité qui donne à Akira un avantage. Chaque scène d’action est bien plus frénétique et chaque mutation très dérangeante car bien plus organique.
Ce soucis du détail presque masochiste explique aussi pourquoi le film ne comprends pas du tout de CGI en dépit de l’esthétique cyberpunk du film. Chaque effet visuel  (qui sont très nombreux dans ce film) est le résultat du travail acharné d’un animateur.
Un bijou visuel toujours très conscient de l’extrémisme de son esthétique.
Les traînées de lumière et les explosions sanguinolentes on toutes été peintes minutieusement à la main.
Le procédé est évidemment extrêmement coûteux ce qui fait d’Akira le film d’animation japonaise le plus cher à sa sortie avec 9 millions de budget. Un pari fou quand on sait que le film était réservé aux plus de 18 ans.
En comparaison le film ”Oliver et Compagnie” sorti par Disney la même année a coûté 31 millions de dollars et bénéficie malgré tout d’une animation beaucoup plus minimaliste.

 

C’est le divertissement idéal pour stoners comme pour le reste des plus de 18 ans parce qu’il est à la fois épique (avec notamment la meilleure scène de poursuite en moto depuis Steve McQueen), philosophique (interrogeant le spectateur sur la nature de l’humanité), extraordinairement psychédélique et assez Gore. Quelque soit votre niveau de lucidité,  il y a toujours quelque chose à tirer d’un visionnage de ce classique rentré dans la culture populaire après sa sortie en cassette en Amérique du Nord et en Europe.
Un peu comme le Rocky Horror Picture show, c’est un film qui a été réapproprié par les fans comme un culte underground jusqu’à devenir une icône mondiale.
Ce statut à part dans l’inconscient collectif explique pourquoi on retrouve des hommages au film dans Rick et morty, chez Kanye West qui remixe les Daft Punks, ou même dans des dessins animés pour enfants comme l’incroyable monde de Gumball.
Vous pouvez retrouver Akira Morty ici :

Et Kanye West en pleine transformation reprenant presque intégralement l’esthétique du film

Alors faut-il  aller en salle pour voir le film en 4k? C’est mon avis, ne serait-ce que pour le voir enfin au cinéma. Et en bonne compagnie. Le blu-ray du film en 4k sort le 21 avril 2021 pour les plus patients.

This Is Tony Greenhand, The Guy Who Rolls Thousand-Dollar Joints

////

Tony Greenhand makes smokable art in the shape of Pokemon, comic figures, life-size gold necklaces, and guns. With almost 400k followers on Instagram and his own TV show, Tony is a real-life weed celebrity. But his joints haven’t always been so elaborate. 

“The first joint I ever rolled was a disgrace. It was all wet and goopy. So I bought an ounce of weed and rolled for an entire weekend at a house party until I got good at it.”
That was over 15 years ago.
Today, Tony Greenhand rolls the most intricate and detailed joints on the planet.
Tony’s artwork can take the shape of a 24k smokable necklace or a 2-ounce Samurai with sheathing swords; there’s almost no task too big, challenging, or outright crazy for Tony to handle.
“I once tried to roll a 42-pound Statue of Liberty joint,” he recalls. “It was 9ft tall and stood on a custom metal frame with a fan at the base.”
Unfortunately, Tony never made it to the festival he’d built the joint for and ended up taking it apart and turning the flower into oil.
“I couldn’t find another venue that would let me smoke out a crowd with a 42-pound joint. People debated that it was a fire hazard or might be enough to kill someone,” he laughs.
There’s something about Tony’s big, hearty laugh that immediately makes you drop your guard. Although we’d never met, I felt like I was having a conversation with one of my high-school smoking buddies.

In 2016, Tony created his infamous world-record-winning 4.2-pound watermelon joint..

 

“I can’t remember that entire year due to that thing,” Tony laughs again. “We roasted marshmallows over it, which to this day is probably one of my favorite joint experiences,” he says.
Some of his other most recognized pieces include Mike Tyson, The Kraken, and an AK47. One of his latest creations is a Bulbasaur which, complete with flower-covered vine whips and concealable wooden crutch, looks more like a prized collector’s figurine than a joint.


But behind each Greenhand creation is a special design process that’s aimed at maximizing airflow to create a fluid smoking experience.
However, Tony is humble enough to admit that his joints don’t always burn as evenly as he’d like.
“When you roll something that’s complex like this, there are gonna be some mistakes, just because of the way that heat moves, how people handle the joint, and the way they hit it,” he says.
“And people usually want to hit the shit out of a joint like this. So they let out all their air and Snoop Dogg puff it into oblivion. A lot of people have lead fingers, too. I don’t know why, but they crab claw everything when they should be handling this shit like a baby,” he laughs.

There’s a lot more to Tony than his joints; he’s acted in films and on TV, runs his own seed company, and has been breeding and growing cannabis for over 10 years in Washington and Oregon.
Together with his girlfriend Courtney (who he met through an Instagram contest giving away one of his custom joints), Tony is living proof that the stoner-cliche is complete horseshit.

In 2017, he was cast for Gus Van Sant’s Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot.
With no acting experience, Tony suddenly found himself sharing the set with Joaquin Phoenix, Jonah Hill, Rooney Mara, Kim Gordon, and Jack Black.
“I took the experience a lot like when I roll one of my joints, and I just didn’ think too much about it,” Tony says.
“I didn’t think of the other actors as who they were, I just thought of who they were on the show. So I was a complete dick to Jonah Hill just because my character didn’t like him,” he laughs.
Two years after shooting for Gus Van Sant, Tony received an offer to film a TV show for Quibi titled Let’s Roll with Tony Greenhand in which he designs elaborate joints for celebrity weed lovers like Hannibal Burress, Nikki Glaser, and Blake Anderson. 

Right now, he’s in lockdown in his home in San Bernardino County, in the middle of the Mojave Desert.
“It’s absolute hell. I walk outside and it’s 112 degrees (44°C); I might step on a fucking scorpion; I might get a radiation warning on my phone; there might be an earthquake; there might be a sandstorm; there could be a fucking Black Widow in my shoe in the morning. I could literally go on for an hour about all the weird, terrible shit that’s out here,” he laughs again.
“On top of that, everybody looks like they’ve just come out of a methadone clinic, all burnt to a crisp like the last chip in a bag with no will to live. Everyone’s a fucking zombie out here.”

 But it’s not only the weather, scorpions, and zombies that Tony’s having trouble adjusting to.
“Hollywood is so fake. And I end up telling everyone ‘cause I’m stoned and I don’t have a filter. I don’t really mesh with the people out here; they are too worried about what people think and not worried enough about how they are.” This time, his laugh has a little nervous edge to it.
It seems that his brutal honesty is exactly what’s brought Tony so far, despite the fact that he still hasn’t managed to come to terms with selling his artwork. 

“I don’t even care about my business. I just do it for me. And for me, making joints and giving them to people, and creating that moment for them is invaluable. A few hundred dollars doesn’t make it more valuable for me, it just kinda fucks up the whole vibe.”  Just do it, Tony.

And although the current COVID-19 pandemic has brought Tony’s joint-rolling and TV show to a standstill, he’s happy for the downtime to be at home with Courtney, his dogs, and his garden.
“I’m just trying to chill for a minute and focus on my genetics. I might also go back to working on my movie script, which I haven’t worked on for some time”.
So next time you see Tony’s name in the credits, it might be for more than just acting and rolling.

 

 

 

Fumer avec Papa-Maman: le test en images

/

Fumer un oinj’ avec ses parents est une entreprise risquée. Pour le magazine Cut, 3 familles ont accepté de se faire filmer en train de taffer. L’une d’entre elle n’est pas prête de réitérer.