ZEweed

Portugal : Le Parlement rejette la légalisation du cannabis à usage récréatif.

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Vendredi 18 janvier, la décision est tombée au Portugal.

Deux propositions de loi visant à légaliser la consommation de cannabis à des fins récréatives viennent d’être retirées. D’après les dernières informations,  une vingtaine de députés socialistes ont tenté d’approuver ce premier pas, la plupart des membres du groupe parlementaire socialiste se sont abstenus, tandis que l’opposition de droite et les communistes ont voté contre.

Pour rappel, le Portugal a décriminalisé l’usage de tous types de drogues en 2001, ce qui veut dire que leur consommation reste interdite mais n’est plus un crime passible de poursuites judiciaires.
En juillet dernier, le Parlement portugais avait autorisé l’usage thérapeutique des dérivés de cannabis, rejoignant d’autres pays européens où la prescription de cannabis médical est déjà légale, tels que les Pays-Bas, l’Italie, la République Tchèque, le Danemark ou l’Allemagne.

Le cannabis récréatif n’est actuellement autorisée que dans deux pays au monde, l’Uruguay et le Canada.

Jacob

Mathieu Kassovitz : “Mes dealers sont des connaisseurs”

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Banana Kush, le podcast des cultures du cannabis reçoit pour son deuxième numéro le réalisateur français Mathieu Kassovitz.

L’agent Malotru (rôle qu’il interprète dans la série Le Bureau des Légendes) nous parle de son amour pour la fleur verte.
Il évoque librement son rapport au cannabis :  J’ai aussi besoin d’échapper à la dure réalité de la vie et d’arrondir les angles. C’est une drogue de paix, pas une drogue d’agressivité. Une médecine avant tout, un cadeau de la terre. Un point de vue assumé quand il déclare notamment que légaliser le cannabis permettrait de  transformer les petits dealers en entrepreneurs .

https://soundcloud.com/bananakushpodcast/banana-kush-2-mathieu-kassovitz-mes-dealers-sont-des-connaisseurs

Jacob

Comment fument les Libanais ?

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Ariel, fumeur sans frontière est notre envoyé spécial au Liban. Là-bas, il décortique pour nous les différents aspects cannabiques  d’un des principaux pays producteur de haschisch.

Dès mon arrivée au pays du Cèdre, on m’a répété à tort et à travers : “Si tu as compris le Liban, c’est qu’on te l’a mal expliqué”. Entre maronites, orthodoxes, Druzes, chiites, sunnites et d’autres encore, je ne peux prétendre, même après plusieurs mois ici, avoir déchiffré le paysage social libanais. D’innombrables pratiques culturelles coexistent, bien qu’elles soient parfois divergentes. De la langue utilisée à la conception de la sexualité en passant par les traditions culinaires, rares sont les usages libanais qui traversent toutes les couches de la société. Cependant, il y en a bien un que j’ai retrouvé sans faute au sein de n’importe qu’elle communauté religieuse ou classe sociale : la consommation de haschich.

Bien que complètement illégal, le haschich est produit en abondance en Liban, au point que le pays fournit tous ses voisins orientaux et figure au top 3 des plus gros producteurs mondiaux. Habitué aux prix européens, le haschich à $2 le gramme s’est présenté à moi comme une bonne nouvelle. Dans un pays fortement inégalitaire, le haschich est accessible à tout le monde, et, pour cause, tout le monde en fume. Il ne m’a pas fallu longtemps pour rejoindre le mouvement.

En pleine interview pour un journal local, mon interlocuteur m’interrompt : “Ça te dit de fumer un joint?”.
Telle fut ma première interaction avec le shit libanais. Décontenancé, j’accepte. L’entretien achevée, j’appelle mes amis en France, et, surexcité, je leur raconte la scène. Et puis, j’ai compris qu’ici, cela n’avait rien d’exceptionnel : j’ai fait plus d’interviews autour d’un joint fumant que sans. Au bout d’un moment, j’en ai profité pour demander où je pouvais me fournir, et soudainement, personne ne pouvait m’aider. Les gens semblaient bien plus partants à m’offrir des blocs de haschich entiers qu’à me révéler le moindre contact. Il m’a fallu plusieurs mois, de la discrétion et de la patience pour être finalement dirigé vers quelqu’un qui connaît quelqu’un, qui connaît quelqu’un, et ainsi de suite. Et encore, à ce jour, je n’ai jamais vu un dealer de mes propres yeux.

Malgré l’omniprésence du phénomène, fumer du haschich au Liban constitue une pratique dangereuse. Les autorités locales revendiquent elles-mêmes leur capacité à incarcérer n’importe qui pendant trois ans pour un seul joint, et la délation est une pratique courante, puisque rémunérée par la police. Ingénu, je parlais de fumer et de vouloir fumer sans complexe, dans n’importe quel contexte. Alors, mes amis s’empressaient de me dire chut avec un doigt sur la bouche. De même, j’ai eu une fois le malheur d’allumer un joint dans un des rares parcs de Beyrouth, provoquant la panique générale autour de moi.

Depuis, j’ai appris. Seul l’espace intime et secret des appartements des uns et des autres est approprié à ce qui est après tout censé être un moment de détente. Alors, une fois chez soi ou à une soirée chez quelqu’un, le shit abonde, comme s’il fallait compenser l’interdiction qui pèse dans tous les autres contextes. Ici, le hasch est d’une qualité telle qu’on peut l’effriter comme de la poudre, souvent au-dessus d’une petite coupelle en céramique remplie de tabac à rouler. Pour me fondre dans les moeurs locales, j’ai fait l’acquisition d’une telle coupelle, mais je m’obstine encore à rouler mes joints avec un bout de cigarette en guise de filtre. J’essaye d’en vanter les mérites, mais tout le monde ici semble résolument attacher à utiliser un carton.

Mais globalement, je me suis complètement adapté : je suis passé de ne fumer que de l’herbe à ne consommer que du shit. Au Liban, elle est encore plus chère qu’en France, autour de $15 le gramme, au point que ceux qui en ont ne la partagent pas, même en soirée. A la différence du haschich, la weed est un marqueur social fiable au Liban, et sa présence se fait exceptionnelle.

Entre l’ombre planante de l’emprisonnement et la récurrence des joints, la façon dont on fume au Liban témoigne d’une pratique quasi-schizophrénique. Le haschich au Liban, c’est un peu “Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom” : il peut être trouvé partout, mais mieux vaut éviter de l’invoquer.

Ariel.

«Tout le monde fume des joints maintenant, c’est devenu banal»

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Nos confrères du Journal Libération nous propose aujourd’hui un article qui montre du doigt l’addiction du cannabis chez les lycées. De plus en plus d’adolescents s’enfoncent dans une dépendance physique et psychique au cannabis. Au réveil ou à la sortie des classes, en solitaire ou entre amis, ils fument.

”En France, 12 % des élèves de classe de troisième ont fumé du cannabis au moins une fois dans le mois.”

Article disponible ici

La libération générale des drogues, une utopie ?

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Le 12 Septembre 2038. 15 heures 30.

L’Assemblée Générale des Nations Unies, ‘l’illustre machin’ comme l’avait baptisé quatre-vingts ans auparavant le Général de Gaulle, se réunit en séance plénière pour voter une résolution qui -à titre exceptionnel – aurait vocation universelle, et qui en outre serait contraignante en cas de majorité des deux tiers.
Les membres de la vénérable institution avaient écouté en séance plénière les discours de plus de soixante-sept chefs d’état sur le sujet qui était explosif, digne d’un bon roman de science-fiction. Le silence qui régnait était sidéral. Ragaillardie par quelques succès diplomatiques au Moyen-Orient, dont la création d’un état palestinien viable, après un demi-siècle de négociations, la ‘vieille dame’ s’apprêtait à transcender son rôle traditionnellement consultatif en mettant en délibéré la résolution 96-162. 001. Celle-ci portait sur la légalisation universelle des drogues. La résolution stipulait qu’à partir du 1er décembre 2038, producteurs et trafiquants de tous niveaux transféreraient à des régies dans leurs pays respectifs, leurs compétences et autres savoir-faire concernant tous les narcotiques dont ils géraient la production et la distribution. En échange de leur coopération avec les autorités, les narcotrafiquants seraient de facto blanchis.

La mesure prendrait effet sur toute la planète, sans recours ni contestation possible. L’événement fit grand bruit car il redistribuait les cartes d’un commerce florissant, souvent au profit de nations en développement mais surtout des intermédiaires. Cette initiative au sommet changerait la donne dans tous les pays. Riches ou pauvres.

Les Nations Unies avançaient que cette révolution culturelle se justifiait au motif qu’en rendant le commerce des drogues légal, celui-ci bénéficierait dorénavant davantage aux producteurs qu’aux intermédiaires et que cela permettrait par ailleurs de garantir une relative qualité et sécurité des produits. Une résolution à résonance planétaire ! La plupart des intervenants illustraient leur propos en se servant de l’exemple de la prohibition aux États-Unis et sur le fait que l’Amérique n’avait pas sombré dans un alcoolisme généralisé dans les années qui suivirent la fin de cette mesure en 1933 !

Après le dernier discours du jour, prononcé par le premier président palestinien fraîchement élu dans son nouveau pays, l’Assemblée passa au vote dans une ambiance un peu ‘drôle de guerre’. Personne n’y croyait vraiment même si les pays producteurs avaient opéré en amont un lobbying sans précédent.
À la stupeur générale, 121 pays sur 194 votèrent en faveur de la résolution 96-162.001, une majorité qui contraignait dorénavant le monde entier à légaliser toutes les drogues disponibles.

« Un pas de géant pour l’humanité » déclara le Secrétaire Général japonais en place depuis trois ans, grand artisan de ce colossal projet. L’homme insista sur le fait que les prisons allaient par conséquent se vider de façon spectaculaire. Toutes les études menées sur le sujet par l’institution mondiale annonçaient une fourchette basse d’au moins 700 000 personnes relaxées ! Les économies faites par les états seront significatives et permettront une nouvelle marge de manoeuvre financière liée aux nouvelles taxes appliquées à ce nouveau commerce officiel. Ce travail prospectif prévoyait aussi une baisse réelle de l’alcoolisme.

Dans ce très sérieux rapport, les experts prévoyaient une hausse de la consommation d’environ 11,7%, toutes substances confondues, mais ils anticipaient également par corrélation une diminution des conséquences sanitaires néfastes de l’usage – même accru – de drogues grâce au contrôle assurant une meilleure qualité et plus grande pureté des produits. Ils préconisaient par conséquent de demander aux grands laboratoires pharmaceutiques de se lancer dans la fabrication d’héroïne et de cocaïne. Pour la marijuana, déjà utilisée dans les institutions hospitalières de certains pays, la libéralisation du commerce de cette plante représenterait une aubaine pour les agriculteurs qui amélioreraient leurs revenus de façon significative. Ces spécialistes recommandaient au final de s’inspirer du modèle hollandais en place depuis des décennies pour la fumette ‘home-made’.

« Mes rêves ne me rapportent rien, et c’est pour cela qu’ils me sont chers. » Victor Cherbuliez,1877.

Cyrille Putman

It is important to smoke at the right time

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Soft is the sound of the paper that crumbles with the crackling of the first taste. Smoking a joint has never been so simple. The wind of effects pervades our brain, all that’s left is to enjoy a journey without needing to move.

It is an act that deserves more and more thought, increasing with age. Even if the effects stay the same, our body grows and, therefore, increases in weight.
Indeed, we are 24 years old and fully grown but our capacity to endure working days or the day following a long night is not the same. Every night is a race against time to catch up on a handful of nanoseconds of sleep. Being young is tiring.

It is therefore important, according to the most elementary logic, to issue a statement if we want a rhythmic and well-ordered life.
Humbly, here is our popular wisdom that points out some moments when it would be sound to not be tempted by our favourite plant.

Eliminating the one in the morning is probably the best thing you can do.
The “wake and bake” is a moment of bewilderment in our sea of bedsheets where, not feeling like doing anything, the desire to roll one persists.

Our brain hardly has the opportunity to be filled with wonder by the birth of a new day that the mist of THC makes it wear the dark funeral dress. As subtle as morphine, this morning joint will numb you and will prevent you from accomplishing the first duty of your morning routine: getting out of bed.

The joint from boozy evenings is not your friend. It is like a walk on the wire of unconsciousness. If the proportions are poorly mastered, drunkenness will have a taste of weakness as well as everything that follows. We walk in the footsteps of a foolish person stuttering to the silly speech, unable to transmit any sort of reflexion.
Smoking before sleeping is not a good idea. It is like sleeping in a cloud without a sky, like a night without a dream. Indeed, it may be easier to fall asleep, but it will not be a restorative rest nonetheless. The following morning, once awake, it is like a fog that has intruded your thoughts.

Cannabis and sex: a cocktail that needs to be mastered.

For many years, cannabis has been used in different cultures (mainly eastern cultures) as an aphrodisiac.
It is believed that small doses of this green plant would increase the sexual desire, mainly for women, or even to prolong the duration of the erection for men.

In general, the positive effects would make us more sensitive and, therefore, more favourable to give and to receive love. It lubricates relationships, making the couple curious to try out new positions by allowing for more freedom.
The body image is undeniably magnified, giving new and more exciting sensations to the sexual intercourse.
Marijuana can make us open up with our partner in order to communicate better: discussing about what makes us reach orgasm, whether it be for men or for women. Smoking can easily transform these difficult conversations into amusing ones, which, in turn, makes the sexual intercourse seamless and efficient.
However, it has to be acknowledged that it is important to control the dosage when smoking. Any person who smokes too much will be unable to undertake an effective action…

It is advisable to take care in selecting the type of cannabis.
For example, Sativa is known for its ability to contract the muscles, therefore, its ability to last longer. The Indica, however, creates a relaxing effect in the body as well as in the mind.

A study from the University of Stanford School of Medicine (available hereconsulted with 28,176 American women (aged 29.9 in average) and with 22.943 American men (aged 29.5 in average). The researchers asked participants the number of sexual intercourses they had taken part in over the past 4 weeks. They also asked if participants had smoked cannabis over the past 12 months.

The results showed that 24.5% of men and 14.5% of women had reportedly used cannabis, and that there was positive association between the frequency of cannabis use and the frequency of sexual intercourse.

The researchers proved that women who had not smoked over the past 12 moths reported an average frequency of 6 sexual intercourses in the last month, whereas women who had smoked reported an average frequency of 7.1 sexual intercourses.

On the men’s side, those who had not smoked over the past 12 months reported an average of 5.6 sexual intercourses, whereas those who had smoke reported an average of 6.9 sexual intercourse.

A wildlife park treats animals with CBD.

The team from the wildlife park Out of Africa, a park for the conservation of fauna in Arizona, provides the best possible quality of life to animals under their care. This implies that the medical needs of animals are taken very seriously, including in their day-to-day needs, the cannabis plant… 

The team in charge of this wildlife park promotes conservation by providing exemplary care to the animals. They do so by meeting the animals’ daily needs, in terms of their diet and their breeding, as well as their holistic needs in terms of health and medical care. It is understandable that the park’s veterinaries have committed to caring for their animals with the cannabis plant, particularly with cannabidiol (CBD).

Upon learning that one of their goats, Kasani, had seizures in the middle of the night, the team from Out of Africa was looking for holistic treatments.
Out of Africa was put in touch with Ian Petersen, CEO, founder and creator of Source CBD, who helped them in the process of CBD treatment.

The wildlife park’s team is always confronted with new illnesses. For Appollo, a 54kg albino python (…), a cancerous tumour developed.
After a series of interventions, a large portion of the cancerous mass was removed, however, “it was impossible to extract it entirely from the tissues without removing large portions of muscles”, explains Zack Ala, manager of large reptiles.

In a life or death situation, the team reconnected with Petersen in order to establish a treatment plan. The treatment started in January 2018 and lasted eight weeks, with a dose of 100 mg of CBD administered orally.
Since then, the remaining mass has become harder and has ceased expanding, allowing Apollo to recover entirely.
The medicine is administered by means of a capsule (for horses) containing CBD oil.
The latter is then wrapped in raw chicken.
The  team from Out of Africa ensure a better quality of life for these wild creatures thanks to CBD.

À la une du Courrier International : Le Business du Cannabis.

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Très bon dossier de nos confrères Français de l’hebdo “Courrier international” avec une couverture spéciale sur “le Business du Cannabis » ..

Un triste constat aussi pour nos amis Français qui seraient 17 millions à avoir déjà fumer un joint, et ou ses dirigeants  continuent a fermer la porte a toute forme de légalisation …
Toujours pas d’usage thérapeutique…  Là ou tous les jours de nouveaux états dans le monde autorisent l’usage récréatif du cannabis …
À retrouver ici.             

 

CBD: 3 letras, una molécula y prometedoras virtudes

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El cannabis terapéutico se convierte cada vez mas en algo normal en las costumbres. Así como hoy la industria farmacéutica prescribe anti-depresores, el CBD aparece como uno de los mejores productos de la medicina “suave”, con efectos mucho mas interesantes que los ansiolíticos comunes.

Que es el CBD?

Es importante precisar que el CBD es diferente de su primo, el THC (tétrahydrocannabinol), que es la substancia psicoactiva del cannabis.
La marihuana posee esos dos elementos, y las búsquedas científicas han demostrado hace muchos años los efectos psicotropicos del THC (en 1964 exactamente), pero ha habido que esperar los años
1970-1980 para ver los primeros avances serios sobre los usos terapéuticos del CBD.
El CBD es considerado como un cannabinoide no psicoactivo, en otros términos no produce los mismos efectos de los que puede provocar el THC.

Consumir CBD permitiria reducir los síntomas de ansiedad y mejoraría la respuesta natural del cuerpo al dolor. Reduciría la inflamación haciendo olvidar el sufrimiento del cerebro. Es un tranquilizante natural que disminuye el estrés y que tampoco provoca algún efecto de adicción.
Desde un punto de vista científico, el CBD funciona principalmente con los receptores situados dentro de nuestro sistema inmunitario, cuando el THC funciona con los receptores situados principalmente en el cerebro.

Otros estudios muy serios afirmaron su eficacia en el tratamiento de la enfermedad de Alzheimer o ciertos canceres.aqui.

Como se consume el CBD?

El CBD puede consumirse de diversas maneras :

-Primero, y de manera clásica, en forma de hierba. El “cannabis light” tiene el mismo olor, el mismo sabor, pero su porcentaje de THC no sobrepasa los 0,2 % (conforme a la legislación francesca contra los 15 % de la hierba normal.

La mayoría de esos consumidores son a menudo lo que han fumado demasiado cannabis y que no soportan mas el THC.

-Desarrollado recientemente, el CBD en forma de e-liquido se destina a los cigarrillos electrónicos. Generalmente, estas ultimas están aromatizas para tener los mismos sabores que la marihuana.

-El CBD también puede tomar la forma de capsulas que se tragan fácilmente con un vaso de agua. Es la manera de hacerlo mas popular. Los efectos tardan en llegar por el tiempo de digestion pero los resultados duran mas tiempo.

www.synervacbdoils.co.uk

-El aceite de CBD esta destinado principalmente a ser consumido por la boca, con gotas bajo la lengua. Se presenta en forma de frasco con un cuentagotas que permite medir la dosis. También puede ser consumido con alimentos o bebidas.

https://sensiseeds.com

-La pasta de CBD es la forma mas pura de la molécula. Se extrae a partir de plantas de cáñamo cultivadas de manera totalmente biológica. Esta pasta es proporcionada por una jeringuilla que permite, una vez mas, una dosificación fácil y controlada. También puede ser consumida repartiéndola sobre los dientes de abajo o dejándola derritiéndose bajo la lengua. También puede ser absorbida sola o dentro de alimentos.

 

www.cbdeau.fr

– También existe productos cosméticos realizados a partir de CBD, como crema que se aplican sobre la piel. Los testimonios afirman que es un complemento eficaz para los dolores artiuclares, la piel seca o también problemas de acné.

http://www.paulette-magazine.com