Jacob

Journaliste et talentueux producteur d'électro, il voit le cannabis comme étant Ze sujet actuel, reflet d'une société qui continue à muter. 

I Love You Alice b. Toklas.

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Film culte de 1968, réalisé par Hy Averback qui met en scène l’extraordinaire Peter Sellers.

Avocat trentenaire et névrosé, Harold Fine part à la recherche de son frère, Herlie, qui vit dans une communauté hippie, pour le prévenir de  l’enterrement d’un vieil ami de la famille. Harold va découvrir le monde très cool des hippies, la marijuana, la contestation et tomber amoureux de la belle et craquante Nancy… Tous les ressorts comiques du film reposent sur la lente transformation de l’homme d’affaires aux allures de Woody Allen en hippie décadent.

https://www.youtube.com/watch?v=1m58giTA-OE&t=8s

 

Jacob

Bud and Breakfast : le Airbnb pour les fans de cannabis

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Vous avez envie d’allier voyage et cannabis?

BudAndBreakfast revolution le tourisme cannabique. Ce site qui fait penser à Airbnb, propose à ses clients des formules ou l’on peut découvrir de nouvelles régions dans le monde et gouter leur weed locale.

Le site se décrit comme rassemblant la « plus grande collection d’hôtels et de locations cannabis-friendly du monde ». Ils recense aujourd’hui des hébergements en Europe (pas beaucoup de choix), dans les Caraïbes ou en Amérique du Sud.

L’idée est aussi simple que révolutionnaire : aider les touristes à trouver un endroit sûr où fumer leur cannabis légal, sans risque et sans ennui.
Comme Airbnb, le site permet aux propriétaires de louer leur propre logement pour les touristes, tout le monde y trouve son compte grâce au business du cannabis.

Site BudAndBreakfast 

Jacob

Un parc animalier traite les animaux avec du CBD.

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L’équipe du parc animalier Out of Africa, un parc de conservation de la faune sauvage en Arizona, offre la meilleure vie possible aux animaux dont ils ont la charge. Un besoin qui signifie que les besoins médicaux des animaux sont pris très au sérieux, incluant dans leur besoin quotidien, la plante de cannabis…

L’équipe en charge de ce parc animalier, sensibilise l’action en faveur de la conservation, en pratiquant des soins exemplaires sur les animaux en répondant aux besoins quotidiens de chaque animal, en matière d’alimentation et d’élevage, ainsi qu’à leurs besoins holistiques en matière de santé et de soins médicaux. Il est tout à fait compréhensif que les vétérinaires du parc se soient engagés à soigner leurs animaux avec la plante de cannabis, et particulièrement avec du cannabidiol (CBD).

Après avoir appris qu’une de leurs chèvres, Kasani, faisait des crises au milieu de la nuit, l’équipe d’Out of Africa était en recherche de traitements holistiques. Out of Africa a été mis en relation avec Ian Petersen, PDG, fondateur et créateur de Source CBD, qui les a aidés dans le processus de traitement au CBD

L’équipe du parc animalier se confronte toujours à de nouvelles maladies. Dans le cas d’Appollo, un python albinos de 54kg(…), une tumeur cancéreuse s’est développée.

Après de nombreuses interventions, on enleva une grande partie de la masse cancéreuse, toutefois il ” n’a pas été en mesure de l’extraire entièrement de ses tissus sans enlever de grandes parties du muscle “, explique Zack Ala, gestionnaire des grands reptiles.

Devant une situation de vie ou de mort, l’équipe a repris contact avec Petersen pour établir un plan de traitement. Le traitement a débuté en janvier 2018 et a duré huit semaines avec une dose de 100 mg de CBD administrée par voie orale.”

Depuis, la masse restante s’est durcie et a cessé de croître, permettant à Apollo de se rétablir complètement.

Le médicament est administré à l’aide de capsules (pour cheval) contenant de l’huile de CBD.

Ensuite, le tout est enveloppé  dans du poulet cru.

L’équipe d’Out of Africa assure une meilleure qualité de vie à ces créatures sauvages grâce au CBD.

Snoop Dogg fume un joint devant la maison blanche.

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Dans une vidéo précédente, Snoop avait révélé qu’il venait d’avoir envie d’aller à la Maison-Blanche et avait promis à ses fans qu’il “ferait de la merde de gangsta” s’il recevait 20 000 “likes” en trois minutes.

C’est maintenant chose faite.

https://www.youtube.com/watch?v=H3iAfG0aCNM

Mr Nice de Bernard Rose

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Sorti en 2010, ce film britannique retrace l’histoire de l’un des plus grands trafiquants de haschisch de l’histoire, voyageant du Pakistan en Asie en passant par les USA sous de multiples identités pour vendre des dizaines de kilos d’herbe et de résine de cannabis.

Partant de Londres dans les années 70, Howard (joué par Rhys Ifans) nous conduira jusque dans les champs de marijuana du Moyen Orient et autres lieux improbables, avant de connaître sa chute à Mallorca à la fin des années 80.

Francis Ford Coppola lance sa marque de cannabis.

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C’est durant une soirée privée à San Fancisco, le 24 octobre dernier que le réalisateur Francis Ford Coppola a dévoilé pour la première fois son tout nouveau produit.

La société Thursday Infused, fondée par l’entrepreneuse américaine Jamie Evans, organise depuis début 2018  des repas gastronomiques finement accompagnés de cannabis. Entre thés et menus infusés à la weed, ces soirées sont très prestigieuses et les invités ne sont prévenus que 24 heures à l’avance  de l’emplacement où se déroulera le dîner.  Cette fois-ci, c’est le réalisateur d’Apocalypse Now, du Parrain et de Dracula qui était mis à l’honneur pour présenter sa nouvelle production de cannabis, la « Grower’s Series », sous l’égide de la Coppola Cannabis Company.

En collaboration avec Humboldt Brothers, entreprise spécialisée dans le cannabis, cette série de production contient trois joints prêts à être fumés,  chacun comportant une sorte  de cannabis différent, une pipe noire et des allumettes, le tout joliment empaqueté dans une bouteille de vin en acier.

Jacob

High Times Magazine: le cannabis sur papier.

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Voile, pêche, karting, tricot, pensez à un passe-temps quelconque et vous êtes sur de pouvoir vous abonnez à une revue spécialisée aux État-Unis.
Depuis 1974, High Times magazine est le mensuel encourageant sans retenue la culture du cannabis, activité bien entendu illicite et passible d’une lourde peine de prison dans encore plusieurs États américains.

À l’image d’Hugh Hefner (Playboy) et de son empire lapinesque, Tom Forçade a l’idée de remplacer le sexe par l’herbe et fonde donc High Times.
Au lieu de présenter à chaque numéro une fille nue, il fera l’apologie d’un type de plante. Ironie de la vie, les premiers numéros sont conçus via l’argent des deals de cannabis .

En 1988, Steven Hager (alors rédacteur en chef du magazine) organise la première Cannabis Cup aux Pays-Bas pour y juger la qualité des différentes variétés. Après cette date, ce festival devient le rassemblement symbolique créer par l’équipe du High Times où sont récompensés chaque année les meilleures variétés de cannabis. Les juges sont choisis parmi le public venu tester les productions.
Il faudra attendre 2009 pour que le magazine consolide une véritable audience. C’est en moyenne
500,000 copies qui sont vendues chaque mois, de quoi se hisser dans la compétition face à Rolling Stones Magazine (musique) ou National Lampoon (satyre).
Depuis 2017, les bureaux du magazine se trouvent à Los Angeles.

Comme tout bon magazine qui se doit de vivre,  High Times ne vit pas seulement de ventes et d’abonnements. Ses pages sont remplies de pub telle que «  Sortez indemne de tous les tests de drogues. Remboursement garanti  » en  proposant par exemple des  entreprises spécialisées dans les produits éliminant toute trace de drogue dans le sang, l’urine, la salive ou la sueur. Une seconde pub vante des systèmes d’éclairage sophistiqués permettant la culture d’intérieur. Une troisième propose une méthode plus économique pour atteindre le «  high  » voulu  : une gamme de vaporisateurs diffusant les effluves de cannabis ou de marijuana dans l’air.

Et pour éviter aux abonnées les quelques soupçons que pourraient avoir leurs voisins ou même celui d’un facteur un peu trop curieux, High Times est envoyé dans une enveloppe totalement discrète où rien n’est révélé.  Alors, qu’est ce qu’on attend pour s’abonner ?

Ici la version Web

Jacob