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Sexe: Mettez de l’huile dans votre moteur

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Chaque jeudi, je vous donne rendez-vous avec ce plaisir que l’on dit charnel, le sexe. Sans tabou, je vous parle de sujets qui le sont, pour faire de vos câlins des expériences inoubliables.

‏Et si la sécheresse vaginale n’était pas une fatalité ? Nous n’allons pas nous mentir, il arrive que les rapports sexuels ne soient pas toujours évidents. Outre les soucis d’ordres psychologiques ou temporelles, les problèmes physiologiques arrivent souvent en premier dans le peloton de tête des circonstances réussissant à transformer une relation intime en un véritable calvaire. Or, le cannabidiol  possède des effets vasodilatateurs et psychoactifs qui pourraient vous accompagner dans votre quête vers une sexualité plus épanouie. Certaines pourraient alors trouver dans le CBD une solution qui pourrait s’apparenter à un miracle.

L’issue CBD

‏Messieurs les hommes, oubliez le fantasme d’une femme toujours prête à recevoir les délicatesses de son partenaire: nous ne sommes pas des machines qui réussiraient à lubrifier le moteur à chaque tour de clef. Et même avec quelques kilomètres au compteur, parfois, il faut parfois un coup de pouce en cas de démarrage à froid.
‏Les meilleurs préliminaires peuvent devenir une piste accidentée,  sans parler de la pénétration qui peut s’avérer être une épreuve particulièrement douloureuse. C’est là que le CBD entre en piste : il pourrait être l’huile qui manquait à notre moteur.

‏Qu’est ce qui provoque la sècheresse vaginale ?

‏Celle-ci n’est pas forcément causée par un manque de désir (mais cela se peut aussi. Dans ce cas, nous vous conseillons juste de vous abstenir). En effet, les bouleversements hormonaux qu’ils soient dus à une ménopause, une grossesse, un post partum ou une période de votre cycle sont d’autant de possibilités à provoquer votre anhydrie. A cela, nous pouvons y ajouter certains contraceptifs, les infections génitales, les médicaments, le stress, les régimes alimentaires, l’exercice physique, la dépression et tout un tas d’autres joyeusetés.

‏Ce sont les changements dans la production hormonale d’œstrogènes qui la provoquent chez 25% des femmes avant la ménopause : si son taux s’affaiblit, les parois vaginales deviennent plus fines, et entraînent souvent moins d’humidification et donc de lubrification. De plus, moins il y a d’oestrogènes et moins il y a d’excitation sexuelle dans la mesure où cette hormone gère la stimulation du flux sanguin vers le vagin. Or, la lubrification du vagin est essentielle pour faciliter la pénétration tout comme la fabrication de la cyprine (gérée par les glandes de Bartholin) afin d’humidifier les lèvres et l’orifice vaginal.

Cannabiniol, le roi vert de la glisse

‏Offrant un spectre thérapeutique plus large, le CBD possède aussi bien des propriétés analgésiques, anti-inflammatoires et vasodilatatrices qu’il joue un rôle psychoactif. Ainsi les causes psychologiques comme l’anxiété, les troubles de l’humeur ou le stress pourront être mieux contrôlés. Votre sécheresse vaginale sera alors traitée de manière holistique.
‏En absorbant l’huile de manière sublinguale, vous allez permettre au CBD d’agir rapidement : il va directement et rapidement aller dans votre système sanguin. Après 5 à 15 minutes, le temps de vous occupez de vos bouches, seins et autres parties merveilleuses de vos peaux en ébullition,  vous serez bien plus lubrifiée et prête à continuer la partie de plaisir.

Si la sécheresse vaginale n’est pas confortable et peut vous gêner dans votre vie sexuelle, elle est aussi là pour vous rappeler votre rythme naturel et d’écouter votre corps. Votre appareil génital est un formidable baromètre de vos émotions et de votre bien-être. Ne le négligez jamais.

Rencontre avec une cannasexuelle.

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Cannasexuel(le) : Se dit d’une personne qui consomme systématiquement de la weed avant d’avoir un rapport intime.

Melody a 27 ans, pour elle le Cannabis c’est assez nouveau. Sa première expérience c’est en 2017 à Rotterdam avec un Space Cake “ C’était hyper fort, hyper violent. Un mix de l’exorciste et de shining.” Un an plus tard, en compagnie de son copain de l’époque, elle retente l’expérience avec un joint de weed pur. Depuis, il l’a quittée, mais “la weed est restée”. Elle fume aux alentours d’un gramme par jour et fait des pauses de temps à autre: “Je ne cherche plus d’excuses, je suis une stoner”.

Libido décuplée

Le Cannabis a complètement changé sa manière d’envisager le sexe, l’ouvrant à tout un volet jusque là ignoré de sa sensualité: “Je peux aller plus loin et ressentir plus ce qui est parfait”. Melody s’est longtemps sentie enfermée dans sa sexualité, bloquée par l’influence de ses proches et par la pression sociétale  “C’est une vraie liberté. Il n’y a pas cette honte et ce dégoût de soi post-sexe.”
Le Cannabis décuple sa libido et lui permet de vivre chaque expérience dans l’instant en  se laissant aller. Une soupape indispensable qui lui évite d’être coincé par le poids de sa propre psyché et surtout, de mieux s’accepter et de mieux accepter le regard de l’autre. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il existe de nombreuses huiles de massages au Cannabis et des variétés de weed spécialement dédiées au sexe.

Libération du corps

Melody a longtemps souffert du poids de son hypersensibilité. Elle parle de sa consommation comme d’une “protection” qui lui permet d’être plus détachée émotionnellement.  Une sensibilité qui s’est longtemps traduite par des douleurs chroniques aussi bien physique que psychique. Elle n’a jamais très bien su si elles étaient somatiques, mais elle apprend à vivre avec depuis qu’elle fume. Elle sent parfois une certaine gêne, de l’ordre de la tendinite, mais l’expérience est bien moins pénible:  “Disons que ça laisse la douleur physique, mais te retire la douleur psychique, et ça, c’est le mieux.

Il faut savoir que le Cannabis est actuellement en train d’être reconnu par une bonne partie de la communauté scientifique comme étant le traitement le plus efficace pour le traitement des troubles post-traumatiques et hypersensibles. Son seul regret? Une expérience pas très amusante de Camgirl (terme qui désigne les filles qui font des spectacles à caractère érotique pour des internautes). Elle a rapidement arrêté, trouvant que ça n’était “ni hyper glamour, ni hyper positif” de poser pour d’hommes se pensant des dieux du sexe, mais qui étaient en réalité assez lourdingue. Elle s’est sentie négligée et s’est retirée “comme un nom sur une liste”.

Quête de sens et de sensation

Melody m’explique qu’elle est plutôt dans une quête de contact, de connexion que de coups d’un soir.
La dernière fois qu’elle en a eu un justement c’était en deux temps: “Le soir même c’était ouf, on était complètement high et déchaînés.” Le lendemain en revanche c’était un autre registre bien plus gênant et bien plus sobre: “On savait plus où se mettre, on a quand même essayé de recommencer, mais j’avais mal dans les positions profondes” Elle soupire et lâche finalement “c’était beaucoup moins fun…”.

Melody confie qu’elle cherche plutôt des plans émotionnels avec des gens qui la rassure. Une recherche de sécurité et de confort qui joue aussi dans le choix de ses partenaires qui sont bien souvent des fumeurs comme elle. “Je préfère les consommateurs aux gens neutres” conclue-t-elle “ne serait-ce que pour aller au musée high ensemble, c’est merveilleux”.

Vice a enquêté sur le sujet, leur reportage (interdit aux moins de 18 ans) est disponible en deux clics à partir de ce lien

 

Le cannabis thérapeutique à la rescousse des libidos en berne

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Selon une étude conjointe de l’Université du Connecticut et de Géorgie publié en décembre dernier dans le Journal of Health Economics, les patients consommant du cannabis thérapeutique auraient plus de relations intimes.

Parmi les avantages liés à la légalisation du cannabis,  l’une d’entre eux serait de donner un coup de boost aux relations charnelles et au taux de natalité.
Des chercheurs américains à l’origine d’une étude “visant à observer les changements de comportement des patients bénéficiant d’un traitement au cannabis thérapeutique”,  affirment que les patients en question ont « une augmentation de l’activité sexuelle ».
Pour en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont interrogé des jeunes sur une période de 14 ans, entre 1997 et 2011, en leur posant ouvertement des questions sur leurs usages de consommation de cannabis ainsi que sur leurs habitudes sexuelles au cours du mois passé. Dans un contexte qui suit la légalisation du cannabis médical, l’étude relève une augmentation de 4,3% de la « probabilité d’avoir des relations sexuelles une ou plusieurs fois au cours du mois dernier ».  On note également « une augmentation des relations sexuelles commençant directement après le changement de loi ».

Légalisation et hausse du taux de natalité

Elle s’accompagne d’ailleurs d’une baisse de l’utilisation de contraceptifs et, de fait, d’une augmentation de 2% des naissances. On parle de 684 naissances en plus par trimestre. Pour les chercheurs ces résultats sont éloquents et « prouvent que la consommation de cannabis a un effet considérable, involontaire et positif sur les taux de natalité ».

Ils expliquent que les effets du cannabis « peuvent modifier les attitudes envers les risques sexuels en rendant les utilisateurs moins préoccupés par les conséquences des rapports sexuels, entraînant une diminution de l’utilisation des contraceptifs ».

Alors que l’étude met également en lumière des effets physiologiques qui peuvent être responsables d’une baisse de la fertilité, ces comportements insouciants envers les risques expliquent pourquoi la natalité est finalement en hausse. Pour conclure, l’étude explique que « les deux mécanismes suggèrent que les réponses comportementales peuvent être dues à une attention accrue aux effets hédoniques immédiats du contact sexuel, à une volonté accrue de s’engager dans des relations sexuelles, ainsi qu’à une insouciance des conséquences potentielles d’un rapport sexuel ».
Une découverte qui donne un autre sens au coach lock.

 

Pourquoi je ne pourrai plus me passer du massage au CBD

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Le bien-être, ça passe par se sentir bien dans son corps comme dans sa tête. Et quoi de mieux pour allier relaxation physique à détente de l’esprit qu’un sensuel massage au CBD? Témoignage.

Cela fait maintenant 5 ans que je suis en couple et qu’évidemment il est toujours bon, à ce stade-là, de devenir créatif pour transformer le désir sexuel ou du moins, le faire perdurer pour garantir à mon duo toutes les chances dont il a besoin pour survivre. J’ai de la chance, je ne suis pas compliqué, elle non plus. Nous sommes deux adultes vivants ensemble dans un cocon parisien (et je souligne bien le mot cocon). Le confinement commence peut à peut à se faire ressentir (bientôt 1 an tout de même) pourtant, et contre toute attente, nous arrivons à maintenir un cap d’entente. À croire que l’on pourrait être presque des héros du 21ème siècle.

Venons au fait. Nous fumons de la weed. Sinon je ne serais pas là pour vous en parler. Régulièrement ? Oui monsieur. Tous les soirs, une fois que les besognes sociétales sont derrière nous. Souvent devant un film, inévitablement après le sexe. Avant, c’est hors de question, nous avons déjà testé et je peux vous dire que le mal de mer n’arrive pas que sur l’eau. Alors après, oui. Tout le monde le sait. Une fois que l’amour s’est consumé sous les draps, il n’y a rien de plus plaisant d’avoir la tête de la personne que l’on aime sur son torse et d’y voir des jets fumants sortant de sa bouche. C’est un plaisir coupable votre honneur, un plaisir à deux, un plaisir qui ne s’explique pas et qui pourtant contribue à beaucoup de choses sur terre. Partager un pétard avec l’être aimé une fois avoir fait l’amour contribue à la définition du paradis terrestre.

Pourtant, nous désirions, avec ma compagne, trouver un subterfuge pour accéder au plaisir cannabique avant nos acrobaties. Et c’est là que le CBD fut comme une réponse. L’huile de massage pour être précis. Avec le CBD, dont la commercialisation en France est légale mais très réglementée, le principe est le même : ses vertus relaxantes libéreraient le corps et les inhibitions, boostant ainsi les ébats de ses consommateurs. Quant aux huiles de massage ou lubrifiants, -à appliquer directement sur les parties génitales- le CBD allait également avoir un effet déstressant mais en plus réduire la sensibilité de la zone. BANCO !

J’avais donc opté pour une huile de massage à base d’ingrédients 100 % d’origine végétale, et qui laissait sur notre peau, une légère odeur d’agrumes. Nous avions commencé dans les règles de l’art, des bougies sur les meubles, un petit Jazz en fond, la femme de mes rêves sur le ventre et mes mains sur son dos. J’étais assez surpris par la capacité qu’avait cette huile à se fondre directement dans sa peau. L’huile de CBD s’absorbe bien, ce n’est pas une légende. Et puis nous sommes passés au massage génital. Le vendeur me disait que l’art de ce massage permettait de faire circuler l’énergie sexuelle; bien vu. .Je ne vous ferai pas de dessins. Au bout de 15 minutes, une envie furieuse et mystérieuse a surgi; et il a fallu très rapidement que l’on n’arrête le massage pour passer à une autre étape

Si aujourd’hui les préliminaires sont pour vous un ennui, le CBD pourrait être pour vous le remplacent idéal. Il faut dire que l’huile de CBD est réputée pour ses propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, relaxantes et hydratantes. Un actif puissant qui s’est désormais invité entre ma compagne et moi

Playboy lance sa gamme de produits au CBD.

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Après 66 ans de publication d’articles pour adultes, de dessins animés pour grands enfants et d’images de jolie femmes prises dans leur plus simple appareil, l’entreprise d’Hugh Hefner entre dans le doux monde du CBD, étendant sa gamme de produits au « bien-être sexuel ».

Playboy Enterprises, Inc. (Playboy) a annoncé hier, vendredi 18 septembre, le lancement d’une nouvelle gamme de produits à base de CBD « full spectrum », conçus pour «améliorer l’intimité et le plaisir sexuel».
Les trois premiers produits de la gamme comprennent un gel-lubrifiant (47$) un spray lubrifiant destiné aux femmes (45 $) ainsi que d’une boule effervescente de bain relaxante à base d’huile de chanvre, d’huiles essentielles et de pétales de rose (15$).
Dans le détail pour le produit star: le gel-lubrifiant est composé d’une poudre de CBD soluble dans l’eau, de racine de maca et « d’herbe de chèvre cornée » ( ?) , tandis que le spray d’excitant et réservé aux femmes, (parfum vanille) contient du kava-kava, de la vitamine B3 et crée une sensation de chaleur si besoin était.

Le spray pour mesdames (45$)

La rédactrice en chef de Playboy Sex and Culture, Anita Little, explique dans le press-kit que les nouveaux produits CBD de la société dirigé par l’homme en peignoir le  plus célèbre du monde (avec  Lebowsky)   font partie de ses efforts continus de la marque pour « aider à combler l’écart d’orgasme » (sic),
«Notre ambition chez Playboy est d’aider tout le monde et tout le monde à explorer et à rechercher le plaisir», continue la red’chef . «Bien que Playboy ait aidé à inaugurer la première révolution sexuelle, il reste encore du travail à faire pour que tout le monde puisse accéder au plaisir. Nous savons que les femmes en particulier ont moins souvent l’orgasme que leurs partenaires sexuels masculins. »

Le gel intime (47$)

Selon Playboy, des études scientifiques indépendantes indiqueraient en effet que 85% des hommes ont atteint leur apogée lors de leur dernière relation sexuelle, contre 64% des femmes.
Playboy nous apprend aussi que 95% des hommes hétérosexuels éprouvent toujours un orgasme pendant les rapports sexuels , contre 65% pour les femmes.
Messieurs, si besoin était, vous voilà  informés.
Mesdames, le lien pour acheter les huiles du plaisir partagé est ici : 

La boule à bulle pour bain de boules (15$)

Cannabis et Tantrisme 

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Le cannabis est utilisé depuis 3000 ans dans la pratique tantrique et en général dans une approche plus spirituelle de la sexualité. Citée dans de multiples ouvrages indiens et arabes cette plante servirait de pont entre le monde incarné et le monde spirituel et permettrait d’atteindre une extase incomparable.

Il faut cependant préciser un peu le propos, il existe des centaines de variétés de cette plante et autant de manières de la consommer, chacune ayant des effets différents.
La molécule qui nous intéresse ici et le THC qui a une concentration de moins de 20%. Ses effets psychoactifs, à moindre dose, auraient de nombreux bénéfices ; augmentation de la libido chez la femme, augmentation du plaisir et de la durée de l’échange chez l’homme, et en général une empathie exacerbée qui intensifie la sensation d’union physique.

Il est essentiel de ne pas dépasser l’ivresse légère, pour voir apparaitre ces effets et il est donc conseillé de ne pas ajouter à sa consommation de cannabis une consommation d’alcool (dont l’ivresse prendrait le dessus sur la première).

Enfin, quelle forme choisir ?

Le haschisch, qui endort plus qu’il n’excite (car plus concentré en CBD, canabidiol) n’est pas idéal d’autant plus que l’évaluation de sa qualité est très difficile en Occident, sous forme de marijuana (herbes séchées) l’indica aura des effets trop proches de ceux du haschisch mais la sativa en revanche (grâce à son faible taux de CBD) laisse la place au THC qui stimule physiquement et intellectuellement. Ainsi, consommée avec modération elle sera la plus appropriée pour l’amour tantrique.

On peut retenir que le cannabis a de nombreuses vertus sexuelles s’il est utilisé correctement, mais reste un moyen et non une fin, une autre manière d’exprimer son amour ou même juste sa tendresse à quelqu’un d’autre.

Bref, faites l’amour, pas la guerre.

 

Raoul

Qui sont les cannasexuels ?

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Viceland est allé à San Francisco, à la rencontre de Ashley Mantra, une éducatrice sexuelle spécialisée dans ce que l’on pourrait appeler l’intimité cannabique.
À l’aide de la weed, Ashley transforme les vies sexuelles de ses patients.

Un(e) cannasexuel(le), d’après Ashley, est une personne qui consciemment et délibérément, combine sexe et cannabis
Au-delà des sensations qui se trouvent altérées, c’est l’état d’esprit qui joue un rôle déterminant.
Le cannabis permet de sortir de sa tête et d’entrer dans son corps.
Il faut garder à l’esprit que le THC agit avant tout sur le cerveau, en modifiant notre perception de la réalité. Le fait que les deux partenaires soient high peut contribuer à diminuer la pression, à s’ouvrir, à se désinhiber, bref, à faire en sorte de se détendre. Voire même à tenter de nouvelles choses.

 

Jacob