Weed - Page 8

Carlos Santana dévoile sa marque de cannabis !

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Carlos Santana, l’un des guitaristes contemporains les plus connus au monde vient de lancer sa marque de cannabis.

L’icône mexicaine a dévoilé “Mirayo” sa marque composée de quatre variétés de cannabis différentes: Sativa, Hybrid, Indica et CBD.

Les produits Mirayo seront disponibles en paquets de cinq pré-roulés de 0,5g ou d’une jarre de 7g, avec les variétés suivantes :

  • Radiance : Sativa qui permet d’étendre son énergie vers l’extérieur afin atteindre la sagesse divine et à avoir à un esprit créatif.
  • Symmetry : Une hybride visant à harmoniser l’intérieur et l’extérieur, l’esprit et le corps, pour une perception élevée
  • Centered : Une indica destinée qui pousse les fumeurs vers la paix intérieure,

Durant sa déclaration l’artiste a déclaré: “D’après mon expérience, le cannabis a des propriétés spéciales qui améliorent la réflexion méditative et l’expression créative. Cela peut dissiper le doute négatif pour révéler le don éternel de notre unicité. Avec Mirayo, j’espère aider les gens à utiliser le cannabis comme une porte vers un comportement plus bienveillant comme la gentillesse et la compassion.”

 

Jusqu’à présent, Mirayo est disponible dans certains dispensaires californiens, mais ne soyez pas surpris, cela va changer rapidement.

Et si on fumait un président Américain?

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Le 3 Novembre 2020, la plus puissante des démocraties va élire son nouveau CEO. Afin de célébrer cet événement unique (et potentiellement apocalyptique) Zeweed met à l’honneur 4 variétés rimant avec politique au pays de l’oncle Sam.

La plus smooth: Obama Kush
Pas besoin de vous présenter le président le plus populaire de l’histoire contemporaine Américaine : Barack Obama. Un homme connu pour son amour du Cannabis (c’est un des seuls à avoir admis une consommation ponctuelle à l’âge adulte, après l’obtention de la fonction suprême), pour son rôle dans la légalisation dans la plupart des États et pour un certain sens du style. Cette variété, créée pour lui rendre hommage par Superior Genetics, est un croisement entre de l’Afghani et de l’OG Kush, ce qui lui donne des arômes herbeux avec une touche de terreux. Avec 17% de THC, c’est une pure indica réputée pour son High cérébral et son effet profondément décontractant. La weed parfaite pour tripper en festival, comme sa fille Malia, qui a été surprise avec un joint à Lollapalooza.

La double effet: la Bill Clinton OG
Le 42ème Président des États-Unis est surtout connu des amateurs de verdures comme étant l’homme qui “n’a pas inhalé”  quand il a testé le cannabis à l’université.
UNIQUE pieux mensonge mis à part (si on oublie Monica Lewinski et quelques autres) ce président joueur de Saxophone a marqué les années 1990 avec ses coups d’éclats et les années 2000 avec ses coups de gueule.  Cette hybride à 20% de THC est populaire des deux côtés de l’hémicycle, grâce à ses arômes fruités et parfumés d’épices, sans oublier ses effets apaisants et euphoriques.

Celle qui rend parano: la Richard Nixon Tricky Dick 
On ne peut parler de Nixon sans évoquer son rôle dans la prohibition du Cannabis. C’est lui qui lancé la “War on Drugs” (ou “Guerre contre les drogues”) et poussé les législateurs pour que la substance soit maintenue en niveau 1, au même rang que l’héroïne ou le crack.
Fait étonnant, cette variété est le fruit du travail d’un des rares républicains Pro-Cannabis, Roger Stone, qui a d’ailleurs travaillé pour la campagne du président (avant le scandale du Watergate, bien entendu) et appelé à la légalisation dans son état de résidence : la Floride.
Définitivement mutin, Roger Stone a même invité des journalistes à découvrir sa collection de bongs et de pipes à Hash parodiant Nixon lui-même. Qui a dit qu’on ne pouvait pas être politique, drôle et high à la fois ?
Il explique d’ailleurs que la variété est à l’image du politicien, puisqu’elle “rend profondément paranoïaque et donne envie de dévorer un buffet chinois à volonté ” et qu’elle pousse dans sa ville d’origine, Yorba Linda, Californie.

La lourde : la Trump OG
L’actuel Président des U.S.A. est indéniablement une personnalité médiatique majeure. Son “You are fired” est même devenu culte (en tous cas beaucoup plus que son mandat).
Cette variété aux arômes de citron et de musc est issue du croisement des OG Kush et Presidential Kush.
Elle est à réserver à une consommation en soirée, sous peine d’être complètement cassé et de dire des âneries sur Twitter.
La Trump OG est apparemment parfaite pour ne rien faire ou pour passer de longues heures à regarder la télévision. Nous ne ferons pas de commentaire sur le lien entre cette variété et le président qui lui a donné son nom.

La Catalogne, nouvel eldorado de la weed?

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Si Amsterdam était la destination des enthousiastes du cannabis depuis les années 80, les ganja-aficionados et gonzo-entrepreneurs de la weed se sont tournés depuis quelques temps vers  un lieu de pèlerinage nettement plus chaud: la Catalogne et plus particulièrement sa ville phare Barcelone.
Dans la province rebelle de l’Espagne, la loi est en effet des plus cool et souple, nous informe Le Point dans un article publié hier sur leur site, en collaboration avec le quotidien britannique The Guardian.

La Catalogne est-elle devenue un eldorado pour les trafiquants de drogue ? The Guardian, citant la police espagnole, fait état de marges élevées sur la marijuana produite localement et d’un faible risque de condamnation à de longues peines de prison pour les dealers. Un rapport interne des Mossos d’Esquadra, la police catalane, affirme que « la Catalogne est l’épicentre du marché illégal de marijuana en Europe » et est devenue un acteur privilégié dans l’exportation de cannabis vers les autres pays européens. La marijuana vendue y est peu chère…

La suite de l’article est disponible ici

Vivement la réouverture des frontières!!

 

C’est officiel, 3000 Français auront le droit à du cannabis (thérapeutique).

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La phase d’expérimentation du cannabis à visée thérapeutique a (enfin) été validée hier par le ministère de la Santé. Ce premier essai dans l’Hexagone se fera dans un cadre très limité (3000 patients) et devrait débuter fin février 2021.

L’Assemblée nationale française avait pourtant bien validé, il y a un an, sa mise en œuvre pour le mois de septembre 2020.
Une date reculée en raison de la crise sanitaire.
Selon le texte paru dans le Journal Officiel, l’expérimentation devra commencer nécessairement avant mars 2021 et concernera 3 000 patients.
Le cannabis à fumer sera en revanche exclu du protocole. Les médicaments verts se présenteront sous forme d’huiles, de gélules ou de fleurs séchées uniquement vaporisables, et ne seront administrés qu’à des patients souffrant de conditions graves, comme certaines formes d’épilepsie, de douleurs neuropathique, d’effets secondaires de chimiothérapie ou de sclérose en plaques.
« Le décret est publié dans un contexte difficile pour les malades en particulier, victimes d’une stigmatisation toujours plus forte et d’un discours gouvernemental offensif contre le cannabis en général », s’est félicité dans un communiqué le Collectif Alternative pour le cannabis à visée thérapeutique (ACT).

Urgence de traitement contre urgence sanitaire

Concernant la mise en place de l’expérimentation, les députés de la mission parlementaire d’information sur les usages du cannabis ainsi que  plusieurs associations de malades n’auront eu cesse d’inviter l’Etat à agir plus vite. « Il faut que la France sorte de la préhistoire en matière de cannabis », une plante « qui est une drogue mais qui peut aussi être un médicament », a ainsi estimé le rapporteur général de la mission, le député Jean-Baptiste Moreau (LREM).
Las ! Entre la crise sanitaire et une position gouvernementale des plus récalcitrantes vis-à-vis de la belle plante, les 3000 patients triés sur le volet auront du prendre leur mal en patience durant 6 mois, quitte à avoir recours au marché noir
Pour info, le cannabis à usage médical est autorisé dans une trentaine de pays. Au Canada bien évidemment ainsi que dans 38 États Américains. En Europe, les Pays-Bas en ont été les pionniers dès 2003, suivi depuis par 22 pays (sur 27), dont la France… timidement.

Zeweed avec AFP.

 

 

 

Make Cannabis Great Again: Le Vermont devient le 11e État à légaliser la weed!

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Le club de marijuana des États-Unis vient de passer à 11 avec l’ajout du Vermont mercredi.

Tout le monde l’attendait, c’est maintenant chose faite : le Vermont a accepté de légaliser pleinement la marijuana. La possession personnelle (jusqu’à une once) et la culture de marijuana ont été légalisées au Vermont en 2018, mais les ventes au détail étaient toujours illégales. La législature de l’État a remédié à cela en acceptant finalement l’article 54, un projet de loi qui finalise aujourd’hui le processus de légalisation du Vermont.

«Je suis vraiment heureux qu’après avoir présenté certains des premiers projets de loi sur la légalisation du cannabis il y a plus de 20 ans, nous ayons enfin mis en place un système fiscal et réglementaire avec certains des contrôles les plus stricts sur la propriété des entreprises et des protections et des ressources supplémentaires pour la prévention des jeunes», a déclaré Le lieutenant-gouverneur du Vermont, David Zuckerman. «Ce projet de loi complet et avant-gardiste s’attaque aux méfaits historiques de la guerre contre la drogue, qui affecte de manière disproportionnée les communautés de couleur, y compris ici au Vermont.»

En même temps que l’article 54 passait par le Sénat du Vermont, son projet de loi sœur, l’article 234, était également approuvé. «Ce projet de loi supprimera automatiquement les casiers judiciaires de plus de 10 000 personnes reconnues coupables de possession de deux onces ou moins de marijuana. Le projet de loi décriminalise également la possession de une à deux onces de marijuana», a expliqué Zuckerman.

La France verbalise les fumeurs de weed: amendes ou peanuts?

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Le 1er septembre, le gouvernement français mettait en place un système de verbalisation pour les consommateurs de cannabis. Une initiative qui au-delà d’être à contre-courant d’une opinion publique favorable à la légalisation, n’est pas sans rencontrer quelques difficultés quant à son application. Bilan provisoire.

6000 amendes pour infraction à la législation sur les stupéfiants auront été infligées aux consommateurs français au mois de septembre.
Soit près de 200 procès-verbaux par jour. Un chiffre que l’on doit au zèle imposé aux forces de l’ordre, qui se sont vu signifier une obligation de résultat (et donc verbalisation) par le ministère de l’intérieur. En exemple, cette note distribuée dans tous les commissariats dans laquelle le locataire de la place Beauvau, Gérald Darmanin, estime qu’il est   «inconcevable que certains services n’aient encore réalisé aucune AFD » (Amende Forfaitaire Délictuelle).
Force sera pourtant de constater que 6000 PV dressés à l’encontre des 900.000 fumeurs quotidien  et 5 millions occasionnels (soit au moins une fois par semaine), c’est peu et c’est peu dissuasif.
Et pas faute d’avoir motivé les troupes à coup de bâton, ce terme qui dans le jargon policier désigne une arrestation ou verbalisation. Car la nouvelle disposition légale du gouvernement Castex n’est pas des plus aisées à appliquer, nous apprend Le Figaro dans son édition datée du jeudi 1er octobre.

Une note de la Chancellerie émise la veille de l’arrivé de l’amende verte dans l’Hexagone nous informe en effet que la sanction payante n’est pas applicable « Lorsque le délit a été commis par un mineur » ou « lorsque plusieurs infractions, dont l’une au moins ne peut donner lieu à une amende forfaitaire ont été constatées simultanément ». Comme par exemple se faire arrêter pour non port du masque avec une barrette de shit. Échappent aussi à cette procédure pour usage de stupéfiants le délit« aggravé par la qualité de son auteur ». Entendez par là qu’un gendarme, pilote d’avion, conducteur de train ou chauffeur de bus ne sauraient être invité à payer mais à passer par la case commissariat.
Autre exception : « les conducteurs de véhicules terrestres à moteur ». Sous-titré : si vous vous faites arrêter pour excès de vitesse quand vous revenez de chez le revendeur d’herbe… vous êtes marron (mais échappez à la prune).
Si vous ne pouvez justifier de votre identité, ce sera aussi direction le poste, de même que si l’interpellé nie les faits ou si il est « ivre ou sous l’emprise de drogue ».
Il va donc falloir arrêter les consommateurs avant qu’il ne consomment…
Dernière exception (qui fini par faire la règle) ; pas de verbalisation non plus si vous êtes pris la main dans deux sacs : c’est à dire avec deux substances interdites différentes.
Herbe et extasy par exemple ou encore haschich et cocaïne puisque les trois produits rentrent dans le périmètre de la nouvelle disposition Castex. Mais dans ce cas, point de note de la Chancellerie, c’est ici à un problème technique que les force de l’ordre se heurtent. « Mais qui a conçu ce logiciel ? » s’étonnera sans surprise un gradé dans les colonnes du Figaro.
Vous l’aurez compris, les policiers français n’ont pas fini de transpirer des gouttes carrées à chaque fois qu’ils appréhenderont un enthousiaste de l’herbe.
A ce casse-tête pratique opposons son bénéfice, l’argent rapporté par la mesure: 6000 PV par mois à 200 euros (en supposant qu’ils soient tous payés par les vilains), ça fait 14 millions par an.
Chez nous au Canada, en moins de  deux ans, la légalisation aura rapporté 580 millions de dollars dans les caisses de l’État.

 

 

 

Campagne présidentielle US: Let’s Make Weed Great Again!

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Alors que nous avons assisté lors de l’affrontement Biden-Trump à  des échanges de bas étages, Zeweed se propose de relever (bien haut perché) le niveau du débat en abordant en rythme et en rimes le brulant sujet de la légalisation du cannabis. Avec Prince EA ft. Barack Obama en avocat de la Ganja, voici sans doute le meilleur des plaidoyers en la matière (verte).

 

 

 

La légalisation du cannabis a fait baisser sa consommation

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Pour Pierre-Yves Geoffard, professeur à l’Ecole d’Economie de Paris et expert de la santé, la légalisation encadrée du cannabis n’est pas une “lâcheté” comme l’affirme Gérald Darmanin. C’est une politique rationnelle qui a réussi à réduire la consommation chez les jeunes, notamment au Canada.

Paradoxale ?  Depuis le 1er septembre, en France, il est dorénavant possible de recevoir une “amende forfaitaire délictuelle” permettant aux forces de l’ordre de condamner plus rapidement les consommateurs de cannabis ou de cocaïne. La loi française, déjà la plus répressive d’Europe sur l’usage de drogues, dispose désormais d’un outil supplémentaire.

Nos confrères de Challenges Magazine délivrent aujourd’hui la tribune de Pierre-Yves Geoffard -expert de la Santé- expliquant que la légalisation encadrée du cannabis n’est pas un délit. Au contraire, cela pourrait plutôt s’apparenter à une politique rationnelle qui aurait réussi à réduire la consommation chez les jeunes, notamment au Canada.

La suite de l’article paru dans “Challenges” est disponible ici

 

 

Suisse : Des tests de distribution de cannabis autorisés

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Par 31 voix contre 7, le Conseil des Etats a accepté de modifier la loi sur les stupéfiants comme l’avait déjà décidé le National. Des études scientifiques sur les effets d’une utilisation contrôlée du cannabis pourront être menées

Des tests de distribution de cannabis seront menés en Suisse. Le Conseil des Etats a donné mercredi le feu vert à de telles expériences dans les grandes villes helvétiques. Le produit ne devrait toutefois pas être exclusivement d’origine indigène, ni biologique.

Par 31 voix contre 7, la Chambre des cantons a accepté de modifier la loi sur les stupéfiants comme l’avait déjà décidé le National. Des études scientifiques sur les effets d’une utilisation contrôlée du cannabis pourront être menées. Elles détermineront notamment les effets des nouvelles réglementations sur la consommation de cannabis à des fins récréatives et leurs conséquences.

Un tiers de la population suisse indique avoir déjà fumé du cannabis, 200’000 personnes en consomment régulièrement. La situation actuelle n’est pas satisfaisante, a relevé le ministre de la Santé Alain Berset. Les répercussions de la consommation de cannabis sont particulièrement visibles dans les villes.

Les essais seront réglementés. Une ordonnance d’application a déjà été rédigée et elle fixe un cadre très strict. La participation aux projets pilotes sera limitée aux consommateurs de cannabis âgés d’au moins 18 ans, a expliqué Johanna Gapany (PLR/FR) au nom de la commission.

Les participants devront prouver qu’ils consomment déjà du cannabis pour participer aux essais pilotes. Ils seront étroitement accompagnés et l’évolution de leur état de santé devra faire l’objet d’une surveillance constante.

Les essais seront limités géographiquement. Ils ne devront pas durer plus de cinq ans prolongeables de deux ans sur demande. La taille du groupe dépendra du type d’essai, mais ne devra pas dépasser 5000 participants.

 AVERTISSEMENT

A Tel-Aviv, la weed tombe du ciel!

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Il pleut de l’herbe! Vendredi après-midi, plusieurs centaines de sachets contenant de la weed sont tombés sur la place centrale de Tel-Aviv. Une averse divine que l’on doit à “Drone Vert”, un généreux groupe de ganja-militants aux actions de haut-vol.

“Il est temps mes chers frères. Est-ce un oiseau ? Est-ce un avion ? Non, c’est le drone vert, qui distribue gratuitement du cannabis depuis le ciel”, a écrit le groupe “Drone vert” dans un message sibyllin sur l’application Telegram, selon des médias israéliens.

Des centaines de petits sachets ont été largués par drone, faisant le bonheur de passants qui se sont empressés de ramasser les paquets de deux grammes de cannabis étalés sur la place Rabin, devant la mairie de Tel-Aviv.

Les deux personnes qui étaient aux commandes de l’aéronef sans pilote ont été interpellées par la police.

Mais la manne céleste ne devrait pas s’arrêter pour autant, “Drone vert” ayant annoncé que le projet “pluie de cannabis” se poursuivrait chaque semaine dans un endroit différent d’Israël, où au total un kilo de cannabis tomberait du ciel.

Si Israël a donné son feu vert à l’exportation de cannabis médical, la production, la vente, l’achat et l’utilisation de cette drogue douce pour des usages récréatifs restent des infractions.

 AVERTISSEMENT 

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