Conso THC

Petit guide des différents types de hash et leurs concentrés.

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En Amérique du nord, le haschich a longtemps été considéré comme un produit pour fins gourmets du THC.  En Europe, la donne est un peu différente puisque le haschich -principalement marocain ou afghan-  était la seule matière cannabique disponible sur le vieux continent jusqu’aux 90’s et la déferlante de weed cultivée indoor qui enterra le gros shit qui tâche. Depuis une dizaines d’années, des méthode d’extraction comme le Bubble Hasch, Shatter, Wax ou Crumble ont fait leur apparition sur le marché, au grand bonheur des kiffeurs de taga comme des curieux qui aimeraient une alternative à la Ganja. Petit précis de ces hasch 2.0. aux effets aussi variés que puissants.

Tout d’abord et afin de mieux appréhender le hasch et ses nouveaux dérivés, il nous faut comprendre le fonctionnement d’un plant de Ganja.

Weed, Trichomes, Ganja, Cannabis, Pot
Le hasch est fabriqué en utilisant uniquement les trichomes des bourgeons et des garnitures de cannabis.

Ce sont les plants de cannabis femelles qui produisent des fleurs qui, si elles ne sont pas polonisées par des plants mâles, produisent une résine épaisse et collante. Cette résine est composée de trichomes; de minuscules structures qui ressemblent à des cristaux à l’œil nu et à de minuscules champignons de verre au microscope.

Le hasch est fabriqué en utilisant uniquement les trichomes des bourgeons et des garnitures de cannabis. (illustration). Ces sont les trichomes en question qui noue offre , les alcaloïdes (cannabinoïdes), les terpènes et les flavonoïdes qui donnent au cannabis ses effets, arômes et saveurs uniques. Le haschich est fabriqué en séparant ces trichomes des bourgeons de cannabis et de la garniture et en les concentrant en un puissant extrait.

Le hasch « fait main »

En Inde et au Népal, les habitants font du hasch en frottant des bourgeons de cannabis vivants entre leurs mains.

Archivo:Balls and sticks of Charas.jpg
Hash en résine live roulé à la main – Charas indiens et boules de temple népalaises

Le sous-continent indien, produit majoritairement du cannabis Indica et le prépare avec l’une des plus anciennes formes de fabrication de haschisch : En Inde et au Népal, le hasch (ou Charas, comme l’appellent les locaux ) est fabriqué en frottant des bourgeons de cannabis frais entre les mains pendant des heures. Avec la friction, les trichomes de la plante forment une résine épaisse et sombre qui est raclée en boules ou en bâtonnets, qui présente une texture crémeuse qui n0’est pas sans rappelé celles des truffes au chocolat.

Le Dry Hift Hash – Noir afghan, rouge libanais, pakistanais, brique turque et pollen marocain

Le Haschich par « tamisage sec » est obtenu en tamisant doucement les têtes de cannabis séchées et en les coupant à travers des tamis à mailles fines. Cette friction douce aide à séparer les trichomes en une fine poudre appelée kief. Ce kief est ensuite pressé en blocs selon différentes techniques selon la zone de production.

Le hachage par tamisage sec est fait en appuyant et en chauffant le kief.

En Afghanistan, par exemple, le hasch (connu localement sous le nom de Chars) est fabriqué en mélangeant du kief avec de petites quantités de thé pour former une sorte de pâte qui est pétrie à feu doux jusqu’à ce qu’elle prenne une couleur noire profonde et une consistance épaisse et lisse semblable à caramel mou.

Le hasch marocain, d’autre part, est fabriqué en appuyant plusieurs fois sur le kief en utilisant uniquement la pression et la chaleur. Le hasch pakistanais, lui, est fabriqué à l’aide d’une technique similaire. Pour le folklore, certains habitants du Pakistan affinent leur dans une peau de mouton ou de chèvre séchée pour rehausser sa saveur, une méthode aussi cash que peu vegan.

La Colophane

Faire de la colophane est simple, il s’agit de presser les têtes de cannabis séchées avec beaucoup de pression et de chaleur. Le résultat est un extrait clair, doré, exempt de contaminants et riche en saveur et en puissance.

La colophane a une consistance très similaire à la sève des arbres.

 

Le Bubble Hasch

Le Bubble Hash (parfois appelé hasch Ice-O-Lator) est très différent des types haschich « classiques »

 

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Le Bubble Hasch est apprécié pour sa saveur, sa puissance et sa pureté.

.Il est fabriqué en mélangeant des bourgeons de cannabis congelés avec de l’eau et de la glace, en agitant ce mélange pour aider à séparer les trichomes du matériel végétal, et enfin en faisant couler l’eau à travers des tamis à mailles de différentes tailles. Le résultat est un hachage friable avec une consistance similaire au miel cristallisé.

Le Bubble Hash est généralement aussi aromatique que savoureux, des qualités que l’on doit à sa méthode d’extraction a basse température, une méthode qui aide à préserver certains terpènes et flavonoïdes fragiles qui disparaissent si traités à chaud.

BHO : Shatter, Wax, Crumble et Budder, ou la révolution de l’extraction au butane, propane et CO2

Le hasch ne sera jamais plus le même depuis la découverte de l’extraction via des solvants comme le butane, le propane et le CO2.

420, 710, bho
Shatter, Wax, Crumbs et Budder sont tous des noms d’extraits de solvants à base de butane, de propane ou de CO2 , aussi connu sous le nom de BHO

Aujourd’hui, ces types d’extraits, souvent vendus sous des noms tels que Shatter, Wax et Budder, font un carton au Canada et aux US, au point d´égaler les ventes de weed dans certains dispensaires, une tendance particulièrement nette en Californie. Le haschich extrait au butane, du propane ou du CO2 n’est pas un truc à faire à la maison. Mais vraiment pas. Les accidents sont légion (les cas de brulures sévères se comptent par centaine à Los Angeles) car les produits chimiques utilisés dans le processus d’extraction sont aussi inflammables, toxiques que volatils. En bref, pas une bonne façon de s’envoyer en l’air.

Cependant, ces nouvelles méthodes d’extraction (nous vous recommandons d’aller acheter votre Shatter chez des professionnels) sont capables de produire certains des hasch les plus puissants du globe. Une partie des BHO vendu dans les dispensaires américains, par exemple, contient plus de 70% de THC.

Steve Voser pour Zeweed (Traduction Zeweed)

Nancy Whiteman, reine du cannabis sucré

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Nancy Whiteman est la preuve que le cannabis-business est ouvert à tous et à tout âge. A 52 ans, l’américaine a quitté le confortable monde des assurances pour monter “Wana”, sa marque de gummies, bonbons et sucettes au cannabis.
Petit portrait de celle qui a été couronnée  “Reine du Cannabis légal” par Inc Magazine.

Nancy Whiteman n’a franchement pas la tête de l’emploi.
Toujours tirée à quatre épingles, la femme d’affaire ne se déplace qu’en tailleur et escarpins de marque.
Dans un ganja-business qui comporte moins de 25 % d’entreprises dirigées par des femmes, Nancy s’est imposée comme directrice générale d’une entreprise au chiffre d’affaire de 25 millions de dollars en 2019. Cerise sur le space-cake, sa marque est devenue celle qui vend le plus de produits comestibles au cannabis aux États-Unis, d’après le cabinet BDS analytics.

Un parcours qui force le respect pour celle qui a commencé par des expérimentations dans sa petite cuisine.
Quand elle fonde Wana avec son ex-mari John en 2010, Nancy n’en est pas à son coup d’essai.
Diplômée de Cornell (le Harvard du sud) et d’un MBA, elle aura eu une première vie des plus nourrie dans le très compétitif monde des entreprises US.

La Martha Stewart du THC

C’est cette faculté d’adaptation, grande force de Nancy Whiteman, qui la poussera avec son ex-mari  à abandonner son aventure dans les sodas au cannabis pour se consacrer à leur produit best seller : les bonbons acidulés.
“Je vise les parents amateurs de Chardonnay (…) qui cherchent simplement un peu de relaxation” explique-t-elle à Inc Magazine lorsqu’on lui demande l’origine de son succès fulgurant.
L’innovation n’est cependant pas sans travers et autres obstacles: la liste des produits qu’elle propose à la vente via son entreprise ayant énormément changée au fil des évolutions de la loi et des retours consommateurs.
Son produit préféré : des amandes recouvertes d’épices et de poudre de cannabis est indisponible depuis 2013 car il était impossible de garantir un taux uniforme de THC pour toute la gamme.

“Je vise les parents amateurs de Chardonnay (…) qui cherchent simplement un peu de relaxation”

Coup de chance (ou d’instinct) elle a retiré le produit un an avant la normalisation des consommables en 2014.
C’est aussi cette aptitude au rebond qui est la clef du succès de “Wana”, dans une économie national qui n’autorise pas le commerce de cannabis au niveau fédéral.
Nancy Whiteman a  ainsi dû jongler avec des réglementations variant de mois en mois et d’états en états pour changer composition, emballages et  taux de THC de ses produits,  sans pour sacrifier leur qualité.

Si ses produits se vendent si bien c’est parce qu’ils sont particulièrement gourmands et que leurs effets sont très facile à gérer… à condition d’y aller en douceur.
La “Martha Stewart du cannabis” selon le magazine Entrepreneur, n’a aucune honte à admettre son propre Bad Trip quand elle a malencontreusement ingérée une dose de cheval de Chocolat chaud au THC.
J’ai cru que ça durait depuis des heures, cela faisait 10 minutes” s’en amuse-t-elle dans une interview accordée au magazine Medium.
Une expérience qui l’a poussée à améliorer les indications sur les emballages de ses produits afin d’ éviter à ses consommateurs de vivre une expérience similaire: “il vaut mieux y aller en douceur” conclue-t-elle sagement.

Les produits de Nancy sont disponibles ici

 

Dépistage THC au bureau : faut-il tricher pour travailler?

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Au Canada comme aux États-Unis, légalisation ou pas, télétravail ou pas, nombre d’entreprises continuent d’imposer aux salariés des contrôles au THC. Alors que la pratique se développe aussi en Europe, ce jeu du gendarme et du smoker fait les beaux jours des fabricants de solutions trompe-test. Zeweed s’est penchée sur 5 de ces produits anti-chômage.

Qu’il s’agisse d’un usage soutenu et régulier ou du petit joint du samedi, la consommation de cannabis laisse des traces. De toutes les drogues illégales, c’est d’ailleurs celle qui reste le plus longtemps détectable après la prise. Jusqu’à 90 jours pour les gros consommateurs et minima  5 jours pour quelques taffes prises en soirée. Ce qui n’est pas sans déconvenues lorsque qu’un mail de la DRH vous invite cordialement à venir passer un THC-test avant la fin de la semaine.
Pour faire face à ce genre de situation, et pourvu que vous ne soyez ni pilote de ligne ni détenteur de la valise nucléaire, des solution existent. Sélection.

Pour les tests salivaires 

Le chewing Oral Clear (Clear Choice)
Proposé par Clear Choice la marque américaine leader du marché de la gruge cannabique, Oral Clear effacera toute trace de THC de votre salive pendant 30 minutes.
(un seul goût disponible : vaguement mentholé)

Verdict : Un produit très efficace pour les tests surprises, mais au prix d’une journée de travail.
120 CAD$. Disponible ici

Pour les tests capillaires 

Le Toxin Rid Sham
En cas de test capillaire, méthode peu pratiquée dans le cadre d’une vie de bureau classique, le shampoing Toxin Rid se pose comme la seule alternative au passage à la tondeuse. Il faudra tout de même une quinzaine d’utilisations pour que la toison retrouve une apparente sobriété, avec un minimum de trois jours d’emploi pour arriver à enlever toutes traces tangibles de THC .

Verdict : A un tel prix, mieux vaut être certain que c’est bien un test capillaire et non urinaire qui sera imposé… 309 CAD$Disponible sur le site 

 

Pour les tests urinaires 

Clean Urine (Test Clear)
La marque Test Clear, à qui l’on doit le très efficace chewing gum Oral Clear commercialise un produit des plus fiables techniquement : de l’urine déshydratée 100% sobre. La poudre jaune est fournie avec une fiole et un réactif qui chauffe au contact de l’air pendant 45 minutes. Le kit est fourni avec une bandelette thermoréactive qui permet de vérifier que la température est adéquate.

Verdict : la meilleure et plus utilisée des alternatives à l’abstinence complète. 65 CAD$ Disponible ici

Pour les test urinaires surveillés de très près 

-Screeny Weeny (Clean U)
Pour les employés un peu paranos comme pour les DRH trop zélés, Clean U propose une étonnante et imparable panoplie puisque la marque US vend un système génital complet, avec fausse urine et faux pénis. L’engin est fourni avec deux sachets d’urine synthétique, il s’agira ensuite de ranger tout l’attirail dans son slip, puis, le moment venu, de presser sur le faux zizi pour faire sortir le faux pipi.
La marque a le sens de détail puisque deux coloris sont disponibles : noir ou blanc, avec deux options : circoncis ou non. En revanche, une seule taille disponible.
Un système que la marque a décliné pour le beau sexe via des sous-vêtements “secrets” avec une poche pour l’urine propre (qui est évidemment au seul endroit qu’il est interdit de palper)

Verdict : Très justement appelé « anti paranoïa pack », ce summum de la triche vous mettra à l’abri de toute sanction, mais pas du ridicule. Disponible pour homme (218 CAD$) et pour femme (72 CAD$)

Norbert Deveaux

Les Infos et Intoxs de la Weed-Detox

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Le cannabis peut sembler l’alternative idéale pour le dry January. Las! Comme tout produit psychotrope, l’herbe qui fait rire pèse sur l’organisme.
Zeweed a passé en revue plusieurs méthodes de détox’ du THC pour vous garantir un nettoyage réussi et un début d’année sain et serin.

Le THC  et le CBD sont des substances qui restent longtemps dans l’organisme en se fixant sur les graisses. Ces alcaloïdes sont structurellement destinées  à rester sur vos poignées d’amour comme dans la matière adipeuse de votre cortex.
Leur concentration et temps d’évacuation dépendront  de l’organisme, de la consommation faite et d’indice de masse graisseuse de chacun, le métabolisme du consommateur influant beaucoup sur la rapidité du nettoyage.

Il est impossible de calculer exactement le temps nécessaire pour une détox en profondeur mais il existe une moyenne pour se faire une idée. Un consommateur régulier (fumant une à deux fois par semaine) n’aura besoin que d’une d’une dizaine de jours tandis qu’un fumeur de l’espace (consommant de manière quotidienne) aura besoin d’un bon mois.
Ce nettoyage peut cependant être accéléré par certains produits naturels que nous allons évoquer.

Intox: La sudation

Si il est vrai que la peau relâche une partie des toxines, des études récentes suggère que cela ne serait pas en assez grande quantité pour avoir un impact suffisant en préparation d’un nettoyage en profondeur. Avec approximativement 1 pour cent qui sont relâchées par les pores ce n’est pas très intéressant de vous précipiter à la gym si ce n’est pour vous donner soif, l’énorme majorité étant évacuées dans les urines et dans les selles.

Pas la peine de se faire suer. Pas pour la détox, en tous cas…

Quitte à vous faire suer préférez le Sauna qui a l’avantage de booster le système immunitaire et d’accélérer vos fonctions corporelles naturelles. Un véritable allié santé.

Info: Le charbon végétal activé et l’alimentation

Le charbon végétal activé est le meilleur ami de votre détoxication. Il absorbe naturellement une grande partie des toxines en évitant qu’elles continuent leur cycle dans votre organisme. C’est aussi très bon pour votre peau, pour les troubles gastriques et pour vous blanchir les dents. Nous vous recommandons la version 2000 en poudre, la plus absorbante, que vous pouvez acheter directement ici ou chez votre pharmacien de quartier.

Détox: allez au charbon
Radis noir, artichaut et gingembre: y’a de la détox dans l’air…

Info: la détox aux légumes

Toutes les nourritures qui sont bénéfiques à vos fonctions hépatiques (a.k.a liées au foie) et dépuratives (a.k.a filtrantes) sont aussi les bienvenues comme le radis noir, les agrumes, le gingembre ou les artichauts.
Des aliments à consommer sans modération même pour les plus gourmands et qui sont aussi disponible en ampoules concentrées pour les plus pressés.

Intox: Les boissons drainantes

De nombreuses boissons miraculeuses sont proposées sur Internet avec des promesses dignes de vendeurs d’huile de serpent. Le problème c’est qu’il n’existe aucune preuve de leur réelle utilité dans le cadre d’une détox en profondeur et qu’elles peuvent même s’avérer nocives pour vous. Si la plupart d’entre elles se contentent de gommer les toxines en vue d’un test certaines forcent votre organisme à rejeter violemment le THC. C’est donc potentiellement dangereux pour les plus sensibles.
La Gatorade et les boissons énergisantes ne sont pas non plus des remèdes miracles.

Thé vert contre le THC, simple et efficace

Info: boire !

Boire de l’eau ou du thé vert est un simple et sain moyen de se purifier tout en aidant vos reins à fonctionner de manière optimale.
Enfin, ne vous désespérez pas de vous séparer momentanément du coté festif de la weed. Ca permet de retrouver la mémoire, la pêche, une cuisine rangée et dans quelques semaines les émois des premiers joints fumés.

5 idées pour remplacer le tabac

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En Europe, la plupart des fumeurs de weed mélangent leur herbe à du tabac. Cette habitude de consommation pose deux problèmes : une addiction à la nicotine et une addition salée à régler chez le buraliste . Voici 5  saines alternatives au gros tobbaco-bédot qui tâche les poumons et le portefeuille.

La feuille de framboisier
Notre première proposition est la plus économique. Avec les feuilles de framboisier, le joint va se consumer sans soucis. Le seul bémol est le goût. En effet, la feuille de framboisier peut altérer les saveurs de votre herbe, ce qui peut lasser à terme. Privilégiez cette solution pour des petits joints ! Vous pouvez en trouver dans une herboristerie, en magasin bio ou encore sur des sites spécialisés dans la vape. La feuille de framboisier, le best buy des substituts de tabac. (6€ les 100 grammes).

Disponible à l’achat ici

Le houblon
 Tout le monde connaît le houblon pour son utilisation dans le brassage de la bière. Mais saviez-vous que le houblon fait partie de la famille des Cannabaceae?
Cousin de la weed, le houblon s’y mari donc particulièrement bien. Niveau goût, c’est une solution plus viable que la feuille de framboisier. Cependant, soyez vigilants. Le houblon utilisé pour la bière ne fonctionnera pas, on parle bien ici de la plante initiale que l’on trouve aux mêmes endroits que la feuille de framboisier. Question prix, on reste dans le même ordre d’idées, 7e les 50 grammes. Il existe d’ailleurs différents types de houblons avec des fragrances différentes, à vous de trouver celui qui vous convient le plus !

Disponible à l’achat ici

La weed vaporisée
Beaucoup parmi ceux qui vapotent leur weed considèrent leur herbe consommée de la sorte inutile une fois vaporisé. Il n’en est rien ! Outre les multiples utilisations possibles du résidu, on peut également le fumer. Ça n’a rien de sale ou de dangereux et c’est même le meilleur substitut. En effet, la vaporisation va laisser des cannabinoïdes qui seront consommés lors de la combustion. De plus, comme c’est déjà de la weed, il n’y aura aucun problème d’altération de goût, ça fera presque comme un pur !
Petite remarque, la weed grindée et vaporisée peut vraiment s’apparenter à des miettes. Pensez à mettre une amorce de ganja fraîche dans votre joint ou à préparer un filtre spécial afin de ne pas trop en avaler. C’est certainement la meilleure solution et assez économique!

Comparatif des meilleurs vaporisateurs

Le Greengo
Chaque ganja-enthousiaste qui s’est rendu à Amsterdam s’est retrouvé face à ce dilemme : rouler au tabac ou avec le pot d’herbe fourni par le coffee ? Pour ceux qui se posent la question, n’hésitez pas et dites oui au mélange maison proposé par le Coffee shop! Nommé Greengo, le goût est bien plus neutre que celui du tabac et fera plus ressortir celui de la weed que vous venez d’acheter.Niveau composition, ce substitut est un mix de feuilles de noisetier, de papaye, d’eucalyptus et de menthe. Ce mélange séché dégage très peu d’odeur. Encore moins lorsqu’il est mélangé aux bons produits néerlandais. Dénuée de nicotine et contenant un très faible taux de goudron, cette alternative a été avalisée par des labos luxembourgeois. Vous pouvez en trouver sur tous les bons sites internet à environ 10e les 30 grammes.

Disponible à l’achat ici

La laitue vireuse
Beaucoup moins connue que les autres présentées : la laitue vireuse. Et pourtant! La laiture vireuse possède de multiples propriétés, dont celle d’être relaxante, voir sédative … Certaines la fument en substitut au cannabis ou à l’opium, rien que ça. Revers de la médaille: la plante peut provoquer une affreuse migraine. En guise de substitut, la mélanger à du houblon ou de la feuille de framboisier peut être une bonne idée. En tout cas, rien de dangereux ou toxique à l’horizon avec la laitue.
Prix de vente: environ 8 € les 80 grammes

Disponible à l’achat ici

CBD et THC: les précieux alliés de nos lendemains (et jours) de fête difficiles.

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Les fêtes de fin d’année battent leur (trop) plein, le stress et les excès propres à cette période aussi.
Afin de vous aider à passer la trêve des confiseurs en douceur, Zeweed vous présente ses ganjas préférées, des weed magiques anti soirées ronflantes et lendemains difficiles .

Après une année interminable, il va falloir vous changer les idées. Que vous passiez les fêtes en famille, avec Netflix ou entre amis, c’est l’occasion de noyer vos soucis (tout en “modération”, “sobriété” et “mesure” bien entendu).
Histoire de vous préparer à toutes les éventualités, voici 3 weeds classées par effet, une véritable pharmacopée naturelle et gourmande.

La weed CBD pour éviter de stresser en famille : la Cherry Wine (Hybride-17% de CBD)
Beaucoup d’entre vous ne sont probablement pas à l’aise avec l’idée d’être high en famille. Rien de plus logique, en présence d’enfants, mais surtout de personnes âgées au potentiel de jugements désapprobateurs astronomiques.
Heureusement, pour survivre à cette épreuve (qu’on ne vit heureusement qu’une fois dans l’année), Zeweed vous a sélectionné une variété au CBD idéale et à l’odeur très discrète : la gourmande Cherry Wine. Issue d’un croisement entre The Wife et Charlotte’s Cherries, deux variétés connues pour leurs effets décontractants et pour leur fort taux de concentration de CBD. Bien entendu elle contient moins d’un pour cent de THC et elle est donc non psychotrope.
Vous garderez suffisamment la tête claire et un votre calme pour vous faire passer les fêtes en douceur quelque soit les horreurs sorties par votre oncle réac.
Une fleur idéale pour le repas de Noël ou du Nouvel An, car elle conviendra à tous les menus grâce à des arômes de poivre noir entremélés de touches de confiture de cerise.
Un must pour tous ceux qui aiment le fromage et le vin.

La weed pour se remettre du manque de sommeil : la Blue Dragon (Hybride-17% de THC)
Entre les cris des enfants le matin de Noël, les disputes du premier de l’an et vos estomacs bien trop remplis, passer une mauvaise nuit est probable.
Pas d’inquiétude, nous avons la solution avec la Blue Dragon !
Avec cette ganja sur mesure, ce qui vous attend, c’est une touche d’euphorie puis une longue phase de détente très corporelle, histoire de vous remonter le moral et de vous offrir une sieste des plus qualitatives. Cette variété Californienne est un mix entre l’indica Blueberry et la Sativa Sour Diesel, elle est donc acide et fruitée, avec une robe orangée et des trichomes blancs.
Un look tellement festif qu’on pourrait presque l’utiliser pour décorer la table.

La weed anti-nausées : la Lavender (Indica – 16% de THC)
L’alcool et les abats sont très mauvais pour la digestion, la combinaison des deux est une véritable bombe atomique gastrique, capable de retourner même les plus grands amateurs de foie gras.
Avec la joliment nommée Lavender, ou Lavender Kush pour les intimes, c’est l’occasion de vous remettre avec une tisane et un joint auprès du feu. Grâce à une forte quantité de Linalool, un terpène connu pour ses effets apaisants et anti-vomitifs, cette Indica vous offrira un moyen de vous remettre de votre gueule de bois, sans perdre tous vos moyens et vous endormir sur Papi (sauf en cas de grande consommation évidemment).
Avec son arôme floral et épicé et sa coloration légèrement violette, ce croisement de
Super Skunk, Big Skunk Korean et d’Afghani Hawaiian est idéale à vapoter tranquillement au cours de la journée entre deux coupes de champagne. So chic !

 

Zeweed vous souhaite de joyeuses fêtes!

Rap, dollars et cannabis: 9 artistes qui ont chanté la weed et en ont fait un business.

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Si le Jazz, le Rock ou le Reggae ont trouvé en mère Ganja une alliée de poids dans le processus créatif, la majeure partie des textes évoquaient l’amour, l’oppression ou la joie de vivre. Pour le Rap, la tendance est devenue inverse il y a une vingtaine d’années, lorsque parler d’herbe n’était plus synonyme de censure systématique. Les messages contestataires et autres déclarations de sentiments monosyllabiques peu valorisants ont alors laissé la place à des paroles louant les vertus de l’Herbe, qui plus est avec inédite précision et délicatesse. Un amour de la weed que plusieurs artistes de la mouvance concrétiseront en se lançant dans la culture et la vente (légale) de cannabis.

Berner (Cookies)
Tout a commencé en 2010 lorsque Berner, à l’époque dealer, fit appel à Wiz Khalifa pour créer une variété devenue célèbre : la Girl Scout Cookies (GSC). Dix ans plus tard, ce qui a commencé avec une souche de GSC est maintenant devenu l’empire Cookies, l’une des plus grandes marques de cannabis US. En plus de plusieurs dispensaires et d’une ligne de vêtements et produits pour stoner (bong, grinder, pipes…), Berner a également lancé une eau vitaminée au chanvre : Hemp2o. La rumeur raconte qu’il est en négociation avec Arjan Roskam, le « King of Cannabis », une association entre  deux empires à faire passer l’acquisition de 21Century fox par Disney pour un deal de coin du rue.

Kurupt (Moonrock/Sunrock)
C’est en 2014, avec la  Moonrock , une weed présenté sous forme de caillou avec un concentré injecté à l’intérieur d’une tête  avant d’être roulé dans du Kieff,  que Kurupt s’est lancé dans le ganja-market. Indépendamment de proposer  une weed infumable parce que bien trop forte, Kurupt est  l’ancien vice-président de Death Row Records et ancien du Tha Dogg Pound de Snoop. Une mixtape de 23 titres accompagnant des stars comme Kendrick Lamar et, encore une fois, Wiz, a aidé à faire éclater cette invention cannabique tristement célèbre.

Snoop Dogg (Leafs by Snoop)
Après des années de plaidoyer en faveur de la weed, le Dogg se lance en 2015  dans le trade de la matière verte.  Snoop légalise et legit’  son statut de Dogg Father of weed. Préemptant la légalité de 2016 en Californie, Snoop lancera la marque de weed « Leafs By Snoop » à Denver en novembre 2015, deux mois seulement après la création de Merry Jane, un site sur la culture du cannabis qui à ce jour fait toujours un carton.

Xzibit et Dr. Dre (Brass Knuckles)
Fondé en 2015 avec Xzibit, Dr Dre et Regina Herer (épouse du défunt activiste Jack Herer),  Brass Knuckles propose des liquides pour vape pen. Bien qu’initialement couronné de succès, un procès pour contamination par des pesticides en 2018 portera un sale coup à l’entreprise. Alors que l’affaire des pesticides se tasse, trois  investisseurs de la marque ont lancé une poursuite supplémentaire, cette fois uniquement contre Xzibit et le Dr Dre, pour obtenir une compensation pour les dommages pécuniaires et la rupture de contrat… mauvais Karma.

The Game (GFarmaLabs)
En août 2016, The Game devient le premier artiste à posséder son propre dispensaire en devenant partenaire avec une weed-boutique de Santa Ana, The Reserve. Il a également lancé Trees by Game, une entreprise  qui est à la fois une société d’investissement et un bureau de tendances. En avril de la même année, avec GFarmaLabs, il lance une gamme de limonades infusées au cannabis.

Master P (Master P’s Trees)
L’icône du rap du sud et le magnat milliardaire Master P auront tout fait. Qu’il s’agisse de jouer dans la NBA, de mettre le hip-hop du Sud sur la carte du bon Rap, de lancer une chaîne de télévision entièrement Black (non, pas noir et blanc, mais dédiée et faite par des Afro-Américains) et même de profiter d’une carrière d’acteur quelque peu prolifique. En 2016, Master P a lancé Master P’s Trees, qui, selon son communiqué de presse, est un  «mode de vie complet», Fleurs de cannabis mais aussi liquides pour vape pen et comestibles au THC… Las ! Le projet a été de courte durée et n’a jamais complètement démarré en raison de la poursuite en cours de 25 millions de dollars entre Master P et son partenaire commercial.

B-Real (Dr Greenthumb)
B-Real, le leader de Cypress Hill et l’une des premières légendes stoner du rap, s’est officiellement impliqué dans l’industrie qu’il a contribué à façonner en ouvrant le Dr Greenthumb, un dispensaire à Sylmar, en Californie, nommé d’après l’un des plus grands succès de Cypress Hill.

Jim Jones (Saucey Farms)
Après une longue histoire d’incarcération pour des arrestations liées à la marijuana, le rappeur  Jim Jones a finalement suivi la voie légale, en lançant en 2018 Saucey Farms, une ligne de fleurs et de liquides pour vape pen avec le célèbre  bijoutier célèbre, Alex Todd. Pas exactement le plus grand succès de cette liste, mais en mention honorable pour être passé du côté légal de la force.

Jay-Z (Caliva)
Bien que Jay Z ne soit pas à l’origine de la marque Caliva, il a été recruté comme stratège en chef de la marque en juillet 2019. Trois mois plus tard, Caliva ouvrait son premier magasin à  Bellflower, Californie. Depuis, “The Z” a fondé The Parent Company , une plateforme financière qui aide les minorités (spécialement Afro-Américaines), à rentrer dans le ganja-game.

Du plomb et du mercure dans mon joint ?!

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Les papiers à cigarettes, vecteurs de combustion essentiels, sont la plupart du temps chargés en métaux lourds. Parmi les plus présents : le plomb, le mercure et le cadmium. Une information des plus flippantes que l’industrie de papier à rouler s’était bien gardé de communiquer. Mais ça, c’était avant la légalisation et la protection du consommateur. Une petite pipe ?

Au Colorado en Californie comme en Illinois, où fumer est désormais un plaisir non coupable, la légalisation a d’inattendus avantages régulatoires  que le commun des stoner n’aurait su envisager: les autorités sanitaires se préoccupent aussi de la qualité de la matière verte comme de son dernier emballage.
Après avoir pourchassé, des décennies durant, fumeurs et farmers, les gendarmes des marchés de la weed contrôlent désormais les caractéristiques de la fumée aspirée. O tempora, o mor

Contrairement au cannabis, les feuilles à rouler ne sont soumis à aucun test

En Californie, le professionnalisme des régulateurs est à l’image de la pondération west coastienne :  les autorités n’autorisent la commercialisation que de produits ayant été testés en laboratoire, dans leur forme prête à l’emploi. Les laborantins californiens analysent donc la ganja, le papier, et les fumées dégagées par le pétard fumant. Ce faisant, des chercheurs ont résolu l’énigme du moment : certaines volutes étaient chargées en chlorpyrifos, un insecticide (cancérigène, mutagène et reprotoxique) qui n’avait pas été détecté dans la weed. Logiquement, les microscopes se sont pointés sur le papier à cigarette.

Insecticides

Cet été, les scientifiques de SC Labs en ont eu le cœur net. A la demande du California Bureau of Cannabis Control (BBC, les hommes en blanc de Santa Cruz ont établi le profil chimique des fumées de 118 modèles de feuilles à rouler, de cône et autres blunts, fabriqués à partir de cellulose, de riz ou de cannabis. Avec quelques surprises à la clé. Les chromatographes étaient paramétrés pour détecter les molécules de 66 pesticides. Le spectromètre de masse était calé sur quatre métaux lourds toxiques (plomb, cadmium, arsenic, mercure). Sans surprise, ces détecteurs ultrasensibles ne sont pas sortis bredouille de leur échantillonnage. Sur les 118 références étudiées, 90% ont été testées positives aux métaux lourds (rarement les quatre à la fois) et 16% aux pesticides.

Arsenic et mercure

Faut-il s’en inquiéter ? Oui et non, répondent en substance les scientifiques de SCLabs. « La plupart des teneurs détectées étaient inférieures aux limites californiennes », souligne le rapport toxicologique. Pour autant, quelques produits semblent désormais peu recommandables.
Le Blueberry Zig-Zag Cigar Cones contient un peu plus de cadmium mais surtout 3 fois plus d’arsenic qu’autorise la norme californienne. Les papiers en cellulose de Smokeclear et d’aLeda sont, en revanche, 100 fois trop chargés en plomb. Inacceptable ! Les wraps HubbaBubba et les paquets de King Palm Berry Terps contiennent, respectivement, du chlorpyrifos et de la cyperméthrine, un autre insecticide.

Comment expliquer ces contaminations ? « La plupart des produits utilisés dans la fabrication de ces produits sont connus pour accumuler des particules de métal, et beaucoup de produits à base de fibres naturelles présentent des contaminations aux métaux », explique Josh Wurzer, le patron de SCLabs. Les pollutions aux pesticides sont, elles, imputables aux techniques de culture du cannabis.
Que conclure ? Que, dans les Etats où la consommation du cannabis est autorisée, les accessoires sont, pour le moment, moins bien contrôlés (exception faite de la Californie) que l’herbe. Probablement de passer au vaporisateur dont nous vous recommandions les charmes, ou a le petite pipe “one hit”, en attendant que pouvoir rouler bio et sain.

MyDx, l’appareil portable qui mesure en quelques secondes le taux de THC et de CBD

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Si la vente de fleurs de CBD est autorisée, son commerce reste dans la ligne de mire du nouveau  gouvernement. Raison invoquée : l’impossibilité pour les policiers de distinguer le chanvre bien-être (CBD) du cannabis récréatif (THC). Un argument qui tient de la borne et que Zeweed se propose de balayer en équipant les képis d’un génial outil : l’analyseur portable MyDx.

MyDx Analyzer, c’est l’appareil révolutionnaire qui dresse en quelques secondes un portrait complet des cannabinoïdes (THC, CBD, CBG, THCA, CBN…) de l’herbe insérée dans cette épatante petite boîte de la taille d’un gros smartphone.

En isolant et quantifiant chaque cannabinoïde, cette merveille de technologie a tout pour plaire aux consommateurs de CBD comme aux pouvoirs publiques. Cerise sur la fleur de chanvre: cet appareil réalise également un examen complet des terpènes. Un bonus des plus appréciable quant on connaît le rôle clef des terpènes en question sur le cerveau et donc des effets à escompter.

Son fonctionnement est simplissime: il suffit de placer un échantillon d’herbe dans le petit boitier en plastique prévu à cet effet et l’introduire dans l’analyseur.
Le MyDx offre également la possibilité d’analyser du cannabis fraîchement récolté et d’ainsi voir évoluer jour après jour la progression et répartition des cannabinoïdes. Un bon affinage étant crucial, cet outil chic et choc peut se révéler très précieux.

L’appareil est aussi doté d’une connexion Blue-Tooth qui permet d’accéder à différentes options d’interprétation, afin que vous (ou le policier qui vous contrôlerait) puisse en garder une trace précise.

Si son prix est conséquent (à peu près 700€), il est réutilisable à l’infini, contrairement aux testes de taux de THC employés en Suisse ou en Italie par les forces de l’ordre.

Commande et informations supplémentaires disponibles sur le site de MyDX 

Josh Kesselman: Rock & Roule!

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Entrepreneur, inventeur, philantrope, le fondateur de la marque Raw Josh Kesselman est un homme au caractère aussi brûlant que les papiers qu’il vend avec succès depuis près de 20 ans. Portrait du plus rock-star des CEO du smoke business.

La première fois que j’ai vu Josh Kesselman, c’était dans une de ses vidéo de démonstration, qu’il post sur Facebook chaque semaine. J’étais persuadé qu’il s’agissait d’un “Hype man”. Ce genre de personnages qu’on retrouve dans les téléachats anglo-saxons et dont les démonstrations semblent tellement enthousiastes qu’on ne sait plus s’ils vendent une essoreuse à salade ou la pierre philosophale.
Au fur et à mesure des semaines, j’ai réalisé que cet homme à l’énergie débordante et au sourire omniprésent n’était pas un simple employé : c’était le fondateur et le président de Raw, la marque de papier à rouler la plus importante au monde.

Look à la Keith Richards

Avec son look de rock-star (on le voit toujours affublé d’écharpe à la Keith Richards surmontée d’une coupe toute aussi inspirée du fameux Stones),  Josh est loin de ressembler à un chef d’entreprise classique.
Vegan, engagé, l’homme cultive le paradoxe en jouant au trublion hyper-actif (et tout aussi agaçant) qui vient de découvrir le mot fuck (voir notre vidéo).

Sa fortune, estimée est de 42 millions de dollars, lui permet de bien s’amuser oui, mais aussi d’agir pour les autres et pour le globe.
Exemple green-bling: il roule dans la seule Ferrari dont la composition n’a pas nécessité une seule trace de produits animaux, même pour la colle utilisée (tout comme son papier à rouler).
Si il est frivole, l’homme à la Ferrari végan a aussi financé un programme humanitaire qui aura réussi a sauver 25 000 personnes de la famine en Afrique et aux Philippines.

Le philanthrope du commerce de filtres et feuilles

Là où des Bill Gates ou des Elon Musk pourraient être accusé de payer moins d’impôts au travers du financement de leurs fondations, Josh n’hésite pas à mettre la main à la poche en payant ces impôts plein pot, sans en faire aucune publicité.
Dans une interview pour High Times , il clamait ce carpe diem non sans égo qui le définit aussi« Je me rappelle constamment que je n’ai qu’un nombre de jours limités avant d’être mort et enterré et je veux être légendaire”.

Descente du FBI

Ses très nombreuses innovations lui ont été inspirées par ses propres problématiques de fumeur, en commençant par son obsession pour le papier.
En 1993, il utilise toutes ses économies pour lancer sa première boutique entièrement dédiée aux consommateurs de ganja. Il vit dans l’abri de jardin d’un ami. C’est là que ses affaires commencent à décoller grâce aux ventes de papiers à rouler de bien meilleure qualité que ceux disponibles jusque lors aux États-Unis. Son truc: les faire importer aux US  par des amis en voyage.

C’est une affaire qui roule… jusqu’en 1996. Cette année là, il aura le tord de vendre un bong à la fille d’un employé du gouvernement.
Qu’importe s’il n’était pas au courant, sa boutique est détruite par des agents fédéraux armés jusqu’aux dents, qui menacent de tirer sur son chien. Les Feds lui confisqueront toute sa marchandise… Sauf ses carnets de feuilles à rouler.

Juicy Jay’s et papier de riz

La raison de la clémence des officiers de l’Oncle Sam? Au pays du dollar, le papier est sacré et quelle que soit son utilisation, on ne peut pas l’interdire.
Dans la même année, comme un pied de nez, il ouvre une boutique dédiée exclusivement à cette gamme de produits nommée “HBI” et part à Alcoy en Espagne, la mecque du papier depuis l’arrivée en Europe du tabac que l’on doit à Christophe Colomb.
Sur place, il va créer deux marques devenues cultes avec un fabriquant local : Juicy Jay’s (des feuilles aromatisées) et Element, qui produit un vecteur de combustion à la texture comparable au papier de riz.

Adoubé par Snoop Dogg

C’est grâce à sa part des bénéfices qu’il va lancer Raw en 2004 avec 1 million de dollars. Il proposera le premier papier Vegan,  non blanchi et complètement naturel (contrairement aux papiers traités à la javel ou à la craie).
Qui plus est, les feuilles à bonheur sont fabriqué à partir de fibres de chanvre qui préserve le goût de l’herbe, un must pour les puristes.
17 ans plus tard, Josh continue d’innover au gré de son inspiration et surtout de sa propre consommation. S’il a lancé le rouleau “infini” de papier à rouler, que vous pouvez couper à la longueur de votre choix, c’était avant tout pour pouvoir fumer des joints longs comme son bras.
Sa consommation légendaire, qui rivalise avec celle du grand Snoop Dogg, lui a même valu un hommage par son ami Wiz Khalifa, qui lui a dédié une chanson logiquement nommée Raw.

 Une leçon de roulage du maestro et l’accès à sa chaine Youtube démente (et interdit au moins de 18 ans) via ce lien.

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