Si l’homme apprécie et jouit des vertus du CBD, pourquoi n’en serait-il pas de même pour son meilleur ami à poil et à quatre pattes ?
Aujourd’hui, de plus en plus de vétérinaires prescrivent de l’huile de CBD afin de faire profiter nos animaux de compagnie des vertus du CBD, un alcaloïde du cannabis dont les bénéfices sur le corps humain ne sont plus à démontrer.
Avec des effets apaisants avérés, sans pourtant contenir de substances psychoactives, le CBD n’est pas comparable au THC contenu dans le cannabis de nos joints. Des propriétés relaxantes sans possibilité d’intoxication ni altération de la perception. En bref, pas de risque de voir son chien amorphe, ou en proie à de mystérieuses hallucinations.
Pour autant, le CBD peut rendre la vie de nos animaux plus agréable, d’autant que leur organisme est particulièrement sensible à la molécule, de quoi leur permettre de profiter des effets thérapeutiques dans de nombreux cas de figure.
Utilisé pour apaiser l’anxiété ponctuelle (avant un voyage par exemple), l’anxiété chronique, apaiser le seuil de douleur et conférer des effets anti-inflammatoires, soulager des crises d’épilepsie, des maladies de l’intestin, des pathologies cardiovasculaires ou de l’arthrite canine, ou tout simplement dans des cas de mauvaises digestions ou de troubles de l’appétit; le CBD a plus d’une corde à son arc pour venir en aide aux animaux.
Une étude menée dans un hôpital vétérinaire du Colorado a notamment mis en lumière une statistique très parlante : une diminution de plus de 89% des crises d’épilepsie chez des chiens malades.
Pour venir en aide au stress ou à l’anxiété de nos chiens et chats, de nombreux compléments alimentaires ont déjà fleuri sur le marché. Souvent présentés sous forme d’huile, de pastilles ou de comprimés, les produits se veulent respectés de l’odorat des chiens et des chats, masquant l’odeur de chanvre par des senteurs plus appréciées par les animaux. Le dosage en CBD doit bien entendu être indiqué par un vétérinaire, afin de prendre en compte le poids de l’animal et la comptabilité avec d’autres potentiels médicaments administrés au préalable.